Occurences de l'expression

ais

pour REGNARD, Jean-Francois

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LA SÃ‰RÃ‰NADE (1694)

Je voudrais, Monsieur Mathieu, que vous fussiez étranglé par votre gorge, avec votre diantre de collier. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Un courtier d'usure, comme vous, ne doit s'intriguer que d'affaires de contrebande, et laisser les honnêtes filles en repos. (Acte 1, scène 1, MARINE)
À dieu ne plaise, ma pauvre Marine, qu'on voie jamais aucun vrai mariage de ma façon ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Je ne fais point faire de marché à vie ; c'est un métier trop périlleux. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
Oui, mais ceux qui font des mariages ne s'embarrassent guère du succès ; et quand ils ont reçu leur pot-de-vin, et que le poisson est dans la nasse, sauve qui peut. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Vous connaissez du moins l'homme qu'on lui destine, puisque vous lui avez vendu un collier ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
Je vais le lui livrer, et en recevoir de l'argent. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Sa figure n'est peut-être pas des plus ragoûtantes ; mais, comme vous savez, entre l'utile et l'agréable, il n'y a pas à balancer. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Oui, pour des ladres comme vous, qui ne connaissent d'autre bonheur que celui d'amasser du bien, et de faire travailler leur argent à gros et très gros intérêt : mais pour une jeune personne comme Léonor, qui cherche à passer ses jours dans le plaisir, vous trouverez bon, s'il vous plaît, vous et madame sa mère, qu'elle préfère l'agréable à l'utile ; et que moi, de mon côté, je fasse tout mon possible pour rompre un mariage aussi biscornu que celui-là. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Mais je ne songe pas que mon homme m'attend : il veut donner tantôt une sérénade à sa maîtresse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Je vais songer à lui donner l'aubade, moi. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Ce mariage te met de mauvaise humeur. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Je voudrais bien rester plus longtemps avec toi, je ne m'y ennuie jamais. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
Je n'ai jamais connu un gentilhomme plus gueux que celui-là. (Acte 1, scène 3, MARINE)
Monsieur Grifon son père est bien riche, mais il est bien ladre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Tu fais souvent mauvaise chère. (Acte 1, scène 3, MARINE)
Comme tu fais, Marine ! Regarde-moi un peu. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Mais voyez cet animal, qui veut m'empêcher de parler ! (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Voilà encore un plaisant visage, pour fermer la bouche à une femme ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
Quand on parle bien, on ne parle jamais trop. (Acte 1, scène 3, MARINE)
Tu ne devrais pas parler souvent. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Jamais tant que tu auras parlé. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Tu voudrais donc savoir le contenu de la lettre ? (Acte 1, scène 3, MARINE)
Tu sauras pourtant, malgré que tu en aies, que ma maîtresse se marie aujourd'hui avec un homme qu'elle n'a jamais vu ; que sa mère a terminé l'affaire ; qu'elle prie Valère... que la peste te crève ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
Je ne veux rien savoir ; laisse-moi en repos ; garde tes nouvelles pour un autre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Quelle complaisance ! (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
Voilà une des plus raisonnables que je connaisse. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
Mais je m'amuse ici, et je dois aller promptement porter cette lettre à mon maître ; car il est diablement amoureux. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
Mais le voilà. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
C'est justement ce qui fait qu'elle ne dit rien ; mais tout ce que j'ai pu comprendre de la volubilité de son discours, c'est qu'il faut renoncer à Léonor ; et le pis que j'y trouve, c'est que nous n'avons pas un sou pour nous en consoler. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
Ma mère prétend me marier à un homme que je ne connais point. (Acte 1, scène 5, VALERE)
Détournez le malheur qui nous menace ; et soyez certain que je choisirai plutôt la mort que d'être jamais à d'autre qu'à vous. " (Acte 1, scène 5, VALERE)
Et je me laisserai enlever Léonor ! (Acte 1, scène 5, VALERE)
Monsieur, le ciel m'a donné des talents merveilleux pour faire des mariages ; et je puis dire, sans vanité, qu'il n'y a guère de jour qu'il ne m'en passe quelqu'un par les mains. J'en ai même ébauché plus de mille en ma vie qui n'ont jamais été achevés ; mais j'aime trop la propagation de l'espèce, pour avoir le courage d'en rompre aucun. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
Que tu fais mal à propos le mauvais plaisant ! (Acte 1, scène 5, VALERE)
Le bonhomme négocie avec les usuriers aussi bien que nous ; mais ce n'est pas de la même manière. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
Tais-toi. (Acte 1, scène 6, VALERE)
Je n'en suis point en peine, et je vous laisse le collier, Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-MATHIEU)
Je ne fais que d'arriver. (Acte 1, scène 7, VALERE)
Mauvaise connaissance qu'un musicien de l'opéra ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
J'aimerais mieux être toute autre chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Tais-toi. (Acte 1, scène 7, VALERE)
Je vais me marier. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Je ne m'attendais pas à celui-là. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Oui, monsieur, que monsieur votre père vous donne seulement une belle-mère bien faite, belle, jeune, et laissez-le faire ; vous serez ravi qu'il se soit remarié, sur ma parole. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Ce que je voudrais de vous maintenant, monsieur de l'opéra, ce serait que vous m'aidassiez à donner une petite sérénade à ma maîtresse. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
Musique italienne, française ; je suis un homme à deux mains. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Ce n'est pas pour me vanter, mais en cas de chanteurs, symphonistes, violistes, téorbistes, clavecinistes, opéra, opérateurs, opératrices, madelonistes, catinistes, margotistes, si difficiles qu'elles soient, j'ai tout cela dans ma manche. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Je voudrais une sérénade à bon marché. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
On doit m'amener ma maîtresse ; je suis bien aise que vous la voyiez, et que vous m'en disiez votre sentiment l'un et l'autre. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
Prenez-la belle et jeune, au moins, surtout d'humeur complaisante ; tous vos amis vous conseilleront la même chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Ne vous avais-je pas bien dit qu'on devait l'amener ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
Je ne dis pas cela, madame, et je n'aurai jamais d'autres volontés que les vôtres. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Je suis ravie, ma fille, de vous voir des sentiments raisonnables, et j'ai toujours bien jugé que vous ne voudriez pas me désobéir. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
J'aimerais mieux mourir que de faire quelque chose qui vous déplût. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Mais j'ai lieu de me plaindre. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Est-ce à moi de parler comme je fais, quand vous êtes si peu sensible, Valère, aux bontés que ma mère a pour nous ? (Acte 1, scène 1, L?ONOR)
Je voudrais bien, pour voir, que vous ne le trouvassiez pas bon ! (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Oui, monsieur ; mademoiselle est fille, monsieur est garçon ; elle est aimable, il est joli homme ; ils ont fait connaissance, ils s'aiment, ils sont dans le goût de s'épouser : y a-t-il rien là que de fort naturel ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
Il n'est point question de la nature là-dedans ; c'est la raison et l'intérêt qui font aujourd'hui les mariages. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
Monsieur est le père, madame est la mère ; la raison est de leur côté, la nature est une sotte, et vous aussi, ma mie. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
Il a raison. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
En vérité, ma mère, vous êtes trop raisonnable pour exiger de moi une chose aussi éloignée de bon sens. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Ouais ! (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Que dirait-on dans le monde, si, en ma présence, je vous laissais faire une action aussi extravagante que celle-là ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
Mais quelle comédie, jouons-nous donc ici ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
Mais aussi pourquoi vous exposer à vous marier, sans savoir si monsieur votre fils le voudra bien ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
Monsieur, avec trois ou quatre cents pistoles ne pourrions-nous point le mettre à la raison ? (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
Laisse-moi faire, je veux l'épouser à ta barbe ; je m'en vais dépenser tout mon bien pour m'en faire aimer ; je lui donnerai des présents, des bijoux, des maisons, des contrats, des cadeaux, des festins, des sérénades ; des sérénades, monsieur le musicien ; et je lui ferai des enfants pour te faire enrager. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-GRIFON)
Doucement, monsieur ; nous abaisserons ses fumées d'amour. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
Il ne la tient pas encore. J'ai pris le soin d'une sérénade ; il vient de négocier un certain collier : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
Mais le diable est que nous n'avons point d'argent. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
Mais quoi ! ... (Acte 1, scène 11, VALERE)
Laissez-moi un peu rêver tout seul. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
J'ai ma sérénade en tête ; si je pouvais avoir seulement de quoi payer les musiciens dont je me veux servir... (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
J'ai besoin de me recueillir, vous dis-je ; laissez-moi en repos, et allez fortifier Léonor dans le dessein de ne point épouser votre père. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
On s'accoquine à servir ces gredins-là, je ne sais pourquoi ; ils ne paient point de gages, ils querellent, ils rossent quelquefois ; on a plus d'esprit qu'eux, on les fait vivre, il faut avoir la peine d'inventer mille fourberies, dont ils ne sont tout au plus que de moitié ; et avec tout cela nous sommes les valets, et ils sont les maîtres. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
Mais, que vois-je ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Il y a six mois que je suis revenu, mais je ne me montre que depuis quinze jours. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Une lettre de cachet du Châtelet m'avait défendu de paraître à la ville, elle me prescrivait un temps pour voyager ; mes voyages sont finis, je reparais sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Et que fais-tu à présent ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
La justice aujourd'hui a l'esprit si mal tourné ; il n'y a plus rien à faire dans le commerce : elle prend toujours les choses du mauvais côté. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Avec Monsieur Mathieu : mais je suis un peu subalterne, à la vérité. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Nous demeurons ensemble ; il me loge fort haut, me meuble modestement, m'habille chaudement pour l'été, fraîchement pour l'hiver, me nourrit sobrement, ne me donne point de gages ; mais ce que je prends c'est pour moi. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Je bois beaucoup de vin, mais je ne l'aime pas. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
D'où diantre sais-tu tout cela ? (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Le connais-tu, Monsieur Grifon ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Monsieur Grifon n'est pas au logis ; et, en attendant qu'il vienne, nous pouvons aller renouveler connaissance au cabaret. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Voilà un homme à qui j'ai affaire, mais ce ne sera que pour un moment. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Monsieur, je vous cherchais pour vous dire que dans peu votre sérénade sera en état. (Acte 1, scène 15, SCAPIN)
Voilà ma maison, et voilà celle de ma maîtresse. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR-GRIFON)
Elle revient à elle, j'en suis bien aise. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Elle est au désespoir de n'avoir pu se contraindre devant madame sa mère : mais elle dit qu'elle vous hait trop pour se faire la moindre violence. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Vous êtes une impertinente, ma mie ; et je ne sais... (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Je vous demande pardon, monsieur ; je vous respecte trop pour vous rien dire de mon chef qui vous déplaise. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Il ne tiendra pas à moi qu'elle ne change ; et, quelque aversion qu'elle ait pour vous, elle ne laissera pas de vous épouser si elle m'en veut croire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Vous n'avez que votre âge, votre air et votre visage contre vous : dans le fond, je gagerais que vous avez les meilleures manières du monde. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Tu me parais d'agréable humeur. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Vous n'avez qu'à mourir, monsieur ; c'est le plus grand plaisir que vous lui puissiez faire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Je ne lui connais qu'un petit défaut. (Acte 1, scène 16, MARINE)
C'est, monsieur, que, quand elle s'est mis quelque chose en tête, et qu'on s'avise de la contredire, elle crie, elle peste, elle jure, elle bat, elle mord, elle égratigne, elle estropie même en cas de besoin ; mais, dans le fond, c'est une bonne enfant. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Oui, monsieur, sur la fin d'un repas ; et je vais lui faire entendre que, pour un mari, vous valez cent fois mieux qu'un autre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Dans ce siècle-ci, quand un mari laisse faire à sa femme tout ce qu'elle veut, c'est un homme adorable ; on ne peut pas lui demander autre chose. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Mon enfant, tu peux l'assurer de ma part que, si jamais elle est ma femme, je ne la contraindrai jamais en la moindre bagatelle. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Je vais lui proposer vos conventions ; et comme il n'y a rien dans ces articles-là qui répugne à la coutume, je ne doute point qu'elle ne les accepte. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Voilà une plaisante figure d'homme ! (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
Ne pourriez-vous point, monsieur, me faire le plaisir et l'honneur de m'enseigner le logis de Monsieur Grifon ? (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
Oui, voilà l'écriture de Monsieur Mathieu ; mais je ne vous connais pas pour être à lui. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
J'abuse de votre loisir, monsieur, mais ce n'est pas ma faute ; avec deux mille huit cents livres, vous serez débarrassé de mes importunités, et je prendrai congé de vous quand il vous plaira. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
Oui, oui, je vais vous apporter de l'argent, vous n'avez qu'à attendre. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
Mais voici mon maître avec sa maîtresse : il ne me reconnaîtra pas. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
Je suis un honnête garçon, qui connais vos besoins, et qui viens vous offrir deux cents pistoles que me va donner monsieur votre père. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
Il va me les livrer. J'ai encore un collier à escamoter ; mais j'aurais besoin tout-à-l'heure de quelques gens de main. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
Mais serais-tu fille à travailler de nuit ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
Mais j'entends Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
Monsieur Mathieu ne laisse point moisir l'argent entre les mains de ceux qui lui doivent. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-GRIFON)
Je lui devais, me voilà quitte. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
Je ne sais ce que cela signifie ; mais je n'ai point bonne opinion de mon mariage. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
Moi, qui n'ai jamais rien aimé, je m'avise de devenir amoureux à mon âge. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
Je suis plus pesant que de coutume, et je ne sais si mes jambes pourront porter au logis tout le vin que j'ai bu. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Palsembleu, si je le savais, je ne le demanderais pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Je ne sais, je ne m'en souviens pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Monsieur Grifon, le connaissez-vous ? (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Je ne me trompais pas, c'est un fripon. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
Le diable emporte si je l'aurais deviné. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Combien te donne-t-on pour jouer le personnage que tu fais ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
Comme Monsieur Mathieu est un vilain, je ne gagne pas grand'chose ; mais je suis sobre. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Cela est fort judicieux et fort raisonnable ; j'aime les gens d'esprit. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Je l'avais pourtant avant que d'aller au cabaret. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Quand on a bu, on ne peut pas retrouver sa maison, vous voulez que je retrouve un billet : il n'y a pas de raison à cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
J'étais de sang froid quand je l'ai perdu, je le retrouverai quand je serai de sang froid, cela est infaillible. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Il est plus malaisé de m'attraper qu'on ne s'imagine. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR-GRIFON)
Quelque nuit qu'il fasse, je connais les fourbes d'une lieue. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR GRIFON)
Il faut vous servir à la française. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
Mais allons au fait. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
Paix, paix, ne faisons point de bruit ; nous ne sommes pas les plus forts. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
Ils fouillent aussi dans les miennes, mais il n'y a rien ; ils seront bien attrapés. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
Tout beau, s'il vous plaît, mon père : je vous ai dit que je vous le ferais voir, mais je ne vous ai pas dit que je vous le rendrais. (Acte 1, scène 27, VALERE)
Non je ne veux jamais entendre parler, ni de fils, ni de maîtresse, ni d'amour, ni de mariage, et je vous donne à tous les diables. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)

LE JOUEUR (1692)

Ne serai-je jamais laquais d'un sous-fermier ? v.4 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Je ronflerais mon soûl la grasse matinée, v.5 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Et je m'enivrerais le long de la journée : v.6 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Je ferais mon chemin ; j'aurais un bon emploi ; v.7 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Je serais dans la suite un conseiller du roi, v.8 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Je deviendrais un jour aussi gras que mon maître. v.10 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
J'aurais un bon carrosse à ressorts bien liants ; v.11 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
De ma rotondité j'emplirais le dedans : v.12 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
Tes sots raisonnements sont pour moi superflus. v.23 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Voudrais-tu voir mon maître in naturalibus . v.24 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Mais, avant qu'il se lève, v.25 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Tu sais qu'il a cent fois promis à ma maîtresse v.38 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
De ne toucher jamais cornet, carte, ni dé, v.39 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
Et quand cela serait, n'aurais-je pas raison ? v.43 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Mais mon maître est aimé. v.52 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Ne verrai-je jamais les femmes détrompées v.53 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Qui, faisant le gros dos, la main dans la ceinture, v.61 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
Mais, tant que tu voudras, parle, prêche, tempête, v.73 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Que Dorante a pour lui Nérine et la raison. v.80 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Et nous avons l'amour. Tu sais que d'ordinaire, v.81 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Quand l'amour veut parler, la raison doit se taire, v.82 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Quand la raison agit, l'amour a le dessous. v.84 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Ton maître est un amant d'une espèce plaisante ! v.85 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
Mais en revanche aussi, quand il n'a pas un sou, v.91 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Ce portrait est tout prêt, mais ce n'est pas pour lui, v.99 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Valère a déserté la maison paternelle, v.109 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Mais ce n'est point à lui qu'il faut faire querelle ; v.110 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
Je fais la guerre ouverte ; et je vais de ce pas, v.116 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Qu'il ne sera jamais digne de ses amours ; v.119 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
Mais je l'aperçois. Qu'il a l'air harassé ! v.124 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
On soupçonne aisément, à sa triste figure, v.125 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
De tes mauvais discours ; et tes impertinences... v.129 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Mais me faire payer, parbleu, je t'en défie : v.138 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Mais enfin, j'ai tant fait, avec un peu d'adresse, v.162 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
J'aurais les mille écus ! ô ciel ! Quel coup de grâce ! v.165 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Mais y penses-tu bien ? v.175 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Ma foi, je n'en sais rien. v.176 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Mais quel gage, dis-moi, veux-tu que je lui donne ? v.181 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Mais, Monsieur, s'il vous plaît, pour changer de propos, v.184 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Oui, mais j'ai bien peur, moi, qu'on ne vous plante là. v.195 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Mais si, sans vouloir rire, v.205 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Je prends le parti... mais cela ne se peut pas. v.208 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
En ce cas, je pourrais rabattre sur la veuve, v.210 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Mais sauvons-nous, Monsieur, j'aperçois votre père. v.229 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Et ne saurais souffrir votre libertinage. v.238 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Tais-toi. v.247 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
On joue argent, bijoux, maisons, contrats, honneur ; v.248 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
J'étais las, attendant chez moi votre retour, v.255 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Vous me poussez à bout ; mais je vous ferai voir v.260 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Votre père a raison. v.264 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
De faire un mauvais coup. v.267 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Oui, je sais sa pensée, v.282 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Je voudrais bien déjà que l'affaire fût faite. v.285 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
J'y vais, j'y cours... v.289 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
Mais, mon père, croyez... v.295 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
Ah ! Parbleu, pour le coup, c'est être raisonnable. v.301 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
Mais, après cela, si... v.308 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Je vais voir Angélique ; et mon coeur se propose v.310 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
Je m'en vais travailler, moi, pour vous contenter, v.312 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
À vous faire, en raisons claires et positives, v.313 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
Et j'aurai deux plaisirs à la fois, si je puis, v.319 (Acte 1, scène 9, GÉRONTE)
Monsieur le professeur, avec raisons, v.335 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Il faudrait vous loger aux petites-maisons. v.336 (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
En le divertissant, l'enrichisse à jamais ? v.348 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Le jeu fait vivre à l'aise v.349 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Nombre d'honnêtes gens, fiacres, porteurs de chaise ; v.350 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Je sais, quand il le faut, par un peu d'artifice, v.365 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Je sais dans un trictrac, quand il faut un sonnez, v.367 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Maître juré filou, sortez de la maison. v.379 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Je ne sais qui me tient, tant je suis animé, v.383 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Nérine, c'en est fait, pour jamais je l'oublie ; v.397 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Que plutôt à jamais je perde la parole ! v.402 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Ne viens point désormais, pour calmer mon dépit, v.403 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Car tu sais qu'il en a. v.405 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Madame, croyez-moi, je connais le grimoire. v.410 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Mais il se garde bien d'en déloger si vite. v.414 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Que vous lui connaissez ; que d'un ton pathétique, v.417 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Qui ne sont pas à lui. Mais de ces airs fougueux v.428 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
Laisse-moi faire. v.430 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Que la raison condamne et qui flattent nos sens. v.440 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
J'aimerais mieux qu'il fût gueux, avaricieux, v.443 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Je sais que ce défaut est le plus grand de tous. v.447 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
Je vais l'épouser, moi. v.452 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Et pourquoi non, ma soeur ? Fais-je donc un grand crime v.457 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
J'avais fait voeu de fuir tout autre engagement. v.459 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Je portais son portrait ; et cette vive image v.461 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Mais qu'est-ce qu'un portrait, quand on aime bien fort ? v.463 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
ConnAisseuse en maris, vous deviez mieux choisir. v.468 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
Mais vous n'y pensez pas. Croyez-vous qu'il vous aime ? v.470 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
Mais ce n'est point par l'or que brillent mes attraits ; v.483 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Et jamais, en aimant, je ne fis de faux frais. v.484 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Si je connais l'amour, ce n'est que dans les autres. v.486 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Mais si d'un nouveau noeud je veux bien me lier, v.491 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Je fais profession d'une vertu sévère. v.493 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Il n'eut jamais pour vous qu'une estime stérile, v.497 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Mais on vient. v.505 (Acte 2, scène 2, NÉRINE)
M'a fait quitter ma chaise à deux ou trois cents pas ; v.508 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Et j'y serais encor dans des peines mortelles, v.509 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Mais, à vous parler net, sans que l'esprit fatigue, v.513 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Près du sexe je sais me démêler d'intrigue. v.514 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Je vous sais gré d'avoir une soeur aussi belle ; v.517 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Vous rencontrez le tuf. J'y pourrais m'agrandir ; v.524 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Je joue, et j'y ferais fort bonne contenance : v.526 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Mais je n'y vais jamais que par nécessité, v.527 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Je pousse la fleurette, et conte mes raisons. v.544 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Là toute la maison s'offre à me faire fête ; v.545 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Me laisse avec madame, et va coucher sans bruit. v.548 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Et quand de mon amour je vous fais un aveu, v.555 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Mais Valère vous aime : et souvent... v.569 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
Ah ! Si je le savais, je lui ferais, morbleu ! ... v.571 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Mais quel droit avez-vous sur moi ? v.573 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
Je sais ce que je dis, ou le diable m'emporte. v.578 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Non pas autrement... mais... v.580 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Je ne sais point prendre en main des trompettes, v.581 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Et sais, quand il le faut, oublier un secret. v.584 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Et de quel droit il vient chasser sur mes plaisirs. v.588 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Je sais. v.600 (Acte 2, scène 7, 3eme_LAQUAIS)
Comme vous le voyez ; mais je m'en veux distraire. v.602 (Acte 2, scène 8, LE_MARQUIS)
Vous ferez désormais tous mes soins les plus doux. v.603 (Acte 2, scène 8, LE, MARQUIS)
Je ne vous croyais pas un tel engagement. v.608 (Acte 2, scène 9, ANGELIQUE)
Et quel plaisir de dire, en des transports si doux, v.619 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
Que je serais heureux, v.623 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
S'il vous plaisait encor de recevoir mes voeux ! v.624 (Acte 2, scène 10, VAL?RE)
Le mien est tout à vous, et jamais dans un coeur... v.627 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
Ont laissé dans mon coeur de place à d'autres feux. v.632 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
Taisez-vous, s'il vous plaît, petite ridicule. v.638 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
Et je voudrais avoir cent bouches pour le dire. v.646 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Non, non ; laissez-moi faire. v.649 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
Mais que me sert, hélas ! Que mon coeur vous préfère ? v.650 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Je sais qu'à vos beautés c'est faire un dur outrage v.654 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
Mais... v.657 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
Désormais, plein de votre tendresse, v.661 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Non, ne vous présentez jamais devant mes yeux. v.664 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
Jamais ! Quelle rigueur extrême ! v.665 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Jamais ! Ah ! Que ce mot est cruel quand on aime ! v.666 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
Et que même la mort jamais ne nous sépare. v.702 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Jusqu'où va dans mon coeur le plaisir de te voir. v.717 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Elle est jolie encor. Mais quel sombre équipage ! v.719 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
Qui sais me mesurer justement à ma toise. v.723 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
J'en connais bien pourtant, qui ne me valent pas, v.724 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Mais pour moi je n'ai point cette sotte manie ; v.726 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
J'aurais besoin, Madame La Ressource, v.730 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Je fais, bien entendu, mon billet au porteur. v.732 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
On ne perd jamais rien. v.734 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Nous faisons ici bas des routes incertaines ; v.735 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Je pourrais bien mourir. Ce maraud m'avait dit v.736 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
Que sur des gages sûrs tu prêtais à crédit. v.737 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
Je sais que ce serait blesser ma conscience. v.739 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
De la vieille vaisselle au poinçon de Paris, v.741 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Je n'ai pour te donner, vaisselle ni bijoux. v.744 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Je voudrais les avoir ; ce serait de grand coeur. v.749 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Attendez... mais comment, avec un coeur d'airain, v.756 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
Mais vois donc. v.757 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Laissez-moi ; je cherche en ma boutique. v.758 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
Tu sais jusqu'où vont mes besoins. v.764 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Fort bien. Mais voulez-vous que cette perfidie ?... v.766 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
Je me mettrais en gage en mon besoin urgent. v.776 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Votre raisonnement met le mien en déroute. v.779 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
Je sais que ce micmac ne vaut rien dans le fond. v.780 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
Peut-on, sur ce bijou, sans trop de complaisance ?... v.782 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Et s'est mieux que jamais rengagée à Valère. v.807 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
Je sais que cet amant tout entière l'occupe : v.810 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
Non ; je ne sus jamais jusque-là me flatter. v.833 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
Je vais de mon amour tâcher à me défaire. v.842 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
J'en ai le coeur saisi. v.845 (Acte 3, scène 3, NÉRINE)
C'est, Monsieur, ce que je m'en vais faire. v.863 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Pour gages de cinq ans, frais, mises, loyaux-coûts." v.865 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Mais un de ses parents, v.908 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Il ne voudra jamais prendre cette monnaie. v.919 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Mais le voici qui vient poussé d'un heureux vent : v.924 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
J'ai vu, chemin faisant, aussi Monsieur Dorante : v.930 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
J'aurais encor gagné plus de deux cents louis. v.937 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Et que j'ai de plaisir à vous voir raccroché ! v.944 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
J'aime autant que jamais ; mais sur ma passion v.952 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Ses jours sont enchaînés par des plaisirs nouveaux ; v.960 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Des femmes qui jamais n'ont pu fermer la bouche, v.970 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Des plaisants qui font rire avant que de parler. v.977 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
D'accord. Mais quand on perd, tout cela vous ennuie. v.979 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
Le turbulent Marquis, le paisible bourgeois. v.981 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Le laquais d'un commis avec un duc et pair ; v.985 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
De sa naissance ainsi l'on venge les caprices. v.987 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
S'il vous plaisait du moins de me payer mes gages. v.995 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
Mais vous jouez la nuit, et vous dormez le jour. v.1009 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
Que votre coeur pour moi se laisse un peu toucher ! v.1028 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
Et mais... si j'en avais... comptez que dans la vie v.1034 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Personne de payer n'eut jamais tant d'envie. v.1035 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
Mais quand faudra-t-il donc, Monsieur, que je revienne ? v.1039 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
Mais... quand il vous plaira... dès demain ; que sait-on ? v.1040 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Non, je ne vis jamais d'animal si tenace. v.1043 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
Je vais me marier tout-à-fait : et mon père v.1046 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Cette raison vaut mieux que de l'argent comptant. v.1049 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
Allez, laissez-moi faire. v.1055 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
Mais, monsieur... v.1056 (Acte 3, scène 7, MME_ADAM_M_GALONIER)
Ah ! Je ne dois donc plus m'étonner désormais v.1060 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
Si tant d'honnêtes gens ne les payent jamais. v.1061 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
Mais voici le Marquis, ce héros de tendresse. v.1062 (Acte 3, scène 9, HECTOR)
Que ma chaise se tienne à deux cents pas d'ici. v.1064 (Acte 3, scène 9, LE_MARQUIS)
Et vous, mes trois laquais, éloignez-vous aussi : v.1065 (Acte 3, scène 9, LE, MARQUIS)
J'évente les beautés et leur plais d'une lieue. v.1079 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
Je ne me bats jamais qu'aussitôt je ne tue : v.1083 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
Mais la belle est tombée amoureuse de moi. v.1093 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
Je sais ce qu'entre nous le sort mit de distance. v.1103 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
Je le sais. v.1106 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
Mais... v.1111 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
Et vos airs insolents ne plaisent point du tout. v.1113 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
Mais faut-il nous brouiller pour un sot point de gloire ? v.1118 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
Laissez-moi donc. v.1122 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Mais encor quel sujet ? v.1129 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
C'est un bien que jamais on ne vous enviera : v.1137 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
Oui, les droits sur le coeur ; mais sur la bourse, v.1140 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
Je le savais bien, moi, que j'en aurais raison ; v.1141 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Tu prendrais pour l'éteindre une peine impuissante. v.1171 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
La raison, les conseils ne peuvent m'en distraire, v.1174 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
Je vois le bon parti ; mais je prends le contraire. v.1175 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
Vous laissera manquer même du nécessaire, v.1179 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; v.1183 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
Aux bijoux de sa femme, ou bien à sa vaisselle, v.1187 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
Il la laisse où d'abord elle fut engagée, v.1191 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
Mais ce n'est proprement que par noblesse d'âme : v.1223 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Eh bien ! Ai-je raison ? v.1226 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
Son mauvais sort, vous dis-je, v.1226 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Et paraissant encor plus grand dans son malheur, v.1240 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Notre corps de réserve, et je m'en vais chercher v.1245 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Deux cents louis qu'il a laissés dans sa cassette. v.1246 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Mais Dorante qui vient... v.1256 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
Laissez-moi faire. v.1262 (Acte 4, scène 5, NÉRINE)
Mais non, retirez-vous ; un homme m'épouvante. v.1267 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Qu'Angélique si mal reconnaisse vos feux : v.1277 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Et si je n'avais pas une vertu sévère, v.1278 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Je pourrais bien... mais non, je ne puis vous ouïr ; v.1280 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Si vous continuez, je vais m'évanouir. v.1281 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Je ne vous prendrais pas pour m'en dédommager. v.1297 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Du respect ! Du respect ! Ah ! Le plaisant visage ! v.1298 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Mais Monsieur_le_Marquis, qui paraît en ces lieux, v.1300 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
Je vous le conduirais poings liés à mon char. v.1317 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Vous ne connaissez pas, Marquis, tout votre mal ; v.1320 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
Qui bâtit un palais sur lequel on a mis v.1328 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
En sa maison de ville, en celle de campagne, v.1334 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
Ce docteur en soupers, qui se tait au palais, v.1340 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Je ne suis pas méchant : mais, sans bruit, sans scandale, v.1351 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Quoi ! Vous prétendriez, si j'avais la foiblesse... v.1362 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
Je vais dans ce moment signifier congé v.1377 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Quel bonheur est le tien ! Le ciel, à ta naissance, v.1386 (Acte 4, scène 10, LE_MARQUIS)
Tu chantes, danses, ris, mieux qu'on ne fit jamais v.1397 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
Jamais en ton chemin trouvas-tu de cruelles ? v.1399 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
Je n'aurais jamais cru les Marquis si prudents. v.1417 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Cède en un lansquenet à son mauvais génie. v.1419 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
N'ont jamais exercé de telles barbaries. v.1423 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Parle. As-tu jamais vu le sort et son caprice v.1430 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Mais, ce n'est pas ma faute. v.1434 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Et tu ne me flattais que pour mieux m'étouffer. v.1437 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Oui. Ne sais-tu pas lire ? v.1456 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Je vais le mettre en pièces. v.1458 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Que le coeur, par amour, ne s'y laisse attacher. v.1469 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
De mon sort désormais vous serez seule arbitre, v.1474 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Qui pour moi désormais devient insupportable. v.1494 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Ah ! Que ce livre-là connaissoit bien les femmes ! v.1515 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
Qui, d'une et d'autre part, me paraissent contents. v.1521 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
Je vais de cet emploi m'acquitter avec joie. v.1531 (Acte 4, scène 14, VALÈRE)
Oui-dà ! Laisse-moi faire. v.1534 (Acte 4, scène 15, GÉRONTE)
Mais loin de condamner votre coeur inconstant, v.1548 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
Mais enfin de l'amour l'impérieuse loi v.1552 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
J'en prévois les dangers ; mais un sort tyrannique... v.1554 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
Et vous ne laissez pas, Madame, d'y courir. v.1557 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
Quand j'en devrais mourir, je ne puis plus me taire. v.1558 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
Mais ne craignez-vous point qu'un soir dans le silence ? ... v.1590 (Acte 5, scène 2, DORANTE)
Bon, bon ! Tous les filous sont de sa connaissance. v.1591 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
Regardez ce brillant ; je vais en faire affaire v.1594 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
Mais voici la Comtesse. v.1598 (Acte 5, scène 3, NÉRINE)
Plus que tout autre amant j'aurais pu l'espérer. v.1608 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
Et j'ai sur vous enfin laissé tomber mon choix. v.1613 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
En faisant avec moi cette heureuse alliance, v.1618 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Vous la connaissez ? v.1624 (Acte 5, scène 4, NÉRINE)
Moi ? Je ne sais ce que c'est. v.1624 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Ah ! Je vous connais trop, moi, pour mon intérêt. v.1625 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
Mais huissier à cheval ; c'est comme chevalier. v.1649 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Jamais ce feu pour vous ne fut si violent ; v.1652 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
Et jamais tant d'appas... v.1653 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
Taisez-vous, insolent. v.1653 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
Je vais m'en consoler. Allons, saute, Marquis. v.1661 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Je n'y puis plus tenir, ma soeur, et je vous laisse. v.1662 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
Désormais, pour toujours, je renonce aux humains. v.1665 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
La rencontre est plaisante ! v.1666 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
J'en voudrais faire autant à tous les faux marquis. v.1668 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
Qu'on ne s'étonne plus qu'un laquais, un pied-plat, v.1672 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
Mais aux grands mouvements qu'en ce lieu je puis voir, v.1676 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
C'est un portrait de prix, mais il n'est pas à vendre. v.1682 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
Mais que vois-je, grands dieux ! Quelle surprise extrême ! v.1686 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
Aurais-je la berlue ? Eh ! Ma foi, c'est lui-même. v.1687 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
Laissez-moi le garder un moment, je vous prie : v.1702 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
C'en est fait : pour jamais je le veux oublier. v.1704 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
Mais le voici qui vient. v.1708 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
Mais pourquoi ? ... v.1710 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
Mon coeur tout pénétré... mais, ciel ! Quelle tristesse, v.1714 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Nérine, a pu saisir ta charmante maîtresse ? v.1715 (Acte 5, scène 7, VAL?RE)
De l'arrêt tout du long il va payer les frais. v.1732 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
Valère, vous voyez pour vous ce que je fais. v.1733 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
Jamais tant de bontés... v.1734 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Soit... mais permettez-moi de vous désobéir. v.1737 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Il jouerait, à vos yeux, un mauvais personnage. v.1739 (Acte 5, scène 7, VAL?RE)
Mais je n'aurai du moins rien à me reprocher... v.1745 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Ce portrait, que tantôt je vous avais donné, v.1764 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
Laissez-le-moi garder ; j'en paierai l'intérêt v.1773 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
Mais la fureur du jeu dont il est possédé, v.1788 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
À jamais je vous laisse. v.1806 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
Je vais à la bibliothèque v.1818 (Acte 5, scène 12, HECTOR)

LES SOUHAITS (1700)

Je le crois aisément ; mais je me persuade v.20 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Ils n'en ont pas tant de raisons que nous. v.24 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
Quinze jours ; mais, avant ce choix si malheureux, v.27 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
J'étais, en moins d'un mois, déjà veuve de deux : v.28 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
Mais, Hélas ! J'ai toujours été de pis en pis. v.33 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
Mais pour vous fournir de maris v.40 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Je veux, pour en trouver un à ma fantaisie, v.44 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
Faisant place à quelqu'un qui soit plus raisonnable, v.55 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Écoutez le conseil que je vais vous donner. v.56 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Mais quand un doux veuvage v.61 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Mais chacun, par avance, v.71 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
Je ne sais pas pourquoi dans mon choix on me blâme. v.80 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
Je puis, par la même raison, v.82 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
Je sais qu'elle n'est pas sur ma forme taillée ; v.85 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
Mais je ne suis pas le premier v.86 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
Mais, pour nous égaler, dans un tel différend, v.98 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
La raison est choquée aux souhaits que vous faites : v.100 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Mais cependant, sans vous déplaire, v.107 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
Si j'avais sur ma tête encore un pied de plus ? v.109 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
Sur ce point laisse agir ta femme : v.110 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Plus grand que tu ne voudrais être. v.114 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Mais de mauvaise marchandise v.120 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Cependant, croiriez-vous ce que je vais vous dire ? v.131 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
Mon plaisir unique est la table ; v.136 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
Je m'y plais à passer les nuits : v.137 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
Mais, lorsque trop longtemps j'y suis, v.138 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
En vain, pour le chasser, je fais ce que je puis. v.140 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
Eh ! De moi tu devrais te plaindre. v.163 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Et, si j'étais à tes voeux complaisant, v.167 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Tu crèverais avant qu'il fût une heure. v.168 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Quoi ! Je n'aurai donc point de vous d'autre raison ? v.169 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
Mais trop de valeur m'incommode. v.191 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
D'accord : mais les hivers on ne peut chamailler. v.196 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
Je voudrais qu'il me fût permis, v.199 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
Mais, certes, je m'en meurs d'envie. v.204 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
Mais, si vous commenciez un lundi v.212 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
Je connais, à votre visage, v.224 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
Aux exploits que ce dieu m'offrira désormais, v.232 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
Sur des coeurs qui n'en pourront mais. v.234 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
Mais cette noble majesté v.245 (Acte 1, scène 6, POISSON)
Oui ! Mais, s'il est ainsi, comme on n'en peut douter, v.257 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
Mais nous sommes d'ailleurs fort dénués de biens, v.264 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
Mais, pour faire en tout genre admirer notre esprit, v.283 (Acte 1, scène 6, POISSON)
Et je fais le héros des mieux, à ce qu'on dit. v.285 (Acte 1, scène 6, POISSON)
Vous avez fort bonne raison. v.296 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
Assez et trop longtemps ma lâche complaisance v.301 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
Je sais ce que je dois croire de vos discours. v.311 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
J'en devrais être aussi le père, ce me semble : v.317 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
Ne m'appellent jamais le père des Amours. v.321 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
Vos discours me font voir ce que j'avais à craindre, v.359 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Ah ! Je sais trop le sort que vous me réservez. v.365 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Je vous laisse achever ce complot à mes yeux ; v.370 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Mais vous, qui me parlez d'une voix menaçante, v.372 (Acte 1, scène 9, MARS)
Moi, pour le bien commun, j'aurais pris femme exprès, v.393 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Et serais seulement époux ad honores ! v.394 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Des plaisirs du public lâche dépositaire, v.395 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Je ferais de l'hymen un trafic mercenaire ! v.396 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Je ne connais ni dieux, ni mortels favoris ; v.397 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Fuyez. Mais si Vénus ne paraît aujourd'hui, v.401 (Acte 1, scène 9, MARS)
Mais, lorsque je voudrai la cacher à vos yeux, v.405 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Holà, gardes, à moi. Mais tout beau, mon courroux ! v.417 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
Messieurs, je ne sais que vous dire : v.422 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
Et je m'en vais, tout de ce pas, v.433 (Acte 1, scène 11, POISSON)
Les plaisirs, le bon vin, les honneurs, la richesse : v.439 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
Mais nul n'a souhaité la vertu, la sagesse ; v.440 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
Laissez à Jupiter le soin du lendemain. v.447 (Acte 1, scène 11, MERCURE)

LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÃ”TELLERIES. (1690)

Devais-je être traitée de cette manière ? (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Je vous demande pardon, monsieur ; ce sont des vapeurs dont je suis attaquée, et je ne sais ce que je dis. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Oui, monsieur, je vous entends : vous pouvez vous en aller ; je vais accommoder tout cela. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Vous ne reconnaissez pas Isabelle ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Je ne vous connais point. (Acte 1, scène 5, CINTHIO)
Mais je saurai me venger. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Votre frère a raison ; j'aime l'honneur, moi ; et je ne veux pas qu'une fille coure le guilledou. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Parle donc ; dis-moi, quelle raison as-tu eue de sortir de la maison paternelle, carogne, carognissime ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Les filles sont des vaisseaux qui ne vont d'ordinaire que de ce vent-là. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Je vous dirai, mon frère, que sitôt que vous fûtes parti, il vint un jeune cavalier, le plus civil du inonde, demander à loger dans notre hôtellerie : pour ne pas paraître moins civile que lui, je lui fis toutes les honnêtetés dont j'étais capable. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Aussi pourquoi me laissez-vous seule ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Sitôt qu'il fut arrivé, il me pria, mais le plus honnêtement du monde, de lui donner une chambre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Pour lui faire plaisir, je le menai moi-même, par civilité, dans la belle chambre qui est de plain-pied à la cour. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais il ne voulut point y demeurer, appréhendant qu'elle ne fût malsaine, à cause de l'humidité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Il avait raison. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Voyant qu'il faisait difficulté de rester dans cette chambre-là, et qu'il était si civil, je le conduisis dans une autre, qui donne sur la rue, au-dessus de l'écurie. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Ouais ! (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Je trouvai qu'il n'avait pas mauvaise raison ; car quand on repose, comme vous savez, on n'est pas bien aise d'être interrompu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Est-ce que tu ne l'aurais pas fait à ma place, dis, Pierrot ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Sans doute, et j'enragerais qu'un autre fût plus civil que moi. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Je lui dis aussitôt que, puisque cet endroit lui plaisait, j'y ferais mettre un lit pour lui à côté du mien. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais comme il est extrêmement honnête, il refusa l'offre que je lui faisais, de peur de m'incommoder, et dit qu'il ne souffrirait point que ma chambre fût embarrassée pour l'amour de lui, et qu'il coucherait plutôt dans l'écurie que de me causer la moindre incommodité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Son honnêteté me fendit le coeur : une fille n'est pas de bois ; et voyant que ma chambre lui plaisait si fort, je lui dis... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais vous allez vous fâcher. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Je n'en fus pas la maîtresse : il ne voulut jamais permettre que je m'incommodasse pour l'amour de lui ; il dit qu'il serait au désespoir de m'avoir découchée, et... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais tu n'échapperas pas à ma vengeance, et... (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Entrez dans cette hôtellerie-là, et prenez garde de dire que vous me connaissez. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Ma foi, je n'en saurais revenir : voilà une fille bien civile. (Acte 1, scène 8, PIERROT)
Je crois que monsieur Croquignolet votre père et madame Croquignolet votre mère vont être bien surpris, quand ils verront arriver dans leur boutique monsieur Mathurin Blaise Croquignolet, leur fils l'avocat, qui vient de Flandre. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
Parbleu, monsieur, vous pouvez aller à toutes les occasions du monde comme à celle-là, je vous suis garant que vous n'y serez jamais blessé. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
Il y faisait pourtant chaud. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Cela est vrai ; mais vous preniez le frais sur le mont Pagnotte, à trois bonnes portées du canon. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
Je n'y allais pas pour m'y faire tuer. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Quelque niais !... (Acte 1, scène 9, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
Cela n'aurait pas été honnête à moi d'y mourir, et j'aurais enragé le reste de ma vie si j'étais mort là comme un sot. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
Vous avez raison. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
Mais, monsieur, gagnons pays, s'il vous plaît ; allons vite chez votre père, visiter son vin de Bourgogne ; car je sens que j'ai besoin de forces. (Acte 1, scène 9, LE VALET)
On m'a mandé à l'armée que ma grande soeur Toinon avait la petite vérole, et je ne serais pas bien aise d'en être marqué. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Monsieur, voilà une dondon qui me paraît assez résolue ; mais il me semble qu'elle vous saboule un peu. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
Si tu voulais un peu, pour me délasser de mes exploits guerriers... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Ce n'a jamais été ça qui m'a tentée : j'aime mieux un homme qui me plaît que tous les trésors du inonde ; et, si vous voulez que je vous parle franchement, j'aimerais mieux votre valet que vous. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Sais-tu bien, petite scélérate, que je viens de l'armée ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Vous voilà plaisamment fagoté, avec votre habit noir ! (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
C'était donc vous qui portiez les billets d'enterrement des Hollandais qu'on y a tués ? (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Si quelqu'un en doutait, je lui ferais bien voir ce que c'est que Mathurin Croquignolet, volontaire en pied, suivant l'armée. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Je ne saurais la quitter. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
En vertu que c'est mon plaisir. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
C'est votre plaisir ! (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
Croyez-moi, mon petit visage botté, ne m'échauffez pas les oreilles ; car je pourrais prendre le mien à telle chose qui vous déplairait fort. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
La cause fut appelée, qui dura plus de huit heures ; mais en vertu de bonnes pièces de canon, dont nous étions porteurs, nous fîmes bien vite déguerpir l'ennemi. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Il voulut deux ou trois fois revenir par appel ; mais il fut toujours débouté de son opposition, et condamné en tous les dépens, dommages et intérêts, et aux frais, morbleu ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
Aux frais... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
Voilà, je vous l'avoue, un plaisant récit de combat. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
Je vais vous raconter cela bien mieux que mon maître ; car, entre nous, c'est un dadais. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
Je ne saurais vous dire le reste, car la fumée du canon m'empêcha de le voir. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
Mais je vous prie, monsieur le vivandier, et vous, mon petit clerc de procureur, de passer votre chemin, et de ne pas regarder derrière vous : m'en tendez-vous ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
Allez, mon petit ami, je ne daigne seulement pas vous répondre ; mais si vous jetez seulement les yeux sur cette fille-là, je vous ferai mourir sous le bâton. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
Me connais-tu présentement ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Je vous dis encore une fois que je ne vous connais point. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
On dirait que le diable emporte la maison. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Monsieur, c'est un petit différend que j'avais avec Claudine ; je lui demandais quelque ustensile dont j'avais besoin. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
Ouais ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Je ne l'avais prise que pour servir à la cuisine ; mais je vois bien que la friponne ne s'en tient pas là. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Ce beau monsieur-là est bien plaisant d'amener des filles dans notre hôtellerie pour le servir, et emporter tous nos profits ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Il ne passe point de monsieur dans l'hôtellerie dont je ne puisse bien être de même la soeur, si je voulais m'en donner la peine. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Claudine a raison, monsieur, cela ne se fait point : quand il y a une servante dans une hôtellerie, on ne doit se servir que d'elle ; et d'ailleurs Claudine est très habile in utroque, c'est-à-dire qu'elle fait aussi bien une chambre qu'un ragoût. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Je conviens, monsieur, qu'elle sait parfaitement bien son métier de fille ; mais c'est une petite imprudente, qui sert au premier venu ce qu'elle ne devrait servir qu'à moi seul. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
Je me serais fort bien contenté de la poularde ; je ne suis pas si grand mangeur : mais je sais qu'on la présente à tout venant ; on l'a déjà servie sur vingt tables différentes, et je ne suis pas homme à m'accommoder du reste de toute la terre. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
Parlez, a-t-on jamais vu manger ici la même poularde deux fois ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Jamais personne n'y avait touché ; c'était une volaille délicate que j'avais pris soin d'élever, et que je nourrissais à la brochette avec autant de plaisir que si c'eût été moi-même ; elle faisait envie de manger à tous ceux qui la voyaient, et cependant je ne la gardais qu'à monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Bardé, lardé, cela m'est indifférent : quand les choses sont bonnes, je les trouve telles ; je ne m'y laisse point attraper. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
Allons, taisez-vous ; que je ne vous entende pas souffler ; rentrez là-dedans. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Ce gentilhomme, appelé Cinthio, qui vous aimait, qui vous jurait un amour éternel, m'en a dit tout autant ; et sans la connaissance que vous me donnez de son infidélité, je ne sais si dans la suite il ne m'aurait pas un peu écorné le coeur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Non, je ne croirai jamais que les hommes soient infidèles jusqu'à ce point-là. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Je ne sais qu'un secret pour n'en être point trompée ; c'est de les tromper les premiers. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Je n'y croirai jamais. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Il fut obligé de me quitter pour un duel, où il tua son ennemi : l'amour me fit voler sur ses pas ; je suis venue à Paris ; je me suis déguisée sous l'habit d'une servante ; et sous le nom de Claudine, je suis venue demeurer dans cette hôtellerie, où je l'ai revu avec plaisir, dans le temps que je devais l'oublier pour toujours ; mais, hélas ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Il faut le devenir ; on ne fait rien en amour autrement ; et la vertu la plus nécessaire à une femme, dans le siècle où nous sommes, c'est un peu d'inconstance, assaisonnée quelquefois de perfidie. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
J'avoue que je n'en ai pas été quitte à meilleur marché que vous ; mais je ne savais pas ce que je sais, et avec le temps je me rendrai encore plus connaisseuse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Cinthio est venu à la traverse pour prendre parti sous mes étendards ; et, si vous ne me l'aviez fait connaître pour un déserteur de profession, je ne sais si je ne l'aurais pas enrôlé. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Et que je serais contente si, pour me venger de mon infidèle, je le pouvais haïr autant qu'il le mérite ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Non, non ; je ne me croirais pas assez vengée de m'en rapporter à une autre. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Je ne l'aurais jamais cru. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Quand un Français dit qu'il vous aime, il vous le dit d'une manière si tendre et si passionnée, qu'il semble que son amour doive durer pour le moins vingt ans après sa mort. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Aujourd'hui ils portent des perruques qui leur pendent jusqu'aux genoux, demain ils en auront d'autres qui ne leur passeront pas les oreilles ; ils sont quelquefois habillés le plus simplement du monde, deux jours après il faut les chercher dans leurs dentelles et leurs rubans ; tantôt ils sont serrés dans leurs habits et empaquetés comme des momies, et quelquefois une pièce de drap ne suffit pas pour leur faire une manche d'été : enfin, tout est girouette dans un Français, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Cela peut être vrai pour l'ajustement et la manière de s'habiller ; mais pour le coeur, je ne les crois point si sujets au changement. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Vous avez raison ; ce sont des miroirs de fidélité. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Voulez-vous que je vous représente un Français qui veut surprendre la tendresse d'une jeune personne ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Premièrement, je vous avertis que la braise n'est pas plus chaude. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Les dieux ont-ils jamais rien fait d'aussi parfait que vous ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Là-dessus, on pleure, on laisse échapper un gros soupir, on se donne de la tête contre un coin de la cheminée : il n'en faut pas davantage ; voilà une femme dans la nasse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Mais vraiment, je le crois bien ; un homme qui s'explique de la sorte est fort aimable. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Je sens que j'ai le coeur français. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Voilà qui est le plus joli du monde ; mais regardons le revers de la médaille. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Je m'en vais vous faire voir un Français sur son retour de tendresse, c'est-à-dire huit jours après la déclaration. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Mais, madame, cela ne peut pas toujours durer. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Madame, je le croyais. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Voilà mon Français parti. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Mais vraiment, mademoiselle, si cela est comme vous voulez me le faire entendre, un Français pour une femme n'est pas une meilleure pratique qu'un Italien. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Viens çà, Pierrot ; je vais à une grande expédition ; je te laisse maître en ma place : prends bien garde à la maison, et surtout qu'il ne se passe rien autour de nos filles. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Mordi, laissez-moi faire ; si elles me trompent, elles seront bien fines. (Acte 2, scène 4, PIERROT)
L'honneur est un joyau ; mais un joyau qui se gâte quand on le laisse exposé à l'air. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Je suis à votre égard ce que la bride est à un cheval, un bâton à un aveugle, un gouvernail à un vaisseau : je suis la bride, et vous êtes le cheval ; je suis le bâton, vous êtes l'aveugle ; vous êtes le vaisseau, et moi le gouvernail : mais un gouvernail avec lequel j'empêcherai que vous n'alliez donner contre les rochers des garçons ; car ce monde est une mer, et les vents soufflent dans cette eau qui bouillonne... ce qui fait que la raison dans... cette mer... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Que la raison, dis-je, la... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Enfin, Arlequin m'a laissé dans la maison pour vous garder. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Une petite carogne me pria de lui donner un baiser. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Moi, il ne faut pas me le dire deux fois : 0je ne fus ni fou ni étourdi ; je m'approchai ; elle me donna un grand soufflet : depuis ce temps-là, j'ai bien juré que je n'en baiserais plus. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Allons, point tant de raisonnements ; rentrez, et marchez devant moi. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Vous n'avez qu'à dire, mon capitaine ; je fais d'abord main basse. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
Il ne faut pas laisser refroidir cette ardeur-là : allons chercher Cinthio. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
Car vous me paraissez bien échauffé. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
Je voudrais le tenir pour cent pistoles. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Par ma foi, j'en suis bien aise. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Parbleu, nous verrons : vous la prendrez, quand je devrais vous la faire avaler dans une médecine. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Laissez-moi faire seulement. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Je me moque de vos menaces ; et pour vous faire voir que je ne vous crains, ni vous ni vos spadassins, je vais vous attendre dans cette hôtellerie-là. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
Moi demandre excuse à monsir, si ne parlir pas bon français ; mais mon pensir l'être beaucoup plus meilleur que mon parlemente. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi l'être un gentilhomme hollandais de Hollande, qui vient dans sti ville pour affaire de grand importement. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Vous verrez que c'est un de ces sots qui se sont laissé prendre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Moi avoir toujours fait mon service sur la mer, et j'ai commandir un vaisseau de guerre des États dans le combat naval. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi venir expressément de mon pays, de la part des États, pour demandir à la cour qu'on me rendre mon vaisseau, que sti tiaple de Français avoir fait griller comme du poudin. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Vous avez raison ; voilà de méchants diables que ces Français ! (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
S'il fallait, à la cour, que l'on rendît à vos confrères les Hollandais tous les membres que les Français leur ont emportés cette année, il n'y aurait plus ni bras ni jambes en France. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Mais, monsir, comment faire pour servir ? (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi, n'avoir plus ni jambe, ni vaisseau. (Acte 3, scène 4, LE HOLLANDAIS)
À ce que je vois, monsieur le Hollandais, vous avez été un peu démâté, hé, hé, lié... (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Allons, dépêchons-nous vite ; tire ton écritoire, ferme la porte, chasse les chiens, prends une chaise, mouche ton nez, laisse de la marge, écris gros. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Monsieur, faisons vite, s'il vous plaît ; j'ai un cours de ventre, comme vous savez, qui ne me permet pas d'être longtemps en place. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
Je le connais ; c'est un fripon. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
Songe à ce que tu fais, animal ! (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Connaissez-vous cette soi-disant fille-là ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Et vous, la belle aux yeux escarbillards, connaissez-vous ce pèlerin-ci ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Je ne le connais que trop ; c'est un ingrat qui m'a trompée avec une promesse de mariage. (Acte 3, scène 5, ISABELLE)
Si toutes les filles d'aujourd'hui avoient autant de maris que de promesses de mariage, elles en auraient assez pour en changer par saison. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Mais cela est-il bien vrai ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Moi, monsieur, vous savez bien que je n'ai jamais appris qu'à écrire. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
Mon petit compagnon, vous voulez faire le plaisant ! (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
J'avoue ma faute ; mais, monsieur le Commissaire, il faut pardonner à l'amour. (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
Mais, monsieur le Commissaire, un peu de quartier ; je suis prêt à l'épouser. (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
Il a raison ; il vaut encore mieux être marié que pendu. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
Je devrais vous haïr, et je sens que je ne le puis. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.1 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)
Car, dans sa saison, v.7 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.10 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)
Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.18 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)
Mais l'on n'est pas de bois, v.23 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN, MEZZETIN, PASQUARIEL)
Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.26 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)

LE BAL (1696)

Est un autre brutal qui n'entend point raison, v.9 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Et veut être introduit ce soir dans la maison. v.10 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Mais j'entrevois quelqu'un. v.21 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Profitons de l'erreur, faisons le majordome. v.24 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Deux jeunes marcassins, avec quatre faisans : v.29 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
Oh ! Je connais vos tours. Qu'il vous souvienne v.35 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Mais ce n'est pas ma faute. v.59 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-LA-MONTAGNE)
Juste ciel ! Seulement fais qu'avant mon trépas v.62 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Adieu.... Laissez-m'en deux, comme un échantillon, v.69 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Etait au fond de l'eau, que j'en aurais de joie ! v.76 (Acte 1, scène 3, MERLIN)
La bouteille à la main ! Que diantre fais-tu là ? v.78 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
De Falaise à Paris vient par le messager : v.82 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Et de Falaise encor. Dis-moi : monsieur Géronte, v.91 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Laisserons-nous crever un pauvre agonisant ? v.101 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Mais toi, ne peux-tu rien tirer de ta boutique ? v.104 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Ne sais-tu pas encor quelle adresse est la nôtre ? v.116 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
On laisse celui-ci de peur qu'il ne se gâte ; v.132 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Une veuve a raison. J'aime mieux, prix pour prix, v.141 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
On peut en essayer, niais il n'en faut point prendre. v.144 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Si tu voulais de moi faire un petit essai, v.145 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Mais je m'arrête trop, et je laisse mon maître v.147 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Je te quitte, et je vais arrêter ses transports. v.149 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Mais les voici tous deux. v.160 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
Trop heureuse maison, et vous, murs trop épais, v.161 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
Mais bientôt, malgré vous, je verrai ses appas v.165 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
Je verrai son nez... son... Mais j'aperçois Lisette. v.167 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
De plaisir je regorge, v.172 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
Je ne dis pas cela ; mais le monde est si faux ! v.202 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Mais je la vois paraître. v.211 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
J'en suis persuadé. Mais vous aussi, madame, v.215 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Vos beaux yeux désormais sont le nord ou le pôle v.219 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
La joie et le plaisir... v.223 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
Le plaisir de me voir la gonfle de manière v.224 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Mais le sexe, à Paris, a la mine jolie, v.235 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Mais il est diablement sujet à caution. v.237 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Elle caquette peu : mais si c'est une grue... v.252 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Des filles de Falaise. Il étudie en droit, v.257 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Très altéré, beau-père, au moins ne vous déplaise : v.263 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
On a soif volontiers, quand on vient de Falaise. v.264 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
De monsieur Sotencour je deviendrais la femme ! v.276 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
Je disais un jour à Nanette : v.283 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Il faut aller au bois ; mais chut ! v.284 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Où je fais admirer l'effet de mes concerts. v.298 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Mais nous ne sommes point en goût de symphonie : v.300 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Laissez-nous, s'il vous plaît, avec tous nos ennuis. v.301 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Tant mieux : je vous voudrais encor désespérée. v.308 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Tout Breton que je suis, je sais votre besoin. v.313 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Je sais juste baisser ou hausser une corde ; v.316 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Ah ! Laisse-moi, Lisette, en proie à mon malheur. v.325 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
Mais que prétendez-vous ? v.337 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
Fais mieux le guet au moins : une seconde alarme v.344 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Mais comment ? v.349 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
Jamais, de son pays, il n'est venu d'Orphée ; v.360 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
Laissez... v.365 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Et que j'ai pris plaisir à composer moi-même v.368 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Mais que vois-je ? Est-ce à vous ce petit instrument ? v.373 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
Je vais vous régaler d'un petit air. v.375 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
Allons, venez, monsieur ; je m'en vais vous conduire : v.391 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
Si nous ne nous cherchons jamais plus volontiers, v.397 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
Bon, je sais des maris, qui, pour éviter noise, v.399 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
N'ont jamais approché leurs femmes d'une toise, v.400 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Et qui ne laissent pas d'avoir en leur maison v.401 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Je sais que Léonore aime un certain Valère, v.403 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
Que par son air pincé ; mais c'est un petit fou, v.405 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
Oui, je me nomme un tel ; mais j'ai, ne vous déplaise, v.419 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Jé viens vous montrer l'aise v.420 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Et vais le front levé sans crainte du sergent. v.430 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Sotencour est mon nom, me connaissez-vous bien ? v.433 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Vous né connaissez plus lé baron d'Aubignac, v.441 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Je ne vous connais point, ni ne veux vous connaître. v.447 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Pas plus qu'auparavant : je ne sais ce que c'est. v.453 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Jamais de son pays ne vint lettre de change ; v.463 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
J'aimerais mieux cent fois vous voir tous deux pendus. v.466 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Non, non, laissez-moi faire, v.468 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Et né veut pas payer ! ... Mais cé qui mé console, v.472 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
Jé veux dévénir nul, ou j'en aurai raison. v.473 (Acte 1, scène 14, LE BARON)
Jé fais arrêt sur vous, sur la fille et la dote. v.479 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
Je ne sais... v.481 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
Et ne sais, pour tout jeu, que l'oie et le toton. v.486 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
Que vous soyez payé ; mais, sans plus de colère, v.491 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
C'est parler comme il faut. Quand on est raisonnable, v.495 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
Adieu. Jusqu'à déinain, Mais souvenez-vous-en, v.497 (Acte 1, scène 14, LE BARON)
Mais pourquoi viendrait-il... v.501 (Acte 1, scène 15, GÉRONTE)
J'allais vous le bourrer comme il faut. v.502 (Acte 1, scène 15, SOTENCOUR)
Mon cour, en la voyant, me dit je ne sais quoi. v.510 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
Laissez-moi faire ; allez, je ne suis pas un sot. v.522 (Acte 1, scène 17, MATHIEU-CROCHET)
Je vais plus qu'on ne veut, quand on m'a mis en danse. v.523 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
La plaisante nouvelle ! v.531 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
Monsieur, laissez-la dire ; elle a perdu l'esprit. v.533 (Acte 1, scène 18, MERLIN)
Prêt à vous emporter ; mais pourtant fort traitable. v.540 (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
Et jé la fais conduire au château dé la Garde : v.543 (Acte 1, scène 18, LE BARON)
Et pour ne jamais voir votre sotte figure, v.556 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
J'irais au bout du monde, et plus loin même encor. v.557 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
Elle aurait beau courir, je ne la suivrais pas. v.562 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
Je lui baise les mains et la rends de bon coeur. v.566 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
Vous me faites plaisir, monsieur, de me la rendre. v.567 (Acte 1, scène 19, GÉRONTE)
Retournons à Falaise. v.570 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
Pour vous, dont je connais le bien et la famille, v.575 (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
Ma bergère, laisse-moi, v.593 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Ma bergère, laisse-moi v.595 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Prendre un tendre baiser. v.596 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Ma bergère, laisse-moi, v.597 (Acte 1, scène 20, LES-MASQUES)
Ma bergère, laisse-moi v.599 (Acte 1, scène 20, LES MASQUES)
Prendre un tendre baiser. v.600 (Acte 1, scène 20, LES MASQUES)
Un baiser dérober ? v.604 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Je vais te le donner. v.608 (Acte 1, scène 20, UNE-BERGÈRE)
Je vais te le donner. v.612 (Acte 1, scène 20, LE-CHOEUR)
Mais s'il ne vous plaisait pas, v.617 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Mais s'il ne vous plaisait pas, v.619 (Acte 1, scène 20, MERLIN)

ARLEQUIN, HOMME Ã€ BONNES FORTUNES. (1690)

Ouais ! (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
C'est un trésor en hiver qu'un laquais au pied d'un lit ; son ventre sert de bassinoire. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Vous faites l'entendu, parce que les bonnes fortunes vous suivent partout ; mais souvenez-vous que nous sommes deux laquais, et qu'il n'y a point d'autre différence entre nous que celle que j'y veux bien mettre : ainsi, un peu plus de douceur, s'il vous plaît, et un peu moins d'emportement avec votre camarade. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
À l'égard de celles qui me viennent par les présents que l'on m'envoie de toutes parts, passe ; mais pour celles que nous faisons en volant des montres, en enfonçant des boutiques, et en coupant des bourses ; ma foi, j'ai peur que toutes ces bonnes fortunes-là ne nous fassent faire notre mauvaise fortune à la Grève. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
J'ai déjà dit trois ou quatre femmes que j'avais besoin d'un surtout de toilette : il y a bien du relâchement dans la galanterie ; et les femmes commencent à se décrier furieusement dans mon esprit. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
Il est aussi venu' un laquais de la part de madame la comtesse de Charbonglacé, qui a laissé un paquet dans une toilette. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Mais il ne fait pas si cher vivre à Paris ; tout s'y donne. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Monsieur, c'est le laquais de la Veuve de ce procureur. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Laisse-le entrer. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
Mon enfant, dis-lui qu'elle ne s'en donne pas la peine. Je vais prendre un remède pour me débrouiller le teint. (Acte 1, scène 2, LE-VICOMTE)
Ne vous avais-je pas fait dire que je n'étais pas visible aujourd'hui ? (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
En vérité, madame, cela est vrai : il y a aujourd'hui bien des erreurs à votre teint ; mais il est resté là-bas un peu de décoction, ne vous en faites point de nécessité. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
Je vous demande pardon ; je vous croyais fille. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
Mais, monsieur, je vous trouve bien gros ; qu'avez-vous ? (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
J'en serais bien fâché. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
Madame, je vais tout rendre, si je ne sors. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
Mon_Dieu, ma soeur, cela est bien aisé à dire ; mais vous ne parleriez pas comme vous faites, si vous sentiez ce que je sens. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Vous êtes encore une plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je ne suis pas si morveuse que je le parais, et il y aurait déjà longtemps que je serais femme si mon père avait voulu ; car on m'a dit qu'on pouvait l'être à douze ans. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Mais savez-vous bien ce que c'est qu'un mari, pour parler comme vous faites ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Si je ne le savais pas, est-ce que j'en voudrais avoir un ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Quand je songe que je serai mariée, je suis si aise, si aise ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Il faut que ce soit quelque chose de fort joli que le mariage, puisque la pensée seule fait tant de plaisir. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Vous vous trompez fort à votre calcul, si vous vous figurez tant de plaisir dans le mariage. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Les soins des domestiques, l'incommodité d'une grossesse : non, quand il n'y aurait que la peur d'avoir des enfants, je renoncerais au mariage pour toute ma vie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Quelle petitesse de raisonnement ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Mais vous, ma saur, qui êtes si raisonnable, est-ce que vous ne voulez pas vous marier ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Ce n'est pas de même, moi ; je suis votre aînée, et la raison qui veut que vous ne vous mariiez pas, veut que je me marie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Je supporterai fort bien toutes les fatigues du ménage ; et quoique je sois jeune, si j'étais mariée présentement, je suis sûre que je n'en mourrais pas. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
La la, cette charge-là n'est pas si pesante et ne fait pas peur à tout le monde : il n'y a pas encore huit jours que je trouvai dans une boutique, au Palais, un monsieur de condition, qui me dit que j'étais bien à son gré, et qu'il serait bien aise de m'épouser. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je lui dis que j'étais encore bien petite pour cela ; mais que l'année qui vient, j'espérais d'être plus grande. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je vous dis, encore une fois, que j'ai plus d'âge qu'il ne faut ; mais puisque vous me trouvez trop jeune, faisons une chose ; vous avez quatre années plus que moi, donnez-m'en deux ; cela ne gâtera rien ni pour l'une, ni pour l'autre. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Allez, allez ; vous ne savez ce que vous dites. Vous me croyez bien embarrassée de trois ou quatre années que j'ai plus que vous ; mais je veux bien que vous sachiez que pour dix ans de moins je ne voudrais pas être faite comme vous, ni de corps, ni d'esprit. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Viens çà, Pierrot ; toi qui es un homme d'esprit, et qui sais le monde, n'est-il pas du dernier bourgeois de marier plus d'une fille dans une maison, et ne devrais-je pas déjà l'être ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Mais aussi, est-il juste que je cède mes droits à ma cadette ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Je conviens, Pierrot, que je suis encore petite ; mais si tu savais ce que j'ai déjà (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Hé ! Pardi, laissez-la dire. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
J'ai... mais je n'oserais le dire. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Vous avez raison, car vous allez dire une sottise. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Palsangué, laissez-la donc parler : vous lui rembourrez les paroles dans le ventre. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
Il n'y a plus moyen de tenir à vos impertinences : je vous laisse ; et si je faisais bien, j'avertirais mon père de mettre ordre à votre conduite. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Elle veut faire la madame, et me traiter comme une petite fille ; mais nous verrons. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Çà, çà, Pierrot, il faut que tu me fasses un plaisir. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Ne suis-je pas fait pour faire plaisir aux filles ? (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Il faut que tu me portes cette lettre à ce monsieur que je trouvai dernièrement au Palais. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Puisque je sais écrire, pourquoi n'écrirais-je pas ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Vous avez raison. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
C'est une pente de mon lit ; mais je crains de la faire trop petite ; on n'y pourra jamais coucher deux. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Non ; mais si, par bonheur, je venais à être mariée... (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Je sais de vos fredaines : vous n'avez pas toujours une aiguille et de la tapisserie entre les mains, et vous commencez à escrimer de la plume. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Mais ce n'est pas pour cela que nous sommes ici. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Laissez là votre ouvrage, et m'écoutez. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Je le sais bien, mon papa ; il y a longtemps qu'on me dit cela. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Mais je crois que vous avez toutes deux l'esprit en écharpe. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Savez-vous bien que l'on n'a que l'âge que l'on paraît ; et monsieur Visautrou, mon apothicaire, me disait encore ce matin, en me donnant un remède, que je ne paraissais pas quarante-cinq ans. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
J'ai ce que j'ai ; mais je sais bien que j'ai besoin d'une femme. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Une autre fille que moi, qui ne saurait pas vivre, vous dirait, mon père, que vous risquez beaucoup en vous mariant ; qu'il faut avoir perdu l'esprit pour songer, à votre âge, à un engagement, et que l'on renferme tous les jours des gens aux Petites-Maisons pour de moindres sujets : mais moi, qui sais le respect que je vous dois, sans me prévaloir des raisons que les enfants ont d'appréhender un second mariage, je vous dirai que, puisque vous crevez de santé, vous faites parfaitement bien de prendre une femme. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Pour moi, je vous le conseille ; car je voudrais que tout le monde fût marié. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Vous prenez la chose du bon biais. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Puisque vous êtes si raisonnables, apprenez donc que je suis en pourparler de mariage ; mais c'est pour vous. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Je vous ai des obligations que je n'oublierai jamais. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Je savais bien que cela te ferait plaisir, et que tu n'aurais point de chagrin de voir marier ta soeur avant toi. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Non ; on ferait bien mieux de vous laisser passer la première, et d'attendre à me marier que vous eussiez trois ou quatre enfants ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Si vous ne me mariez, je sais bien ce que je ferai, moi. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Je le connais bien. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
J'ai bien du respect pour la médecine ; mais, avec votre permission, mon père, je n'épouserai point un médecin. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Il ne faut pas, s'il vous plaît, que vous songiez à Octave ; j'ai appris que c'était un gueux, et je vais tout de ce pas l'envoyer chercher, pour lui dire qu'un autre lui a passé la plume par le bec. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
Ce n'est pas de même ; je suis votre cadette, et la raison qui veut que je ne me marie pas, veut que vous vous mariiez la première. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Monsieur, j'étais avec cette femme qui marchande ces singes, et qui veut donner six écus du gros, parce qu'elle dit qu'il ressemble à son mari. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
Laisse cela ; j'ai autre chose en tête. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
Je vois bien que nous ne vivrons pas longtemps ensemble : je ne veux point de bête dans ma maison. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
Il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse, c'est que je ne sais pas encore tout à fait ce que c'est que le mariage : ne pourrais-tu pas me le dire ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Assurément ; il n'y a rien de si aisé : c'est comme qui dirait une chose... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Vous ne pouviez jamais mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
C'est comme, par exemple, une chose où l'on est ensemble... Votre père... avait épousé... votre mère... ; ça faisait qu'ils étaient deux ; et comme çà, votre grand-père..., d'un côté..., la nature... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Mais vous n'aurez pas été deux jours ensemble, que vous saurez toutes ces drogues-là sur le bout du doigt. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Fais-le monter, Pierrot ; hé ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Tu ne sais ce que tu dis, maraud. (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
Monsieur, je n'ai point ma bourse sur moi ; mais je vais le faire payer. Holà, quelqu'un ! Qu'on paye cet homme-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Ces marauds-là ne sont jamais contents. J'en ai déjà tué quinze ou seize ; mais je ne serai point satisfait que je n'en aie achevé le quarteron. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Je ne pourrais jamais m'y accoutumer. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Est-ce que j'y manque jamais ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Mais j'ai la précaution, quand je vais en femme, de me rincer la bouche avec trois ou quatre pintes d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Les gens que je vois n'assaisonnent pas leurs douceurs de tabac et d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je ne sais pas pourquoi mon père a tant d'aversion pour les gens d'épée. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Il dit qu'ils sont tous débauchés, et qu'ils n'ont jamais le sou. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Ils aiment le vin, le jeu et les femmes ; mais, du reste, il n'y a point de gens mieux réglés. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Je veux être déshonoré, vous êtes la seule bourgeoise avec qui je déroge ; mais, à vous parler franchement, toutes les femmes que je vois, au prix de vous, c'est, ma foi, de la piquette contre du vin de Sillery. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Si vous voulez que je vous parle sans fard, cela est vrai, et je vais, au sortir d'ici, à deux ou trois rendez-vous, où il faudra bien dire que vous êtes une guenon comme les autres. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Mais, à propos de guenon, quand nous marions-nous ensemble ? (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Écoutez, il ne faut pas laisser morfondre l'amour d'un officier ; cela n'est pas de longue haleine. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Je ne sais pas ; mais mon père dit qu'il y a quatorze ans que ma mère était grosse de moi. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je ne croyais pas que vous eussiez vaillant plus de dix ou douze années. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Je sais déjà bien des choses : j'ai déjà lu cinq ou six comédies de Molière, et j'en suis au troisième tome de Cyrus ; je fais du point à la turque, et j'apprends à chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
S'il n'y avait que cela, je ne laisserais pas de chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Comme si les fontanges faisaient quelque chose à la voix ! (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Pourquoi ne vous aimerais-je pas ? v.3 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je le veux bien ; mais vous allez voir comme je vais trembler. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je suis faite comme je ne sais quoi... (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Mais de quel opéra est cet air-là ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Il faut que ce soit des derniers, car voilà le tour aisé de nos poètes et de nos musiciens d'aujourd'hui. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Mais je veux chanter avec vous. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Tel que vous me voyez, je sais la musique comme un orchestre. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Vous allez voir comme je vais vous tortiller un air. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Il y a là-bas tout plein de laquais qui vous attendent. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
De mauvaises raisons : il dit qu'il n'a point fait ce billet-là ; mais son nom y est, une fois ; il faudra bien qu'il le paye ou qu'il crève ; car, palsambleu ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Je sais bien que je ne le payerai pas, moi. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
Monsieur le Vicomte, je n'ai point d'argent ; mais voilà deux brillants avec lesquels vous pourrez en faire. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
Ne vous ai-je pas dit que je faisais litière de diamants. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Mais, mais, mademoiselle, vous poussez ma complaisance à bout. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Tenez, tenez, monsieur le Vicomte ; voilà encore un petit jonc d'or que j'avais oublié. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
Mais, mademoiselle, ces breloques-là valent-elles bien deux cents pistoles ? (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Écoutez ; je vais porter tout cela chez l'orfèvre, et s'il ne m'en donne pas les deux cents pistoles, vous me tiendrez, s'il vous plaît, compte du reste. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
Que je suis aise de lui avoir fait ce petit plaisir ! (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
De la manière que je l'aime, je ne sais ce que je ne lui donnerais pas. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
Ayant appris, monsieur, que vous êtes un homme savant et de bon conseil, je voudrais bien vous parler d'une affaire que je suis sur le point de terminer. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Parlez ; mais parlez peu : la discrétion dans le parler a toujours été louée. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Que le défaut de jugement vient du manque de raison et que le manque de raison est le caractère de la bête ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Qu'on ne se repent jamais de se taire, et qu'on s'est repenti souvent d'avoir parlé ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Pythagore faisait observer le silence à ses disciples pendant sept années. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Bias, qu'un grand parleur n'était autre chose qu'une forteresse sans murailles, une ville sans porte, et un vaisseau sans gouvernail. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Taisez-vous donc. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Je sais bien que l'usage de la parole a été donné à l'homme pour expliquer ses pensées. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Si vous voulez donc que je vous donne mes avis, expliquez-moi le sujet dont il s'agit ; mais surtout d'un style vif, serré, pressé, concis, laconique, car vous savez que la vie de l'homme est courte : ars longa, vita brevis. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Le temps est cher ; on en perd tant à boire, à manger, à dormir, à s'habiller, à danser, à rire, à chanter ; et l'on ne songe pas que la santé revient après la maladie, le printemps après l'hiver, la paix après la guerre, le beau temps après la pluie ; mais que le temps passé ne revient jamais. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
Je voudrais donc savoir... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Mais vouloir savoir est une chose, et savoir en est une autre. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
J'en suis persuadé ; mais... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
C'est que l'un se conduit par la raison et l'autre par l'instinct. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Je voudrais donc savoir... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Des huit parties de l'oraison ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Je voudrais savoir seulement si je dois épouser une brune ou une blonde. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Si vous voulez, je me servirai des connaissances de la rhétorique, physique, logique, métaphysique, arithmétique, art magique, poétique, politique, musique, dialectique, éthique, mathématique, téraprectique. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
L'obstination est le propre de la bête, et je ne voudrais pas que... (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Ne pense pas te moquer ; je tâterais fort bien de l'armée, et je n'appréhenderais pas plus le feu qu'un autre. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Si tous les capitaines étaient faits comme vous, ils pourraient gagner les frais de l'enrôlement, et faire leurs soldats eux-mêmes. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
Je ne mets pas cet habit-ci sans raison. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Tu sais que mon père veut que j'épouse monsieur Bassinet. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Monsieur Bassinet ne m'a jamais vue ; il doit venir me voir, et j'attends sa visite en cet équipage. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Je vais lui apprendre des nouvelles d'Isabelle, et je lui en ferai, parbleu, passer l'envie. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
J'ai toujours dit à votre père que je ne croyais pas qu'il fût le mari de votre mère quand elle vous a faite. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
Mais je crois que voilà monsieur Bassinet ; laisse-moi avec lui : je vais commencer mon rôle. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Mais vous, monsieur, que venez-vous faire ici ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Vous ne vous trompez pas, monsieur ; je suis un nourrisson d'Hippocrate : mais je ne viens pas ici pour tâter le pouls à Isabelle ; j'ai bien d'autres prétentions sur... (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Mais cela est donc bien drôle ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Point du tout ; mais c'est que... (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Ma foi, vous porterez bien cela ; et je suis plus aise que vous ayez cette fille-là qu'un autre. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Mais quand elle sera votre femme, au moins n'allez pas nous la gâter par vos manières ridicules. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Si vous voulez, je vais la dessiner qu'il n'y manquera pas un trait. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Je vois bien qu'elle ne serait point mauvaise pour vous. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Les uns disent qu'elle a des vapeurs ; les autres lui font faire un voyage : il y en a d'assez enragés qui lui font garder le lit cinq ou six mois pour une détorse... et... que sais-je, moi ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Monsieur, vous me faites trop d'honneur ; mais je ne mange jamais de volaille. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
À ce que je vois, vous connaissez parfaitement la demoiselle en question ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR BASSINET)
Ce n'est pas d'aujourd'hui que nous sommes toujours ensemble, et si vous étiez discret, je vous apprendrais quelque chose sur son chapitre, que je suis sûr que vous ne savez pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
(Mais il faut voir si personne ne nous entend.) (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
mais vous irez jaser. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Depuis un quart_d_heure que je fais l'homme, je ne suis pas mal scélérat. (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
Non, pas encore tout à fait ; mais, voyez-vous, monsieur, vous tournez trop à l'entour du pot. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
Il m'a promis qu'il quitterait sa profession de médecin, si je voulais lui donner Isabelle, et qu'il se ferait troqueur. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
Notre vacation est la plus jolie du monde ; nous voyons tout ce qu'il y a de gens de qualité ; il n'y a point de prince qui fasse la dépense que nous faisons ; nous changeons de meubles tous les jours ; on ne voit jamais chez nous la même chose, et notre cabinet est le rendez-vous de tous les fainéants de la ville. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
J'aurai bien du plaisir d'en faire une perroquette. Qu'elle est belle ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
Oh ! Je ne veux jamais rester seule ; j'ai trop peur. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Ce n'est pas sans raison que nos anciens modernes ont dit ingénieusement que le mariage était d'une très grande ressource pour de certaines gens, et que les aigrettes, dont quelques femmes galantes faisaient présent à leurs maris, étaient semblables aux dents, qui font du mal quand elles percent et nourrissent quand elles sont venues. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Cela présupposé, voyons un peu le tendron qui est destiné pour mes plaisirs ; car vous ne voudriez pas me faire acheter chat en poche. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Je me porte bien, et je n'ai jamais eu d'autre maladie qu'un mal d'aventure : mon pouce devint gros comme ma tête. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Les filles sont terriblement sujettes aux maux d'aventure ; mais l'enflure ne les prend pas toujours au pouce. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Seriez-vous bien aise d'être ma femme ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Je vous avertis par avance que si je suis jamais mariée avec vous, je ne vous incommoderai point de toute la nuit ; car je suis la meilleure coucheuse du monde : je me trouve le matin comme je me suis mise le soir. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Dans ma maison il n'entrera, v.29 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Mais le mari plus mal la tête. v.38 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Mais avant de passer outre, il est bon que je vous fasse part de quelques petits avis en vers, que j'ai faits pour servir de niveau à la femme qui tombera sous ma coupe. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Ils ne les touchent jamais. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Je renoncerais plutôt au mariage. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Laquais au-dessous de douze ans, v.41 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Qu'il prenne garde que jamais v.51 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Ainsi que de ces oeufs qu'on achète pour frais : v.55 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Non ; mais vous aurez des poulets. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Il a ma foi raison. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Mais voici monsieur Bassinet fort à propos. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Je m'en doutais bien, car j'ai eu envie de faire une selle en le voyant. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Mais cet homme-là ne vaut rien pour le mariage : tenez, vous voyez bien que sa barbe ne tient point ; ce sont deux moustaches postiches. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Et comment connaissez-vous cela ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Je n'y manque jamais, à une heure près ; et, si vous voulez, je vous dirai quand vous le serez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Cela étant, je vais le congédier. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Allez, vieux radoteur, aux Petites-Maisons, avec votre chienlit. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
Je venais ici pour vous dire que je ne voulais point de la fille d'un fou, et qui passe toutes les nuits avec des godelureaux. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR BASSINET)
Consolez-vous, la belle, je vais vous présenter un époux qui vaudra cette vilaine égoutture de bassin. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Puisque cela est ainsi, je veux bien faire le mariage d'Isabelle ; mais dites-moi auparavant, est-il curieux ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Je m'en vais vous faire voir toutes mes curiosités, et l'équipage de ma future. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Mais il faut vous détromper. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Tout cela ne tient que par le moyen d'un ressort que je vais toucher, et vous verrez que toutes ces figures prendront mouvement. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Je m'en vais vous le faire voir. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Amis, je m'en vais à la guerre ; v.60 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)

LES VENDANGES (1731)

Mais surtout le premier, à qui je veux demain v.9 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
J'ai mes raisons, ma femme, et sais ce qu'il faut faire. v.17 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Grandes maisons se font par petite cuisine. v.25 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
Et, pour jeter l'argent, je sais trop ce qu'il vaut : v.27 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Mais, malgré tout cela, je tiens, quoi que l'on die, v.29 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Enfin j'ai de l'esprit, et sais mes intérêts. v.31 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Mais pourquoi rassembler la crasse du Palais ? v.32 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
N'en déplaise à votre humeur bourrue, v.33 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Mais ma profession, malgré son excellence, v.37 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Mais... v.41 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
Mais point de discours, j'ai résolu I'affaire, v.41 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Mais je fais malgré moi ce que vous souhaitez. v.44 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
Au fond elle a raison ; dans le temps des vacances, v.49 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
Mais tout est bien changé, chacun se tient reclus ; v.59 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
Je vais dresser le plan du contrat de Babet. v.64 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
De notre enlèvement tu sais tout le projet : v.72 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Au métier que je fais de bon coeur je renonce. v.82 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Pour moi, j'aime la guerre, et je hais les affaires. v.85 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Au Palais à présent on n'en amasse guères : v.86 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Monsieur jamais n'y plaide, y fût-il tout le jour ; v.87 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Mais j'aperçois sa fille. v.94 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
Je vais auparavant où monsieur votre père v.98 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
Un garçon hasardeux. Mais, qui trouble votre âme ? v.102 (Acte 1, scène 7, TOINON)
Mais si ce rendez-vous, Toinon, est découvert... v.112 (Acte 1, scène 7, BABET)
Mais le moindre soupçon peut rompre nos mesures. v.114 (Acte 1, scène 7, BABET)
Mais, pour les prendre, il faut se voir, et convenir v.115 (Acte 1, scène 7, TOINON)
Je ne sais qui me tient que je vous abandonne. v.118 (Acte 1, scène 7, TOINON)
Mais voici votre amant. v.120 (Acte 1, scène 8, TOINON)
Mais vous me paraissez incertaine, inquiète : v.126 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
La chaise ? v.140 (Acte 1, scène 8, TOINON)
Trouvera vers le bois la fuite plus aisée, v.146 (Acte 1, scène 8, TOINON)
Pendant que Griffonet... Mais on vient nous troubler. v.147 (Acte 1, scène 8, TOINON)
Laissez-moi lui parler. v.148 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Ce fait est important, mais il n'est pas nouveau. v.155 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
(Ces pères sont toujours ennemis des plaisirs.) v.176 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
Et je ne sais, monsieur, qui vous donne sujet v.187 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
Mais, malgré mon audace, et trop grande et trop haute, v.193 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
Mais je vois bien qu'ici je n'ai rien à risquer. v.204 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
Mais, dans l'occasion, on peut bien quelquefois, v.207 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
Elle a raison ; v.215 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
Je vais en répéter quelques traits seulement. v.227 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
On le verra dans ma péroraison. v.248 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
Mais naturellement tout cela se dénoue, v.250 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
Mais de ma peine aussi j'ai recueilli le fruit, v.255 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
Et jamais plaidoyer ne fera plus de bruit : v.256 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
Aux affaires, depuis, je ne saurais suffire. v.257 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
De grâce, laissez-moi. v.260 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
Ils viennent, que je crois, de faire un mauvais coup v.263 (Acte 1, scène 13, TOINON)
Les voici ; je vais leur faire place. v.266 (Acte 1, scène 13, TOINON)
Il faut y procéder, et j'y vais à l'instant. v.287 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
Mais, dites-moi d'abord, quel est le délinquant ? v.288 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
Si je ne demeurais pour les frais de l'enquête. v.293 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
Oui, mais... v.302 (Acte 1, scène 15, GUILLOT)
Mais, instruit au métier par vos douces leçons, v.311 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
Laissant le délinquant, j'ai saisi les cochons. v.312 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
Mais, sans perdre de temps, partons en diligence ; v.314 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
Mais les cochons, monsieu, morgué faites-leu grâce. v.322 (Acte 1, scène 16, GUILLOT)
Je vais prendre ma robe. Enfants, attendez là. v.324 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
À noutre collecteur je faisions... tu m'entends. v.339 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
C'est bian dit. Mais, monsieu, v.344 (Acte 1, scène 18, MATHIEU)
Mais, monsieu, si toujou je commencions par là, v.351 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
Je verbaliserions après tout à notre aise. v.353 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
Monsieu, ne vous déplaise, v.354 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
Je pourrions là-dessus raisonner un moment. v.355 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)

DÉMOCRITE (1700)

Que maudit soit le jour où j'eus la fantaisie v.1 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Dont j'étais le mari... Dieu veuille avoir son âme ! v.10 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Me fit quitter Argos, le lieu de ma naissance : v.14 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Il nous fait bien souvent de fort mauvais repas : v.23 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Il faut prendre ou laisser, et l'on ne choisit pas. v.24 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Des noix, des raisins secs et quantité d'oignons. v.32 (Acte 1, scène 2, THALER)
Oui-da : mais Démocrite, habile médecin, v.40 (Acte 1, scène 2, THALER)
Mais laisse Démocrite achever son destin : v.44 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais du meilleur au moins, car c'est pour un malade ; v.49 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Oh ! Ce sont des effets de votre complaisance. v.57 (Acte 1, scène 2, THALER)
Mais elle n'est pas tant ma fille que l'on pense. v.58 (Acte 1, scène 2, THALER)
Suffit, je m'entends bien. Mais enfin, m'est avis v.63 (Acte 1, scène 2, THALER)
Parbleu, je le voudrais, m'en coûtât-il beaucoup. v.72 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais vous, qui près de lui passez ainsi la vie, v.73 (Acte 1, scène 2, THALER)
Je m'étais figuré que, dans ce lieu rustique, v.78 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Je vivrais affranchi du commerce des sens, v.79 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Et n'aurais pour mon corps nuls soins embarrassants ; v.80 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais je me suis trompé, ma foi, bien lourdement ; v.83 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Il soutient par raisons, que les hommes sont tous v.87 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Des almanachs ! Morgué, j'en voudrais savoir faire. v.97 (Acte 1, scène 2, THALER)
Tu deviendrais savant ; tu saurais, comme moi, v.100 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais, raillerie A part, achète mon office ; v.109 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Tu pourrais dès ce jour entrer en exercice : v.110 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Faire aller un carrosse, et rouler à mon aise. v.113 (Acte 1, scène 2, THALER)
Et comment as-tu fait, cela ne te déplaise ? v.114 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Comment ? Je le sais bien, il suffit. v.115 (Acte 1, scène 2, THALER)
Mais encor ; v.115 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Aurais-tu par hasard trouvé quelque trésor ? v.116 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Mais Démocrite vient. Motus, il faut se taire. v.126 (Acte 1, scène 3, THALER)
Cela se voit assez : mais pour moi, sans scrupule, v.129 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
Il se fâche, il s'apaise, il évite, il poursuit ; v.135 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
Je l'attendais ici ; j'en ai le coeur en peine : v.145 (Acte 1, scène 3, THALER)
Elle viendra bientôt, car je vais la chercher. v.148 (Acte 1, scène 3, THALER)
Car je ne pense pas que nul d'entre eux jamais v.151 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Mais mon corps, en revanche, est maigre, dont j'enrage. v.161 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Je voulais te guérir de tes erreurs funestes, v.169 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Animal sensuel, qui n'oserais me suivre ! v.173 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
Mais on ne dira pas que je sois amoureux. v.175 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Mais ce n'est pas à moi que ce discours s'adresse ? v.178 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Et feriez le galant ! J'en rirais tout mon soûl. v.183 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Mais je vous connais trop ; vous n'êtes pas si fou. v.184 (Acte 1, scène 4, STRABON)
La raison aussitôt lui donne sur les doigts. v.188 (Acte 1, scène 4, STRABON)
On ne saurait jamais tout à fait les abattre: v.190 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Je voudrais me cacher ce secret à moi-même. v.198 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Le ciel m'en garde ! Mais j'ai cru m'apercevoir v.199 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Que les filles vous font encor plaisir à voir. v.200 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Mais vous vous raccrochez encore au féminin. v.208 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Tu te moques de moi. Mais Criséis s'avance. v.209 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Jusqu'assez près d'ici j'avais suivi ses pas. v.212 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
Je sens, en la voyant, la raison et l'amour, v.215 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
Jamais je ne m'égare ; et, grâce à mon destin, v.223 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
Je m'étais arrêtée au bord d'une fontaine v.225 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
Je tremble, et je ne sais ce que je vais lui dire. v.238 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
Quoi ! Vous qui raisonnez philosophiquement, v.239 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Tant de trouble jamais ne régna dans mon coeur. v.244 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
L'amour, ne vous déplaise, est un je ne sais quoi, v.251 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Qui vous prend, je ne sais ni par où, ni pourquoi ; v.252 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Qui va je ne sais où ; qui fait naître en notre âme v.253 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Je ne sais quelle ardeur que l'on sent pour la femme : v.254 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Et ce je ne sais quoi, qui paraît si charmant, v.255 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Sort enfin de nos coeurs, et je ne sais comment. v.256 (Acte 1, scène 5, STRABON)
Et moins qu'auparavant je connais ce mystère. v.258 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
Demeurons dans ce bois ; laissons aller la chasse ; v.265 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Mais que vois-je ? v.267 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
Paraissent en vouloir plus au coeur qu'à la bourse. v.274 (Acte 1, scène 6, STRABON)
Cela se voit assez ; mais, quand il vous plaira, v.279 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Mais, sans trop témoigner de curiosité, v.303 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Sais-tu bien v.307 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
Moi ? Non, je n'en sais rien. v.308 (Acte 1, scène 6, STRABON)
Sais-tu que c'est le roi ? v.309 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
Mais voyez ce maraud, de parler de ln sorte ! v.310 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
Quoi ! Je verrais ici cet homme si divin, v.315 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Mais la longue fatigue et le chaud qui m'accable... v.321 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Mais il faut excuser, on ne vous attend pas. v.324 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Mais je veux toutefois, sortant de ce désert, v.327 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Que je m'en vais manger ! v.332 (Acte 1, scène 6, STRABON)
Moi, que j'aille à la cour ! Grands dieux ! Qu'irais-je faire ? v.333 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Sans son consentement je ne saurais rien faire : v.342 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
Mais j'aurais grand plaisir de le suivre en des lieux v.343 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
Que vous connaissez mal les lieux dont vous parlez ! v.347 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Mais, seigneur... v.355 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Je vous laisse. Surtout, cette aimable personne... v.361 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Paix, tais-toi, va plier ton bagage : v.365 (Acte 1, scène 6, STRABON)
Que je fais une chose à mon coeur si contraire. v.374 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Mais pour vous, Criséis, que ne ferait-on pas ? v.375 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
Je vais boire et manger. Bonjour, bonsoir, adieu. v.384 (Acte 1, scène 8, STRABON)
Si j'avais le secret de deviner la cause v.385 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Mais, puisque sans parler je ne puis m'en instruire, v.390 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Le roi plus que jamais est épris de vos charmes ; v.394 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Je sais qu'il vous adore, et qu'il n'ose à vos yeux, v.399 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Mais enfin un chagrin que je ne puis comprendre, v.405 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Je le chasse, il revient ; et je ne sais pourquoi, v.407 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
Qui régnait en ces lieux, mais avec cette loi, v.416 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
De même âge à peu près, mais moribond, malsain, v.423 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Je lui dis que l'enfant tenait de moi naissance, v.429 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Je sais depuis longtemps ce que tu viens de dire ; v.437 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Qu'il n'ait pas ri, pleuré, parlé, que sais-je enfin ? v.452 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Ah ! Que tu connais mal ce que c'est que d'aimer ! v.464 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Oui, moi ; mais à mon grand regret. v.467 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
J'avais fait ce beau coup ; mais, à vous dire vrai, v.471 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
J'avais pris un mari brutal, jaloux, bizarre, v.473 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Je n'étais qu'un enfant haute comme cela. v.484 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Si de quelque plaisir mon coeur était capable. v.486 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
L'animal dont tu fais un portrait non commun v.495 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Tu peux aller le voir ; mais pour moi, je te prie, v.497 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Laisse-moi quelque temps tout à ma rêverie ; v.498 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
J'en fais mon seul plaisir. Tout ce que tu m'as dit, v.499 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
Quelqu'un s'avance ici. Je m'en vais vous conduire, v.501 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Cela me sied bien. Mais quelqu'un ici s'avance... v.509 (Acte 2, scène 2, STRABON)
Morgué ! Je ne sais pas quelle graine c'est là. v.516 (Acte 2, scène 3, THALER)
Ils m'ont bien fait dîner : c'est un plaisir extrême v.533 (Acte 2, scène 3, THALER)
J'y serais volontiers tout le temps de ma vie. v.538 (Acte 2, scène 3, THALER)
Des airs développés ; allons, fais-toi de fête. v.545 (Acte 2, scène 3, STRABON)
Non, morgué, je m'en vais : aussi bien je pétille, v.553 (Acte 2, scène 3, THALER)
Mille plaisants objets attirer mes regards. v.556 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Pour rire à mon plaisir tout m'offre un champ fertile ; v.558 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
Et me voyant aussi dans un riche palais, v.559 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
Transporté tout d'un coup de mon séjour paisible, v.561 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
Mais je n'ai nulle affaire, et n'en veux point avoir, v.568 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Réglant votre maison, j'aurai soin de tout faire. v.570 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
Ah ! Tant mieux. Puisque dans les maisons v.572 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Je ne saurais souffrir toujours à mes côtés v.575 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
Quoi ! Si je veux tousser, cracher, moucher, que sais-je ? v.578 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Messieurs, laissez-moi seul, et trêve de vos soins. v.588 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Mais je réponds de lui ; c'est un très honnête homme, v.597 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
Quand je ne serais pas au rang de vos amis, v.600 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
Je publierais partout que l'on ne trouve guères v.601 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
Que dans une maison un long désordre a faites. v.614 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
Des faux amis du temps reconnais les manières : v.629 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
Mais changeons de propos. Que dis-tu de la cour ? v.631 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
Des complaisants en charge, et payés pour sourire v.641 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
Je te laisse à juger si, de tant de matière, v.645 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
J'ai, pour rire à plaisir, une vaste carrière. v.646 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
Je la voyais tantôt devant une toilette, v.654 (Acte 2, scène 5, STRABON)
Si le prince l'aimait, le cas serait plaisant. v.672 (Acte 2, scène 5, STRABON)
J'en rirais tout à fait. v.675 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
Mais il faut empêcher que cet amour n'augmente ; v.693 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
Et, pour mieux étouffer cette flamme naissante, v.694 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
Je vais le conjurer de nous laisser partir. v.695 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
Mais quelle est cette égrillarde v.701 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Mais en homme d'esprit tourner un compliment. v.708 (Acte 2, scène 7, STRABON)
À votre air étranger, on devine aisément... v.715 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
Je voulais par vous-même m'instruire v.721 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
Le plaisir de nous voir quelquefois nous rassemble ; v.725 (Acte 2, scène 7, STRABON)
D'accord ; mais il sait vivre, et connaît bien ses gens. v.728 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Revenir, s'apaiser, se remettre en colère ; v.741 (Acte 2, scène 7, STRABON)
La nature, en naissant, vous fit l'âme sensible. v.749 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
Non, mais j'étais aimé. v.752 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Mais si de vous aimer vous m'accordiez la gloire, v.754 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Mais certaine raison, qui murmure en mon coeur, v.759 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
Mais où parle I'amour, la raison doit se taire. v.762 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Que je me serais fait un bonheur de lui plaire ! v.765 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
Ah, ciel ! Si j'avais eu femme de cette humeur, v.776 (Acte 2, scène 7, STRABON)
J'aurais avec plaisir passé toute ma vie ! v.778 (Acte 2, scène 7, STRABON)
Mais si je puis, seigneur, avec vous m'exprimer, v.785 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
Elle n'a rien des bois que la seule naissance. v.796 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
Je ne sais. v.798 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
Mais, seigneur, quel est votre dessein ? v.798 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
Mais depuis le moment qu'une jeune bergère v.807 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
Ciel, qui sais mon amour, fais si bien, qu'en son âme v.811 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
Puisse à jamais régner cette nouvelle flamme ! v.812 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
Et le sort prend plaisir, d'une chaîne secrète, v.815 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
Je ne sais ce qu'annonce une telle aventure ; v.819 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
Mais un des miens m'a dit qu'en changeant de parure, v.820 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
A laissé, dans l'habit qu'il avait apporté, v.822 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
On doit me l'apporter. Mais Criséis s'avance. v.824 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
Je suis trop en chagrin, je vais lui dire, moi ; v.825 (Acte 3, scène 2, THALER)
Je m'en vais, palsangué, lui débrider ma chance. v.827 (Acte 3, scène 2, THALER)
J'avons... Mais c'est trop de faveur, v.829 (Acte 3, scène 2, THALER)
Ici j'ons plus d'honneur que je ne saurais dire ; v.836 (Acte 3, scène 2, THALER)
Mais on nous fait un tour qui, tout franc, ne vaut rien. v.838 (Acte 3, scène 2, THALER)
J'ai, dans mon autre habit, laissé, par oubliance... v.840 (Acte 3, scène 2, THALER)
Je sais pourtant fort bien que ce n'est pas vous, sire ; v.851 (Acte 3, scène 2, THALER)
Je vous crois honnête homme, et je sais bien qu'en dire : v.852 (Acte 3, scène 2, THALER)
Mais tout chacun ici ne vous ressemble pas. v.853 (Acte 3, scène 2, THALER)
Et qu'ici les plaisirs, les jeux, la bonne chère, v.855 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
Mais, parlant par respect, l'honneur que l'on me rend v.858 (Acte 3, scène 2, THALER)
Je ne sais, Criséis, si l'éclat de ces lieux v.865 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
Avec quelque plaisir peut arrêter vos yeux ; v.866 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
Je ne sais si la cour vous plaît, vous dédommage v.867 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
Mais je voudrais qu'ici vous pussiez recevoir v.869 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
Tout au tant de plaisir que j'ai de vous y voir. v.870 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
Et j'aurais mauvais goût, si, sortant des forêts, v.873 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Je ne me plaisais pas en des lieux pleins d'attraits, v.874 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
Où chacun du plaisir fait son unique affaire, v.875 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
Se distingue aisément, et qui de toutes parts v.889 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Vous prenez du plaisir en le voyant paraître ? v.891 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
Ne paraissent plus rien, et deviennent si laids v.894 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Je ne sais point, seigneur, ce que c'est que d'aimer. v.897 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Qu'il m'aime, moi, seigneur ! Je me garderais bien, v.901 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
S'il me parlait ainsi, d'en croire jamais rien : v.902 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
Les plus sincères coeurs... Mais Démocrite avance. v.904 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
Avec bien du plaisir je vous vois à ma cour. v.905 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Mais, s'il faut devant vous dire ce que l'on pense, v.927 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
Je n'en choisirais point d'autre que votre cour. v.930 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
Je ne répondrais pas mieux qu'elle vient de faire. v.932 (Acte 3, scène 4, STRABON)
Où l'on ne fait jamais ce que l'on voudrait faire, v.936 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Quelque aigreur que cette cour vous laisse, v.943 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Mais une autre raison, que près de vous j'emploie, v.951 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Et quelle est, s'il vous plaît, cette raison ? v.954 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Démocrite est-il homme à se laisser toucher ? v.957 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Votre coeur, je le sais, se ferme à la tendresse. v.960 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Mais, dans cette affaire, v.963 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Voudrait-il s'abaisser à cet excès d'amour ? v.970 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Dont je fais avec joie un éclatant aveu. v.974 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Mais un coeur bien épris veut être aimé de même. v.975 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
Vantez-lui mon amour bien plus que ma naissance. v.984 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Non, j'attends tout de vous ; je connais votre zèle, v.991 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Un soin m'appelle ailleurs ; je vous laisse avec elle. v.992 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
Et je n'attendais pas l'honneur que je reçois. v.998 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
Je ne sais que dire. v.1007 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
Ah ! Que j'ai de plaisir que cet avis flatteur v.1009 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
J'étais, je vous l'avoue, en une peine extrême, v.1011 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
Et n'osais tout à fait me fier à moi-même. v.1012 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
Je sentais pour le prince un mouvement secret, v.1013 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
Et je ne savais pas si c'est bien ou ma1 fait : v.1014 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
Tout ce qu'il me disait me donnait du plaisir ; v.1021 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
Ma bouche a laissé même échapper un soupir. v.1022 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
N'exciterait jamais une amoureuse flamme. v.1036 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
Je n'en connaissais point ; et je les croyais tous v.1037 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
Je sens qu'elle a raison, et cependant j'enrage. v.1040 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
J'ai tort de m'emporter ; reprenons désormais v.1041 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
L'esprit qui nous convient ; rions sur nouveaux frais. v.1042 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
De se laisser mener par de tels animaux, v.1045 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
Connaissant, comme ils font, leur faible et leurs défauts. v.1046 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
Je vais trouver le prince, et lui dire l'ardeur v.1061 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
La chose me parait cependant fort plaisante. v.1064 (Acte 3, scène 6, STRABON)
Ce n'est pas sans raison que mon coeur te déteste. v.1068 (Acte 3, scène 6, DÉMOCRITE)
Mais c'est bien peu, vraiment ! v.1073 (Acte 3, scène 7, DÉMOCRITE)
Il faut le laisser dire, aller toujours son train, v.1085 (Acte 3, scène 8, STRABON)
On a, morgué, raison, et c'est bien mon avis, v.1089 (Acte 4, scène 1, THALER)
Je sais trop... v.1117 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
Que ce n'est que par art qu'elles paraissent belles, v.1131 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
Ces madames-là. Mais j'aperçois Démocrite. v.1135 (Acte 4, scène 1, THALER)
Dirais-tu que c'est là ta fille ? v.1139 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
Je suis bien aise v.1143 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
Que mon air, quel qu'il soit, vous contente et vous plaise. v.1144 (Acte 4, scène 2, CRIS?IS)
Je vois avec plaisir v.1149 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
Je ne sais ; mais depuis qu'elle est en ce pays, v.1157 (Acte 4, scène 3, THALER)
Aurait-on jamais cru que cette jeune plante, v.1160 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
Que j'avais pris plaisir d'élever de mes mains, v.1161 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
Mais ils n'en croqueront, ma foi, que d'une dent. v.1181 (Acte 4, scène 3, THALER)
Je vais faire beau bruit. Serviteur cependant. v.1182 (Acte 4, scène 3, THALER)
Dieux ! Que fais-je ? Où m'emporte une indigne tendresse ? v.1183 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
Pendant que je suis seul, laissons agir mon coeur, v.1185 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
Adonis suranné ?... Mais un pouvoir suprême v.1195 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
Tu ne saurais saisir ces haines rigoureuses v.1199 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
Mais on vient. Finissons un discours si fantasque ; v.1207 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
Je n'en sais vraiment rien : ce que je puis vous dire, v.1215 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Pourquoi non ? C'est un droit qu'on acquiert en naissant ; v.1225 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Le reproche est plaisant et nouveau, je vous jure: v.1235 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Je ne m'attendais pas à pareille aventure. v.1236 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
Vous me connaissez mal. C'est une chose étrange, v.1239 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Cela peut être vrai ; mais bien loin de vous nuire, v.1244 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Mais pour ne point donner d'atteinte à votre gloire, v.1248 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
Mais de vous la première, v.1251 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Mais partez, s'il vous plaît, demain avant le jour : v.1261 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
Et je vais de ce pas préparer avec soin v.1265 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Que l'aurore en naissant m'en trouve déjà loin. v.1266 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
Mais pour mon compte à moi, je suis assez en peine. v.1268 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Je voudrais arrêter le disciple en ces lieux : v.1269 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
Si je n'étais bien sûr du bonheur de vous plaire. v.1292 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Mon coeur s'est laissé prendre en vous voyant paraître, v.1307 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Ce n'est point un retour de pure complaisance v.1311 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Mais je vous avouerai qu'à vos premiers regards v.1313 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
Je ne sais quel attrait, et quel charme invisible v.1315 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
L'on n'a jamais senti de feux si violents v.1321 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Mais ne puis-je savoir, en voyant tant de charmes, v.1323 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Je devrais bien plutôt songer à me cacher. v.1329 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Je ne sais. v.1337 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Mais, depuis le long temps que sans époux je vis, v.1341 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Je ne saurais passer pour femme, à mon avis ; v.1342 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
J'avais pris un mari fourbe, plein d'injustices, v.1353 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Pour sa mort je faisais tous les jours mille voeux. v.1356 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
Il partit, me laissant, par bonheur, sans enfants. v.1359 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
Jamais un tel démon ne sortit des enfers. v.1363 (Acte 4, scène 6, STRABON)
À la noyer cent fois je m'étais attendu ; v.1367 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Mais je n'en ai rien fait, de peur d'être pendu. v.1368 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Ses traits n'en disent rien ; mais je le sens bien mieux, v.1380 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Je ressentais pour lui les transports les plus doux, v.1395 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Hélas ! Qu'allais-je faire ? Il était mon époux. v.1396 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
Que je le hais ! v.1403 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Qu'elle est laide à présent ! Et qu'elle a l'air mauvais ! v.1404 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Mais elle n'aura pas plus longtemps l'avantage v.1409 (Acte 5, scène 1, STRABON)
Vous promettont assez, mais ils ne tenont guère. v.1421 (Acte 5, scène 2, THALER)
Soit ; mais je n'a sais rien, v.1423 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Je me suis vu si brave, et j'étais si joyeux, v.1428 (Acte 5, scène 2, THALER)
Mais le roi m'a promis de me le faire rendre : v.1433 (Acte 5, scène 2, THALER)
J'y viens d'en trouver un... Mais qui peut t'y déplaire ? v.1437 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Comme ces gros monsieurs, je tenais là ma place ; v.1446 (Acte 5, scène 2, THALER)
Et, stapendant, j'avais du chagrin dans le coeur. v.1447 (Acte 5, scène 2, THALER)
Qui faisait jaser d'elle un peu par-ci par-là. v.1452 (Acte 5, scène 2, THALER)
Crois-moi, n'en fais que rire. v.1461 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Si j'avais mon joyau, je les laisserais dire. v.1462 (Acte 5, scène 2, THALER)
Hélas ! Mon pauvre enfant, je l'avais oublié ; v.1468 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Mais le diable en ces lieux (qui l'eût pu jamais croire !) v.1469 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Je ne vous connais point, mon ami, je vous jure. v.1497 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
Je vous connais bien, moi. Quinze ans de nourriture v.1498 (Acte 5, scène 3, THALER)
Je n'en eus jamais d'elle ; et c'est nous faire honte. v.1501 (Acte 5, scène 3, STRABON)
Elle n'a pas laissé d'en avoir, à bon compte. v.1502 (Acte 5, scène 3, THALER)
Quoi ! Tu pourrais, maraud, avec pareille audace, v.1505 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
Sans t'en avoir donné jamais aucun sujet ! v.1512 (Acte 5, scène 3, STRABON)
Je sais que ce n'est point du tout pour mes beaux yeux. v.1520 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
Si vous le connaissiez en effet tel qu'il est, v.1523 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
Je connais votre rang ; de plus, je me connais : v.1535 (Acte 5, scène 4, CRISÉIS)
Les dieux et les destins en vain, par la naissance, v.1537 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
Seigneur, il court un bruit que je ne saurais croire ; v.1543 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
J'apprends que, vous laissant séduire par l'amour, v.1545 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
Jamais aucun espoir n'a tant flatté mon âme. v.1552 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
Des traits de feu qu'on voit... Mais d'où vient ce rubis ? v.1558 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
Mais tout ce que je dis est plus clair que le jour. v.1562 (Acte 5, scène 5, THALER)
Je ne fais que lui prêter mon nom, v.1566 (Acte 5, scène 5, THALER)
Et quel est donc celui qui lui donna naissance ? v.1568 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
Jusqu'à notre maison porter ce biau chef-d'oeuvre. v.1572 (Acte 5, scène 5, THALER)
Oh ! Je vous connais bien. v.1573 (Acte 5, scène 5, THALER)
Qui ? Moi, j'aurais... v.1574 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
Mais, hélas ! N'est-ce point une heureuse imposture ? v.1580 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
Je vous rends votre bien, madame ; et désormais v.1585 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
Je ne me plaignais point du sort où j'étais née : v.1587 (Acte 5, scène 5, CRISÉIS)
Mais ce prince pourra, sensible à vos attraits, v.1593 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
La nature en nos coeurs ne perd jamais ses droits ; v.1610 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
J'étais amoureux. v.1614 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
La nature perverse entraînait la raison. v.1621 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
J'y vins comme un franc sot, et je m'en vais de même ; v.1628 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
Mais, sans le bracelet, vous étiez le premier. v.1634 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
Je vais chercher des lieux où la philosophie v.1635 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
Je vais rire de vous ; riez aussi de moi. v.1638 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
Tu voulais un peu mieux m'aimer ? v.1643 (Acte 5, scène 7, CLÉANTHIS)
Tu voudrais me tenir, je le vois à ta mine. v.1644 (Acte 5, scène 7, STRABON)
Je te pardonne tout, fais-moi grâce à ton tour ; v.1645 (Acte 5, scène 7, STRABON)

LES FOLIES AMOUREUSES (1696)

Moi, je n'y sais point de finesse ; v.25 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais à qui diantre avez-vous ouï dire v.47 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Vous êtes de plaisants crasseux ! v.53 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
J'en sais la conséquence, et je ne veux tâcher v.56 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Qu'assez à contre-temps vous paraissez chercher. v.58 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
S'il est ainsi, laissez-vous donc conduire ; v.69 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Mais on dira... v.74 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Mais on dira, Monsieur, tout ce que l'on voudra. v.75 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
L'on me contredit ! Mais ce qui m'en console, v.79 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais si vous ne jouez, la pièce tombera : v.81 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Il faut avoir des raisons, s'il vous plaît. v.83 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
Mais vous êtes un innocent, v.90 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Je ne saurais jouer, j'ai perdu la parole. v.93 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
Il ne veut point laisser jouer sa pièce. v.96 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
Oui, de quelques raisons qu'on puisse le combattre, v.97 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
Pour lui faire entendre raison. v.106 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
Mais peut-être en a-t-il quelques unes. v.107 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
Ses raisons ne sont pas meilleures que les nôtres. v.108 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Appuyerez-vous, monsieur, ses raisons ? v.110 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
Je n'aime pas qu'on me plaisante. v.113 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais quand on me fâche, en ce cas v.119 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais, au moins, point de pétulance. v.124 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
Mais d'où vient son entêtement ? v.125 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Il dit qu'on prend plaisir à décrier sa pièce ; v.126 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
Je ne dis jamais rien. Est-ce que je me mêle v.131 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais ce n'est qu'une bagatelle. v.137 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
Puis, je ne sais ce que je dis. v.142 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Avec raison l'auteur se pique. v.150 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Qui font les beaux esprits, les savants connaisseurs. v.155 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Laissez parler de tels censeurs. v.156 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
Mais est-on d'accord là-derrière ? v.164 (Prologue, scène 4, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais je vois quelqu'un qui s'empresse v.175 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
Font entre eux bientôt connaissance. v.187 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Il est vrai, vous avez raison. v.188 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Là-haut je raille et je fais rire ; v.189 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Mais en vous avouant ainsi notre confrère, v.200 (Prologue, scène 5, MONSIEUR-DANCOUR)
Non, point du tout ; laissez-le faire. v.202 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais, dites-nous, avec sincérité, v.203 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
Je voudrais bien troquer ma charge avec Mercure : v.214 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Il est bien plus aisé de servir deux amants v.215 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Mais enfin quel dessein ici-bas vous attire ? v.222 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
Quelle diable de fantaisie ! v.230 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais cependant, avant que de finir l'affaire, v.270 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais quel sujet choisirez-vous enfin ? v.287 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Je n'en manquerai pas, et j'en fais mon affaire. v.288 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Avec tous ces gens-là point de plaisanterie. v.317 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Pour vous donner quelques plaisirs nouveaux : v.336 (Prologue, scène 6, MOMUS)
Je vous fais donc, messieurs, très instante prière v.342 (Prologue, scène 6, MOMUS)
Qui raille assez souvent, mais qui ne ment jamais, v.347 (Prologue, scène 6, MOMUS)
Paix, tais-toi, parle bas ; tu sauras mon dessein. v.356 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
J'étais à ma fenêtre, en attendant le jour, v.364 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
J'ai saisi promptement l'occasion offerte, v.366 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Tant pour prendre le frais, que pour flatter l'espoir v.367 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
C'est perdre peu de temps. Mais si, par aventure, v.373 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Je veux, sans nul égard, lui montrer désormais v.379 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Comme je prétends vivre, et combien je le hais. v.380 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Pour moi, j'aimerais mieux cent fois servir le diable. v.382 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
J'aurais quelque repos. Mais, dans mon triste état, v.384 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
"Fais ceci, fais cela ; va, viens ; monte, descends ; v.388 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Fais bien la guerre à l'oeil ; ferme porte et fenêtre ; v.389 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
J'aimerais mieux chercher mon pain de porte en porte, v.397 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Lisette, tous nos maux vont finir désormais. v.399 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Qu'Éraste est différent du portrait que tu fais ! v.400 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Je serais fille à prendre un parti violent ; v.407 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
J'irais par le pays chercher des aventures. v.410 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Tu ne sais pas encor quel est mon caractère, v.413 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
J'ai vécu dans le monde au milieu des plaisirs ; v.415 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
J'ai du coeur, de l'esprit, du sens, de la raison, v.419 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Mais comment du château la porte est-elle ouverte ? v.421 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
Mais paix ; j'entends du bruit ; quelqu'un vient ; écoutons. v.428 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Depuis plus de six mois ma lâche complaisance v.437 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Et pour laisser Agathe à l'aise respirer, v.439 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Mais j'entends quelque bruit ; et, dans le crépuscule, v.445 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Oui, oui, c'est moi, c'est moi. Mais à l'heure qu'il est, v.451 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
D'être devant le jour sous ces arbres épais, v.455 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
Pour voir naître l'aurore et respirer le frais. v.456 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
Respirer le frais et voir l'aurore naître, v.457 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Je veux me rendormir, mais point : un juif errant, v.471 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Qui fait du mal d'autrui son plaisir le plus grand ; v.472 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Oui, vous. Je croyais que ces brusques manières v.477 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Si c'était âme ou corps qui faisait ce sabbat, v.480 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Cela fit tout l'effet que j'avais espéré. v.483 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
À ces cris redoublés, et dont je riais fort, v.492 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Tu voulais me tuer avec ce trait maudit ? v.499 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Je ne sais maintenant qui retient mon courage, v.501 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Taisez-vous, s'il vous plaît. v.505 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Le moindre déplaisir puisse saisir mon coeur ! v.511 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
N'ont pas le demi-quart tant de plaisir que j'ai v.519 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
C'est le plus grand plaisir que j'aurai de ma vie. v.522 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Et je ne prétends pas te donner ce plaisir : v.524 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Et vous, sans raisonner, rentrez en diligence. v.526 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Allons, faisons la paix, vivons d'intelligence ; v.529 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Mais je pardonne tout, et te donne promesses v.533 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Tu sais depuis longtemps que sur le fait d'Agathe v.537 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Et j'en appellerais à votre barbe grise. v.550 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Faire des héritiers dont l'heureuse naissance v.553 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Jamais postérité de vous ne sortira : v.556 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Que sais-je ? v.557 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Sans dire la raison, vous la devinez bien. v.560 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Ah ! Vous avez raison. v.563 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Tu sais bien qu'ici-bas v.563 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Mais des loups ravissants rôdent pour l'enlever. v.567 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Et ne laisser partout qu'un peu d'entrée au jour. v.572 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Paraisse être l'effet de ma précaution. v.576 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Agathe, avec raison, pourrait être alarmée v.577 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Mais, en fille d'esprit, il faut adroitement v.580 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
N'a laissé que les murs dans le prochain logis. v.584 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Mais croyez-vous, monsieur, avec ce stratagème, v.585 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Dont la moindre va droit aux petites-maisons. v.595 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Pour me conduire ainsi j'ai de bonnes raisons. v.596 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Mais si j'avais amant ou mari de ce goût, v.599 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Sais-tu qu'après avoir employé la prière, v.605 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
Lisette ne vaut rien ; mais, de crainte de pis, v.619 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
Je ne laisserai pas, quoi qu'on dise et qu'on glose, v.621 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
J'aurais peine à le dire. v.630 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Et j'étais miquelet dans les guerres d'Espagne. v.642 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Je ne sais que lui dire. v.646 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Qui rôdent pour entrer la nuit dans les maisons. v.648 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
Vous me connaissez mal ; j'ai d'autres soins en tête. v.649 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Et je ne serais pas réduit d'être valet, v.663 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Si je n'avais eu bruit avec le châtelet. v.664 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Mais un jour, on verra triompher l'innocence. v.665 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
J'ai, dans le Milanais, payé de ma personne. v.681 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Savez-vous bien, monsieur, que j'étais dans Crémone ? v.682 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Je vous crois. Mais, après tous ces exploits fameux v.683 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Rien. Je crois qu'on peut, quoique l'on en raisonne, v.685 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Oui : mais il ne faut pas trop longtemps y rester. v.687 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
Mais... il est à son maître. v.690 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
La demande est plaisante ! À ce qu'on peut connaître, v.698 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
Mais j'aperçois mon maître. v.709 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
J'aurais pour le succès assez bonne espérance, v.730 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
Si de quelque argent frais nous avions le secours : v.731 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
Je ne le connais point ; et lui, comme je pense, v.745 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
Je vais voir où je dois placer ma batterie v.778 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Cependant, n'en déplaise à ce docteur habile, v.785 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
Il faut les appeler, afin qu'à son plaisir v.791 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
Venez, sous ces arbres épais, v.795 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Pendant quelques moments, prendre avec moi le frais. v.796 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Je ne sais pas pourquoi ; mais enfin je soupire, v.805 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Mon coeur à ce discours se pâme de plaisirs. v.807 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Masquent leurs vrais désirs, et répondent souvent v.811 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Qui paraissent pour moi d'un très grand avantage : v.829 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Mais je réponds toujours qu'un autre amour m'engage ; v.830 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Pour moi tu nourrissais une sincère ardeur. v.836 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Non : mais, en récompense, v.842 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Je vous hais à la mort. v.843 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
On aime sans raison, et sans raison on hait. v.844 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Je vais en certain lieu la mener de ce pas, v.860 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Assez près de chez vous ma chaise s'est rompue : v.873 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
Attiré par l'aspect et le frais de ces lieux, v.875 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
On ne croira jamais qu'avec tant de beauté, v.887 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
Enchante mes regards ; et jamais la nature v.893 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
Mais vous emploieriez mieux la fin de la journée : v.897 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
Votre chaise à présent doit être accommodée ; v.898 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
Je vais vous écouter avec attention. v.903 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
Mais, devant ces messieurs, tout haut je vous dirai v.912 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Tout, dans cette maison, est sujet à visite. v.918 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Mais surtout soyez bref. v.927 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
Vous ne pouvez jamais prendre un plus beau dessein, v.931 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Qui, sans être jamais de soupçons combattu, v.943 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Bien des gens cependant raisonnent autrement. v.964 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Il ne met son plaisir que dans le mal d'autrui. v.968 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Chacun à le tromper met son plaisir extrême, v.970 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Mais pour moi, je soutiens un parti tout contraire, v.974 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Assaisonner l'amour d'un peu de jalousie. v.978 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Je voudrais, pour beaucoup, que cela fût écrit, v.980 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
Mais encor faut-il bien savoir ce qui se passe. v.994 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
Mais je la vois venir. v.1023 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Je l'aimerais encor mieux qu'une autre plus sage. v.1032 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Parce qu'il est de moi, je veux, sans complaisance, v.1041 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Trois sages médecins venus dans la maison, v.1056 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
M'agite, me saisit... je tiens du chromatique. v.1066 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Pouah ! C'est un diésis que j'avais dans la gorge. v.1070 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Sais-tu, dans un concert, ou croasser, ou braire ? v.1089 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Vit-on jamais un âne essayer des bémols, v.1095 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Jamais un noir corbeau, de malheureux présage, v.1097 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Et jamais, dans les bois un sinistre hibou, v.1099 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Et que je sais, de plus, chanter à livre ouvert. v.1112 (Acte 3, scène 7, ERASTE)
Ma pauvre maîtresse ! Ah ! J'ai le coeur si saisi ! v.1127 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Je crois que je m'en vais devenir folle aussi. v.1128 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
"Vous serez surpris du parti que je prends ; mais l'esclavage où je me trouve devenant plus dur chaque jour, j'ai cru qu'il m'était permis de tout entreprendre. (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Vous, de votre côté, essayez tout pour me délivrer de la tyrannie d'un homme que je hais autant que je vous aime. " (Acte 3, scène 10, ERASTE)
D'accord. Mais, vous rendant service, v.1137 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Il me vient un dessein... tu connais bien Clitandre ? v.1141 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
La joie et le plaisir règnent dans ce séjour, v.1147 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Mais vous m'avez tantôt traité d'une manière ! ... v.1158 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
Rentrez. Je vais voir dans mon livre v.1169 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
Mais aussi soyez sûr que mon bien et ma vie... v.1173 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
Ma foi, je n'en sais rien. Ce que je puis vous dire, v.1177 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
J'ai dit que je cherchais des simples dans ces lieux ; v.1180 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
Que j'avais pour tous maux des secrets admirables, v.1181 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
Et faisais tous les jours des cures incurables ; v.1182 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
Moi, je suis prêt à tout : mais il est inutile v.1189 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
Qu'une fille a d'esprit, de raison, de bon sens, v.1196 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
Je vais, je viens, je cours ; tout accroît mon tourment. v.1204 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Je me fais un plaisir de rendre un bon office. v.1213 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
Mais il m'en a parlé dans des termes si nets, v.1219 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
Mais si l'on peut juger de tout ce qu'il peut faire v.1229 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
Je fais quatre repas, et je lis sans lunettes. v.1250 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Je fais rubis sur l'ongle, et n'y mets jamais d'eau. v.1252 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Tout autant : mais je suis encore verdelette ; v.1258 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Et je ne laisse pas, à l'âge où me voilà, v.1259 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Mais vois-tu, mon ami, veux-tu que je te dise ? v.1261 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Tiens, je ne voudrais pas seulement me baisser. v.1264 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Hélas ! Jamais. Il faut qu'on l'ait ensorcelée. v.1266 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
Je ne paroîtrais pas la moitié de mon âge, v.1269 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
À vous dire le vrai, j'étais assez gentille. v.1274 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
À vingt-sept ans, j'avais déjà quatorze enfants. v.1275 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Et tous garçons encor ; je n'en avais point d'autres, v.1277 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Et n'en voyais aucun tourné comme les nôtres. v.1278 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Mais ce sont des fripons, et qui finiront mal : v.1279 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
J'aurais très grand besoin de quelque cent pistoles ; v.1286 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Prêtez-les-moi, monsieur, pour subvenir aux frais, v.1287 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Tu rêves, mon enfant : mais pour te satisfaire, v.1289 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
J'avancerai les frais, et j'en fais mon affaire. v.1290 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
Mais songe, mon enfant... v.1293 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
Mais ce secours m'était tout-à-fait nécessaire. v.1306 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
J'aurai soin du procès ; je sais ce qu'il faut faire. v.1318 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Je ne sais qui l'arrête : il devrait être ici. v.1323 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
Mais je le vois qui vient ; n'ayez plus de souci. v.1324 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
« Dans tout ce que tu fais hâte-toi lentement.» v.1328 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Hippocrate dit oui, mais Galien dit non ; v.1332 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Mais j'espère employer utilement mes peines. v.1342 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Je laisse aux médecins exercer leur science v.1349 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Mais l'objet de mon art est plus noble ; il guérit v.1351 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Je voudrais qu'à-la-fois vous fussiez maniaque, v.1353 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Pour avoir le plaisir de vous rendre demain v.1355 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Et de vous l'amener je vais prendre le soin. v.1360 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
J'imagine un moyen des plus fous ; mais qu'importe ! v.1373 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Tu pourrais la guérir de cette maladie, v.1377 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Laisse-moi faire après le reste seulement : v.1380 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Mais comment voulez-vous qu'Agathe à ce dessein, v.1383 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Mais songe seulement à bien jouer ton rôle ; v.1386 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Albert ne peut tarder. Mais je le vois qui sort. v.1391 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Pour tirer de leurs mains cent mauvaises pistoles, v.1409 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Je voudrais que quelqu'un m'apportât ses oreilles. v.1414 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Je quitte avec plaisir l'étendard de l'amour. v.1419 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Je sais l'art de réduire aisément les plus fières. v.1422 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Mais quoi ! Que voulez-vous ? Je ne suis point leur fait, v.1423 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Le beau sexe sur moi ne fit jamais d'effet. v.1424 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Plus de délais : je cours où la gloire m'appelle. v.1429 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
J'examinais ses yeux. à ce qu'on peut comprendre, v.1433 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Quelque démon d'amour a saisi son idée. v.1453 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Si j'avais un sujet, dans cette maladie, v.1457 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Je vous répondrais bien... v.1459 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Je vous baise les mains, et vous donne parole v.1461 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Je puis, sans me flatter, l'en tirer aisément ; v.1467 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Mais dans un corps femelle, il tient bien autrement. v.1468 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Ciel ! Quel nuage épais se dissipe à mes yeux ! v.1483 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Laissez-moi de son flanc v.1491 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Courez donc au plus tôt. Laisserez-vous périr v.1503 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Et le laissons tout seul exhaler son transport. v.1512 (Acte 3, scène 11, LISETTE)
Mais je ne vois plus rien. Quel soupçon m'épouvante ? v.1514 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
Et moi seul en ce jour j'avAis perdu l'esprit. v.1520 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
Je te rends pour jamais au diable qui te fit. v.1528 (Acte 3, scène 12, ALBERT)

LA COQUETTE, OU L'ACADÃ‰MIE DES DAMES. (1691)

Je fais deux pas dans la rue, un fiacre me couvre de boue depuis les pieds jusqu'à la tête ; un porteur de chaise me donne d'un de ses bâtons dans le dos : il vient un homme me saluer ; je lui ôte mon chapeau, un coquin par derrière m'arrache ma perruque ; et, pour comble de friponneries, on veut me faire payer l'entrée à la porte comme bête à cornes, parce que je viens pour me marier... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Mademoiselle, c'est que j'achevais ma main au lansquenet. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
Il est venu cinq ou six personnes ; mais j'ai oublié leurs noms et ce qu'elles m'ont dit. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
Taisez-vous, petit sot, et faites ce que je vous dis. (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
Je sais bien, sans vanité, que j'ai quelque agrément ; mais avec un peu de beauté, et trois ou quatre mouches sur le nez, une fille ne va pas loin dans le siècle où nous sommes. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Mais les hommes sont des pestes de poissons rusés qui viennent badiner autour de l'appât, et qui mordent rarement à l'hameçon. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Mais que prétendent donc tous ces petits messieurs-là ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Mais vous en aurez menti, messieurs les soupirants ; et si j'accorde quelque faveur, ce ne sera, ma foi, que par-devant notaire, et en vertu d'un bon parchemin bien signé. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Voilà-t-il pas mes contes de grand'mères, qui condamnent dans leurs enfants les plaisirs que l'âge leur refuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je veux, moi, te donner des conseils pour le mariage, plus courts et plus faciles : et afin que tu les retiennes mieux, je vais te les lire en vers. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je ne sais pas comment sera le reste, mais le début est fort vif. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Laissant un pauvre amant doucement s'enferrer. v.16 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je te dis qu'en amour ils sont si niais, qu'une fille qui sait un peu son métier en va duper trente à la fois. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Elle impose silence en faisant la novice ; v.25 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Savante comme tu l'es, tu devrais te mettre à montrer le coquettisme en ville : tu serais bientôt riche. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Je n'y gagnerais pas de l'eau : toutes les filles savent cela. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je te laisse avec lui ; car apparemment c'est un épouseur : et ma mère m'attend. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Mais voici Octave. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais, mademoiselle, chanter dans l'état où je suis ; pénétré de douleur, désespéré... (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
Vous criez plus fort qu'un fiacre mal graissé. (Acte 1, scène 9, PIERROT)
Mais que vois-je ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
Ne vous avais-je pas prié de n'y plus venir ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
Mais, monsieur, encore une fois, je n'ai que faire de vos révérences : répondez à ce que je vous demande. (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
Vous ferez bien, messieurs de la révérence, de ne regarder ma porte qu'avec une lunette ; je vous saluerais d'une manière... (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
Quelle plaisante conversation ! (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
Ne t'ai-je pas dit que je ne voulais pas que tu songeasses davantage à cet homme-là pour être ton époux ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
Écoutez, ne m'échauffez pas les oreilles ; il y a des maisons à Paris où l'on réduit les filles désobéissantes. (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
Mais que veulent donc dire toutes ces cérémonies-là ? (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
Mais, monsieur, est-ce que vous voulez m'empêcher d'être civil ? (Acte 1, scène 11, PIERROT)
Pardonnez-moi... mais... c'est que... en vérité... mademoiselle ; je m'en vais... (Acte 1, scène 12, PIERROT)
Pour moi, je ne sais plus quelle maladie a attaqué le cerveau de cet animal-là : il ne voit plus, il n'entend plus ; il a assurément quelque chose de brouillé dans son timbre. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
Voilà une nouvelle folie que je ne lui connaissais pas encore. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
Je n'oserais ; je sens là un tourbillon, un étouffement de la nature... heurtant contre l'amour. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
Je trouve cela assez plaisant. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
Mademoiselle, je sais bien que mon mérite n'est pas capable de mériter ;... mais, d'un autre côté,... voilà que l'occasion,... votre beauté... Je ne suis pas bien riche ; mais, ma foi, je suis un bon garçon. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
J'entends cela le mieux du monde ; mais je vous prie, monsieur Pierrot, d'étouffer un peu vos hoquets de tendresse, et d'aller porter cette lettre à monsieur de la Maltotière. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
Quelque sévérité qu'affectent les femmes, elles ne sont jamais fâchées de s'entendre dire qu'on les aime. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
Mademoiselle, quand il s'agira de venir vous offrir ses hommages, on n'obtiendra point de défaut contre moi : en cas de rendez-vous auprès des dames, je ne me laisse jamais contumacer, et je me rends bien vite à l'ajournement personnel. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Vous avez un tour aisé et naturel dans les expressions, que les autres n'ont point ; et il semble toujours que vous demandiez le coeur, quelque indifférente chose que vous puissiez dire. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
Ne me parlez point des gens d'épée ; ils n'auraient jamais rien à vous dire, s'ils ne vous étourdissaient de leurs bonnes fortunes, et s'ils ne vous faisaient le calcul du nombre des bouteilles qu'ils ont vidées. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
Ma foi, il y a bien de l'entêtement ; car, entre nous, il n'y a point de gens qui tiennent une procédure si irrégulière auprès des dames que les gens de guerre : ils sont brusques et entreprenants sur le fait des faveurs, et n'observent jamais les délais fixés par l'ordonnance de l'amour. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
J'avais hypothèque spéciale sur votre coeur, sans ce visage d'épetier qui est arrivé, et qui se prétend privilégié sur la chose : mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Il est vrai qu'un juge craint fort peu de chose ; mais la plupart de ces gens de guerre sont des brutaux qui usent d'abord des voies de fait. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Nous autres, nous faisons notre affaire en douceur, et nous n'aimons pas le fracas de la brette. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Qu'on n'ait du coeur. Je voudrais que vous me vissiez aux buvettes : je fais tout trembler ; et si tous mes confrères les praticiens me ressemblaient, il ne se recevrait pas le quart des nasardes qui se donnent tous les jours. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Je gagerais, à votre air, que vous opinez l'épée à la main ? (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
Et je vous prendrais quelquefois pour un colonel de robe. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
Je sens quelquefois des convulsions de bravoure que je ne saurais retenir. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
J'étais né pour la guerre : mais mon père, voyant que j'avais trop d'esprit pour ce métier-là, me mit dans notre présidial de Beauvais, et m'acheta une charge d'assesseur. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Je jugeai dernièrement un gros procès à l'audience, dont je n'avais pas entendu un mot. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Je sais que deux chevaux gris mènent un procès bien rondement. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
Ma foi, vous avez raison ; les chevaux entraînèrent le carrosse. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Mon ami, je crois que tu ne me connais pas. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Hé, laquais. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
Je sais bien ce que je fais. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
Je ne vais jamais sans cela : on ne sait pas ce qui peut arriver. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
Ne vous y fiez pas ; vous auriez toutes les robes du Palais sur le corps, qu'il... (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Si tu ne me laisses entrer, je mettrai le feu à la maison. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Monsieur, je suis bien fâchée de l'accident de votre cravate : mais... (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Mais, mademoiselle, on est bien aise de conserver le peu qu'on a de linge. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Ouais ! (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
J'y viendrais plus souvent : mais tout le genre humain y aborde. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Voyez-vous, mademoiselle, je suis le gentilhomme de France du meilleur commerce ; mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
Monsieur, je ménage tout le monde pour des raisons particulières ; mais je sais donner la préférence à qui le mérite. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Je me distingue en voyant des gens de cour ; les officiers me font plaisir ; je trouve des ressources avec les financiers : et pour peu qu'on aime les bagatelles, c'est le moins qu'on puisse avoir que deux ou trois petits abbés dans une maison. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Pour les abbés, passe : on sait bien que cette graine-là est nécessaire aux femmes : mais j'enrage de voir à vos trousses un tas de gens de robe, qui sont pour la plupart des croquants, à qui l'esprit n'a été donné que comme le sel aux jambons pour les conserver. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Bon ! L'été les femmes les souffrent faute d'officiers : mais ce sont des oiseaux de semestre qui disparaissent avec les hirondelles. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Si jamais je l'y rencontre ; je n'aime pas le bruit, mais assurément je lui couperai les oreilles. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Fi, monsieur, ne m'en parlez point ; je ne le saurais souffrir : c'est une éponge à sottises. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Vous me paraissez bien enrhumée. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
La Violette, laquais, prenez ma robe. (Acte 1, scène 17, NIGAUDIN)
Monsieur le capitaine, vous êtes un extravagant de vous emporter sans raison. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
Adieu, monsieur ; nous ne serons pas toujours seul à seul ; et s'il vous tombe jamais quelque décret sur le corps, je vous apprendrai ce que c'est que de scandaliser un juge chez des femmes. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
Tu as raison ; je ne crois pas qu'il revienne de longtemps. C'est bien dommage ; c'était le seul honnête homme de notaire que j'aie encore trouvé. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Je me déferai peut-être à la fin de ma fille, et je ne verrai plus dans ma maison des animaux de toute sorte d'espèces, et particulièrement cette assemblée de femmes, ou plutôt cette académie de folles qui s'y tenait. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Tout franc, monsieur, je commençais à être bien las de toutes ces visageresses, et j'étais résolu de prendre mon congé ou de vous donner le vôtre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Mais, monsieur, je voudrais bien vous lâcher un petit mot, tandis que je sommes sur la chose du mariage. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Monsieur, regardez-moi bien ; tel que vous me voyez, je me vais marier. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Monsieur, vous la connaissez bien ; c'est... mademoiselle votre fille. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Je ne sais, maraud, à quoi il tient que je ne t'assomme de coups. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Mais, monsieur, il ne faut pas se fâcher ; cela n'est pas si inégal. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Je suis un garçon, une fois, et elle est une fille ; et puis, monsieur, je ne sais ce que c'est que de faire le blêche : vous me donnez quinze écus par an ; j'aime mieux n'en gagner que dix et être votre gendre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Vous avez une fille : ergo vous êtes pourvu d'une drogue dont vous voudriez être défait ; car une fille, c'est une fleur qui se fane, si elle n'est cueillie dans sa saison ; c'est un quartaut de vin de Champagne qui jaunit, s'il n'est bu dans sa primeur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Monsieur du quartaut, vous n'en aurez peut-être que la baissière. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
Je n'ai aucune mauvaise qualité ; je hais le vin à la mort ; j'ai une aversion incroyable pour le jeu, et je suis fort aisé à vivre : je ne crois pas avoir assommé plus de vingt paysans ; et si, ce n'était que pour des bagatelles, quelques rentes seigneuriales. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Je porte quelquefois des cartes et des dés par complaisance ; mais je ne m'en sers qu'en compagnie, et je vous assure que si j'étais seul je ne jouerais jamais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il n'y a que les mauvaises compagnies qui gâtent la jeunesse. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
Si on me l'emprunte comme cela quand elle sera ma femme, elle ne durera pas si longtemps que je pensais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
En tout cas, si dans six mois ou un an je ne m'accommodais pas de votre fille, en perdant quelque chose dessus, vous la reprendriez. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Ne vous avais-je pas bien dit qu'elle viendrait souper avec vous ? (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Il n'y a point de fille à Paris si bien morigénée ; elle ne couche jamais en ville. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Monsieur, je ne vous rends pas un méchant office de vous laisser seul avec votre maîtresse. (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
Ne vous étonnez pas, mademoiselle, si vous me voyez reculer trois pas au frontispice de vos charmes : vous avez des yeux capables d'embraser tout le bailliage de mon coeur ; et depuis qu'on porte des bouches, on n'a jamais bouchonné un bouchon si bouchonnable. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
De pareils efforts d'esprit sont bons pour la province ; mais à Paris on aime à parler terre à terre. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
À vous entendre parler, vous ne paraissez pas content des cavaliers de ce pays-ci ; et les dames, qu'en dites-vous ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
La la ; elles sont d'assez bonne amitié : j'en ai trouvé quelques unes de jolies en mon chemin ; mais, tout franc, je n'en ai point encore vu une de votre calibre. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Oui-da, oui-da, je trouve qu'elles se coiffent raisonnablement haut, et je crois que leurs maris ne sont guère coiffés plus bas, (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Pour moi, je trouve cela le plus joli du monde ; mais que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Et, s'il vous plaît, quand une femme revient du bal à cinq heures du matin avec un cavalier, qu'elle éveille toute la maison, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Mais, je vous prie, lorsqu'une femme vend ses pierreries pour faire l'équipage de quelque galant homme qui va à l'armée, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Les Parisiens sont trop bons serviteurs du Roi pour trouver cela mauvais. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Vaille que vaille, puisque j'ai fait les frais du voyage, je vous épouserai ; mais à condition que, dès le lendemain de la noce, vous vous mettrez dans la carriole du Mans pour venir régenter les chapons de ma basse-cour : l'air de Paris donne trop de maux de tête. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Ne m'obligez pas de m'expliquer ; j'en dirais peut-être plus que je ne veux. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Très volontiers ; rien n'est plus aisé : aussi bien je suis en pourparler avec un marquis de nos cantons qui s'en va à l'armée ; et, comme il a besoin d'argent, il veut me vendre sa charge de marquis avec sa pratique. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Que cela me fera de plaisir ! (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Mais, en achetant une charge de marquis, n'oubliez pas, s'il vous plaît, de vous faire donner les airs déhanchés de ces messieurs-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Adieu, ma belle enfant ; touchez là : dans une heure au plus tard je vous fais marquise ou baillivesse ; vous choisirez. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Je vous prie, mademoiselle ma fille, de ne point m'échauffer les oreilles ; je sais ce qu'il vous faut, et c'est à vous d'obéir quand je vous ai choisi un mari, entendez-vous ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
Mais voyez, je vous prie, comme cela fait la raisonneuse ! (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
Je vous dis encore une fois, mon père, laissez-moi mener cette affaire-là. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Vous êtes plus vieux que moi, j'en conviens ; mais je me connais mieux en maris que vous. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Vous prétendez qu'un homme que je n'ai jamais vu... (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
J'ai trop de raison pour... (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Si tu as de la raison tu dois m'obéir, et prendre le parti qui se présente. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
Son esprit me charme, et je connais peu de gens qui en aient plus que lui. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
J'allais me mettre en colère. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
Que cet embrassement me fait de plaisir ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
J'aimerais mieux mourir, mon père, que de vous désobliger. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
C'est donc ainsi, coquine, que tu fais état de mes remontrances, et que tu te moques de moi ! (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
Je n'irai pas perdre un amant pour la mauvaise humeur d'un père : nous sommes dans un temps où il faut garder le peu qu'on en a. (Acte 2, scène 9, COLOMBINE)
Tu ne fais plus que quatre repas par jour ; tu ne saurais plus t'éveiller qu'à midi sonné : tu vois bien qu'en cet état-là tu ne peux pas faire longue vie. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
Sais-tu bien qu'il n'y a rien de si triste que la mort ? (Acte 2, scène 10, PIERROT)
Mademoiselle, assurément vous me ferez faire quelque mauvais coup : je me serais déjà jeté vingt fois par la fenêtre de notre grenier, s'il avait été seulement un étage plus bas. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
Je ne connais point cela. (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
De quel mauvais vent ces femmes-là abordent-elles chez moi ? (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
On a dû vous dire, mademoiselle, que mon équipage s'est arrêté vingt fois à votre porte ; mais vous êtes introuvable, et toute des plus rares. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
Peut-on savoir, la belle, quels sont vos plaisirs ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Mais voyez ce teint, je vous prie, madame la Comtesse. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
Apparemment que vous l'avez pris du bon faiseur ; je n'ai jamais rien vu d'aussi charmant. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
Quand vous voudrez, nous jouerons ensemble ; mais je vous avertis que je suis la plus malheureuse fille du monde. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
Nous faisons nos visites de quartier. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Il est vrai ; mais je n'avais que quinze ans pour lors ; vous savez que c'est un âge terriblement scabreux pour une fille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
J'ai assez de peine à m'y résoudre ; mais que voulez-vous ? (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
Cela est fort bon pour vous, madame la Marquise, qui avez quantité d'enfants de votre premier lit ; mais une fille qui se marie est bien aise de savoir au juste à quoi elle est propre. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Pour moi, je suis malheureuse en garçons ; je n'en saurais élever ; je n'en ai plus que dix-sept. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
J'en aurais bien eu vingt-cinq ou trente, si tout était venu à profit ; mais les fausses couches ont fait de terribles brèches dans ma famille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Plusieurs partis me recherchent ; mais mon père me destine à un bailli du Maine, et... (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
Vous ne deviez jamais lâcher le mot de bailli. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Mes laquais, ma femme de chambre ! (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
Monsieur, ce sont des filles surnaturelles, qui connaissent les astres, les langues, et tout ce qu'il y a de plus extraordinaire au monde et hors du monde ; elles ne parlent qu'en vers : enfin, ce sont des filles d'un mérite sublime. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
Oh ! Vous avez raison. v.38 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
(Car cela vous fait mal) devrais-je convoler ? ) v.43 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
La porte des plaisirs qu'on goûte sans remords, v.51 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
J'en connais bien pourtant de plus d'une fabrique, v.56 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Qui ne furent jamais faits dans cette boutique ; v.57 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
J'en trouverais peut-être ici plus d'un témoin. v.59 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
C'est l'écueil du plaisir : pour tout dire en un mot, v.66 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
Sans elle une maison irait tout de travers : v.70 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
Par elle une maison va tout en décadence ; v.79 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
Elle ne met jamais de frein à sa dépense ; v.80 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
Un vaisseau sur lequel le nocher le plus sage v.83 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
Oh ! Vous avez raison ; je sais qu'une femelle v.88 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
La sotte d'ordinaire a l'esprit complaisant, v.97 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
De ses petits défauts aisément nous racquitte. v.100 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
Mais parlez-moi français ;... là, si je me marie, v.119 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Mauvaise sauvegarde v.135 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
D'un homme à qui l'on doit faire un mauvais parti. v.141 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
Tous les frais de la guerre. Allons, tant que quelqu'un v.149 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Et laisser qui voudra goûter du mariage. v.152 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Prédiseuses du diable, ah ! Laissez-moi partir. v.162 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Pour vous laisser, je veux vous mettre hors d'état v.165 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
De pouvoir à jamais sortir du célibat. v.166 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
Si j'avais l'avantage de vous voir souvent, je crois que je deviendrais une habile fille. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Si vous ne vous ménagez, vous n'en aurez jamais assez pour le reste de vos jours. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Laquais ! (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
Je prends toujours la précaution de me faire escorter de ce livre-là, quand je vais en visite de femmes, pour me dédommager des minuties de leur conversation. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
À vous dire le vrai, j'aime beaucoup mieux la conversation des hommes, et je voudrais parfois qu'il n'y eût que moi de femme au monde. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
J'allai voir, il y a quelque temps, une marquise ; je ne fus qu'un quart_d_heure avec elle, c'était pendant la canicule : sa conversation ne laissa pas de m'enrhumer si fort, que je me suis mise au gruau pendant trois semaines pour en revenir. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Mais non ; cela n'entre point dans l'esprit. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Mais encore ? (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
Croiriez-vous qu'elle ne put jamais me dire dans quelle olympiade mourut Épaminondas ? (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Je vais vous le lire. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Vous me ferez, je vous assure, un sensible plaisir. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
Ce n'est pas cela ; c'est un rondeau sur une absence, que je laisse quelque temps mitonner sur le réchaud de la réflexion... (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Quoi ! Pour avoir laissé sauver un prisonnier v.171 (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
J'ai d'assez belles humanités, comme vous voyez ; mais je vais me donner à la physique. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Je ne me prostitue jamais à une longue conversation, et j'aime les visites brèves et laconiques. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Laquais, laquais ! (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
Excusez-moi, s'il vous plaît ; je ne danse point, je fais des vers. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
Madame Pindaret se laisse tomber. v.178 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
J'aimerais mieux faire vingt sonnets que de... (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
Hé bien, mademoiselle, ne vous avais-je pas bien dit qu'il n'y avait guère de marquis plus ridicule que moi ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
À peine sais-je écrire mon nom ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Vous voulez vous divertir ; je sais ce que je dois croire, et j'appelle de votre modestie. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Cela est, parbleu, comme je vous le dis ; et je veux que le diable m'emporte si jamais j'ai eu d'autres livres qu'un almanach avec un Parfait Maréchal. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Mais où allez-vous donc ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Je voudrais que vous vissiez à la Comédie le terrain que j'occupe sur le théâtre. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
La scène n'est jamais vide avec moi. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Il n'y a que le théâtre de l'Opéra où je me trouve un peu en brassière ; je n'y saurais pirouetter à ma fantaisie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Je ne sais pas, pour moi, quel plaisir prennent certaines gens, à la Comédie, de venir étouffer un acteur jusque sur les chandelles. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Mais, de bonne foi, monsieur le Marquis, croyez-vous que ce soit pour voir peigner votre perruque, prendre du tabac, et faire votre carrousel sur le théâtre, que le parterre donne ses quinze sols ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Ma foi, quand il n'aurait que ce plaisir-là, cela vaut bien une mauvaise comédie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Je vous baise les mains : je n'entends point la comédie dans une loge comme un sansonnet ; je veux, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Oui, mademoiselle j'espère qu'il vous habillera parfaitement bien : depuis que je travaille, je n'ai jamais vu d'habit si bien taillé. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Margot est, ma foi, toute des plus jolies, et il y aurait plaisir de lui margotter le coeur ; je m'assure qu'elle n'a pas quinze ans. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Que ne vous laissez-vous voir aussi, Margot, vous qui êtes si jolie ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
Je n'oserais, mademoiselle. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Si tu voulais, Margot, m'épouser à la Harpillon, j'irais moi jusqu'à une verdure. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Écoutez, Margot, votre montée a peut-être raison, et il pourrait bien y avoir quelque chose à refaire à votre réputation. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Ma mie, me voudrais-tu tailler une chemise et quelques caleçons ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Mais il me semble, Margot, que ce manteau-là monte bien haut ; on ne voit point ma gorge. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
Taisez-vous, Margot ; vous êtes une sotte : tenez, remportez votre manteau ; j'y suis faite comme je ne sais quoi. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
Un petit mot : j'ai besoin d'une fille de chambre ; je crois que tu serais assez mon fait. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Sais-tu raser ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Je vois bien que vous êtes un gausseur: je mourrais de peur, si je touchais un homme seulement du bout du doigt. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Elle n'est, morbleu, pas sotte, et je m'aimerais presque autant que vous. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
Ne vous mettez pas en peine : on vous habillera en femme ; on vous fera peut-être faire serment d'être un époux commode, de laisser faire à votre femme tout ce qu'il lui plaira, de n'être point de ces maris coquets qui vivent de rapine, et laissent leurs femmes pour aller picorer sur le commun. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
Allons, faisons ce qu'il vous plaira. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
Tu n'étais qu'un vilain magot, v.182 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
Tu n'étais qu'un vilain magot, etc. v.188 (Acte 3, scène 11, LE-CHOEUR)
Faisons le pied de veau : v.208 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
Monsieur, je vous prie de me dire si je suis mâle ou femelle ; car, ma foi, je n'y connais rien. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
Je suis, mon père, disposée à vous obéir ; mais je ne crois pas que vous vouliez me donner pour mari un homme qui est capable de pareilles extravagances. (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)
Monsieur, quand je vous ai dit que j'étais mieux le fait de votre fille que cet homme-là, est-ce que je me trompais ? (Acte 3, scène 12, PIERROT)

LE DISTRAIT (1697)

Me paraissent, pour moi, tout à fait laconiques. v.6 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Mais, pour mieux raisonner avec vous là-dessus, v.7 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
Je hais ces fort-vêtus qui, malgré tout leur bien, v.15 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Vous ne lui pouvez pas reprocher sa naissance : v.18 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Qu'il ait, avec du bien, une honnête naissance ; v.29 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Mais c'est un fait, monsieur, dont peu je me soucie ; v.45 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Et je le trouve, moi, selon ma fantaisie. v.46 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Je sais bien qu'à parler de lui sans passion, v.47 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
On ne le voit jamais à lui dans nulle chose : v.50 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Mais ce n'est pas un crime enfin d'être ainsi fait. v.51 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Si je n'avais en vue un tel engagement, v.63 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Mais m'assurerez-vous que Léandre, en son coeur, v.67 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Et je voudrais bien voir qu'elle eût quelque v.74 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
J'ai cru qu'à la maison le feu venait de prendre. v.82 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Vous parlez bien à l'aise, avec votre censure. v.89 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Je vais vous l'amener. v.95 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Mon_Dieu ! Je sais assez comme il faut se conduire, v.97 (Acte 1, scène 3, MADAME GROGNAC)
Mais que peut-on apprendre en trois ans ? v.105 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Présentez mieux la gorge, et baissez cette épaule. v.113 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
J'ignorais qu'une fille, au mot de mariage, v.121 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Vous n'avez pas laissé d'en prendre un étant fille. v.129 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Eh bien ! Vit-on jamais un esprit plus reptile ? v.137 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Puis-je avoir jamais fait une telle imbécile ? v.138 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Mais, s'il s'en rencontrait quelqu'un qui pût me plaire, v.145 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Je pourrais l'accepter, ainsi qu'a fait ma mère. v.146 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Je sens là je ne sais quoi qui plaît ; v.151 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Mais je ne saurais bien vous dire ce que c'est. v.152 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Oh ! Je le sais bien, moi : c'est l'amour qui murmure. v.153 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
J'apprends avec plaisir une telle aventure. v.154 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Qui vous fait ressentir ce mouvement naissant ? v.156 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Il pleure quand il veut. Tu sais comme il est fait, v.159 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Mais, c'est le chevalier. v.168 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Je ne l'ai jamais vu ; mais on m'en a parlé v.183 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Mais lui, s'il me veut voir, puis-je l'en empêcher ? v.188 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Mais c'est une eau qui dort, dont il faut se garder. v.191 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Je parais toute sotte alors qu'on me querelle, v.193 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Taisez-vous, péronnelle. v.194 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Je le sais ; mais... v.198 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Mais, Madame, entre nous, il est de la raison... v.199 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Mais, Monsieur, entre nous, quand de votre façon, v.200 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
Tout à votre plaisir, sans que j'aille y gloser. v.204 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
J'avais dessein de faire une double alliance ; v.209 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Mais ce dédit fâcheux étourdit ma prudence. v.210 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
Je crains que notre amour n'ait un mauvais succès. v.216 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Le temps et la raison la changeront peut-être ; v.217 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Et mon neveu pourra... mais je le vois paraître. v.218 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
Le sujet si plaisant qui vous excite à rire. v.222 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Mais ce n'est rien encore ; et son valet m'a dit v.231 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
(Je le crois aisément) que le jour qu'il partit v.232 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Vous, n'aurez-vous jamais celui d'un homme sage ? v.242 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
C'est que nous prétendons avoir tous deux raison. v.248 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; v.273 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Le bien que je voulais faire en votre faveur. v.284 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Vous laissèrent de bien une somme légère ; v.286 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
Mais que fais-je donc tant, Monsieur, ne vous déplaise, v.289 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Pour trouver ma conduite à tel excès mauvaise ? v.290 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Oui ; mais en récompense, v.294 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Que nous faisons porter pour adoucir nos veilles, v.298 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Mais n'êtes-vous pas fou ?... v.317 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Vous en seriez charmé, si vous la connaissiez. v.324 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Je la connais : mais vous, connaissez-vous sa mère ? v.325 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Je vais tâter du vin dont nous ferons ce soir v.348 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Accepte ce baiser de moi pour Isabelle. v.350 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Quel amant ! Pour raison importante il diffère v.357 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Mais à bon chat bon rat ; et ce n'est pas merveille, v.365 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Avec plaisir, Carlin, je te vois dans ces lieux. v.367 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Fraîchement débarqué, je parAis à tes yeux, v.368 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Je sais tout. v.372 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Sortant d'une maison, l'autre jour, par bévue, v.377 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Le veut faire sortir, mais non pas par la porte ; v.390 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais un moment plus tard, pour t'achever mon conte, v.393 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Ton récit est charmant. Mais, raillerie à part, v.395 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Mais nos soins empressés ne nous ont rien valu ; v.399 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Nous le laissions mourir à sa commodité ; v.407 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Nous partons aussitôt, faisant partout flores , v.411 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais fol et vain espoir ! Vermisseaux que nous sommes ! v.413 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Non. Il ne fit jamais d'enfants, par avarice. v.421 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Et je n'en donnais pas une dose modique ; v.426 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
J'y mettais double charge, afin que par mes soins v.427 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais par trois fois, le sort, injuste, inexorable, v.429 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Nous en avons été pour les frais du voyage : v.438 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais nous avons laissé Poitevin tout exprès v.439 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Je vous applaudis fort. Mais comment va l'amour ? v.444 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
C'est-à-dire beaucoup ; mais comme il est distrait, v.447 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Je sais que ta maîtresse a de naissants appas, v.451 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais mon maître est fidèle, et son âme est pétrie v.453 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais, s'il aime Clarice ensemble et ma maîtresse, v.457 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
On dit qu'il est distrait ; mais moi, je le tiens fou : v.468 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Je me porte là là : mais toi ? v.483 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
En très bonne santé j'arriverais ici, v.484 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Si je n'étais porteur d'une large écorchure. v.485 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais mon maître paraît, il tourne ici ses pas. v.491 (Acte 2, scène 2, CARLIN)
Je ne sais si l'absence, aux amants peu propice, v.493 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
Je serais bien à plaindre, aimant comme je fais, v.500 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
Je suis plus que jamais dans une peine extrême. v.507 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
Si mon oncle fût mort, j'aurais, à mon retour, v.508 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
Mais je vois tout d'un coup mon attente trompée. v.510 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
Tu ne les trouves point ! Voilà comme tu fais ! v.512 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Ce qu'on te voit chercher ne se trouve jamais. v.513 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Mais j'ai cherché partout, ou je me donne au diable. v.515 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
Ah ! Ah ! Le tour est bon, et j'avais beau chercher. v.517 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
Mais dis-moi donc, maraud... v.522 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Mais je brûle, Carlin, d'une flamme trop pure. v.531 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Mais connais-tu comment la chose est avenue, v.538 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Je l'avais ce matin en montant à cheval. v.540 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
Mais, à propos de botte, un sort doux et propice v.542 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
J'allais m'offrir à vous, flatté de l'espérance v.546 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Vous êtes à mes yeux plus belle que jamais ; v.548 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Chaque amant parle ainsi : mais souvent, de retour, v.552 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
Madame, vous plaît-il de vous mettre à votre aise ? v.558 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
Nous n'avons qu'un fauteuil ici, ne vous déplaise, v.559 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
Si je vous aimais moins, je serais plus tranquille. v.562 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
De tout ce que le ciel fit jamais de plus beau. v.573 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Quoi ! Je pourrais exciter ce courroux ! v.581 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Mais ces distractions, qui vous sont naturelles, v.606 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
Mais le dédit pourrait traverser vos desseins. v.612 (Acte 2, scène 6, CARLIN)
Monsieur, avec plaisir... v.620 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
Je t'en sais fort bon gré. Viens-tu par inventaire, v.622 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Mais dis-moi, seras-tu toujours fou, chevalier ? v.624 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
Votre comparaison est odieuse, et cloche. v.631 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
Mais je dis que dans cet air si doux v.655 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
J'étais fort serviteur de monsieur votre père, v.662 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
Mais regardez-moi bien. v.674 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
Ah ! Je vous fais excuse, v.674 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
Mais, si vous voulez bien qu'en ami je m'explique, v.687 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
Votre air n'a point ce tour tendre, agréable, aisé, v.688 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
Je vous entretenais ici de votre flamme ; v.694 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Et voulais pour ma soeur faire expliquer votre âme, v.695 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Vous avez le goût bon. Si je n'étais son frère, v.698 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Mais je suis pris ailleurs. Près d'un objet vainqueur v.700 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Je fais à petit bruit mon chemin en douceur. v.701 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Et je vais pour chercher cet objet de mes feux. v.704 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Écoute... je ne sais ce que je voulais dire... v.711 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
Vous êtes encor là ! Je vous croyais bien loin. v.717 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
Je cherchais votre soeur, et ma peine est extrême... v.718 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
Mais si jamais, Monsieur, vous êtes son époux, v.720 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Ma soeur n'est pas ingrate ; et, sans égard aux frais, v.724 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
J'avais dans ce moment cent choses à lui dire. v.731 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
Fuir autant qu'on pouvait mauvaise compagnie : v.739 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
Mais je l'aime, et je sais qu'un coeur qui n'est point faux v.740 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
Oh ! Je n'en sais pas tant. v.760 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Mais encor ? v.761 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Je ne sais si ce que mon coeur sent v.761 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Se peut nommer amour ; mais enfin je t'avoue v.762 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Que j'ai quelque plaisir d'entendre qu'on le loue : v.763 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Mais que te dis-je, hélas ! Mon coeur partout le suit : v.768 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Mais enfin c'est un mal dont vous ne guérirez v.773 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Léandre a de l'esprit, mais il est trop distrait. v.777 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Qui vole incessamment de plaisirs en plaisirs, v.780 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Laissant vivre sa femme au gré de ses désirs, v.781 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Tu sais bien que ma mère est d'une humeur étrange ; v.786 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Voudrais-tu donc me voir, en amoureux novice, v.802 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Je ne fais point, morbleu, l'amour comme un bourgeois ; v.805 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Je vais tout droit au coeur. v.806 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
La manière est plaisante. v.814 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Vous voulez nous montrer votre tête naissante ; v.815 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Oh ! Monsieur, je sais bien... v.819 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Fais-m'en approcher un pour m'étendre à mon aise. v.822 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Tenez-vous sur vos pieds, Monsieur, ne vous déplaise. v.823 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
En mari ! Mais, Monsieur, vous êtes chevalier : v.840 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Quel abus ! Nous faisons tous les jours alliance v.842 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Laissez, laissez-moi seul affronter la tempête. v.846 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Elle sait votre nom, mais ne vous connaît pas : v.849 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
À des hommes, français ; et suisse à des chevaux. v.864 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Or je vous disais donc tantôt que l'adjectif v.868 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Madame, vous voyez, sans trop de complaisance, v.898 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
J'aime mieux vous baiser, maman. v.914 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
Je ne suis point, monsieur, femme que l'on plaisante. v.916 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
Mais quelle étourderie ! v.921 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Pour éviter le bruit, j'avais trouvé moyen v.922 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Mais je veux sur-le-champ réparer cette faute. v.925 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Je m'en vais la rejoindre, et tâcher de calmer v.926 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
Laissons pour quelque temps passer ici l'orage. v.932 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
Je ne te vois jamais, quand j'ai besoin de toi. v.939 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
C'est du meilleur qu'on puisse jamais prendre, v.948 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
Oh ! Je n'y pensais pas ; j'ai jeté l'un pour l'autre. v.953 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
Dis-lui bien que mon coeur n'en fut jamais touché ; v.966 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
De fixer le penchant d'un homme raisonnable. v.969 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Mais me parleras-tu toujours de cette montre ? v.973 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Eh bien ! C'est un malheur. Fais-lui bien concevoir v.974 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Qu'Isabelle sur moi n'eut jamais de pouvoir, v.975 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Je passerais des jours filés d'or et de soie. v.994 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Jamais rien de plus beau ne s'offrit aux regards ; v.1004 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Bon ! Votre coeur pour moi ne fut jamais touché ; v.1008 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
De fixer le penchant d'un homme raisonnable : v.1011 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
Lisette, tu devrais, dans le soin qui t'anime, v.1014 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
Volontiers. Mais que personne au moins v.1032 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
Que j'aurais de plaisir, avec deux bons soufflets, v.1036 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
Mais je ne perdrai pas ici toute ma peine, v.1038 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
Et je vais ordonner qu'on m'amène un notaire : v.1047 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
Mon coeur en est charmé ; mais je crains votre humeur, v.1056 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
Je craindrais de vous nuire. v.1067 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
Vous me ferez plaisir, Madame, assurément. v.1068 (Acte 3, scène 14, LEANDRE)
Je vais le supplier de vous faire justice, v.1070 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
J'avais mis Isabelle. v.1082 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
Mais qu'est-ce que je vois ! v.1084 (Acte 3, scène 18, CARLIN)
Vous pouvez dans ce lieu tout à votre aise écrire, v.1086 (Acte 3, scène 18, ISABELLE)
Tu nous as fait le tour ; mais vingt coups de bâton, v.1096 (Acte 3, scène 20, LISETTE)
Dans peu, Monsieur Carlin, nous en feront raison. v.1097 (Acte 3, scène 20, LISETTE)
Mais, depuis un moment, mon âme est bien changée. v.1103 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
Je sais bien que l'hymen peut avoir ses dégoûts ; v.1112 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
D'accord ; mais plus on voit de près le précipice, v.1115 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
Je pourrais bien ici répondre de son coeur ; v.1121 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
Si j'en faisais autant, je passerais chez vous v.1128 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
J'ai tort ; mais... v.1130 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
Mais, mais, mais ! v.1130 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
Je m'étais introduit tantôt chez Isabelle, v.1131 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
J'y passais pour un autre ; et Monsieur, là-dessus, v.1133 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais je réparerai ma faute. v.1137 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
Je n'y connais plus rien. Dans le siècle où nous sommes, v.1142 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
Et je sais qui t'oblige à parler de la sorte ; v.1150 (Acte 4, scène 2, CLARICE)
Tu sais bien qu'entre-nous nous parlons assez net. v.1156 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
Le plaisir de l'hymen est terrestre et grossier. v.1164 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
Si quelque amant venait frapper ta fantaisie, v.1170 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
Tu pourrais avec lui faire quelque folie. v.1171 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
Mais tu me dis aussi toujours la même chose. v.1175 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
Mais Léandre aujourd'hui triomphe encor de moi. v.1209 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
Mets-toi dans un couvent, tu ne saurais mieux faire. v.1211 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
Mais l'avis ne vaut pas cinquante mille écus. v.1213 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
Je sais que vous voulez devenir mon beau-frère ; v.1222 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Quand mon père mourut, il nous laissa, pour vivre, v.1226 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Et n'avez-vous jamais eu que ce père-là ? v.1229 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
Je sais votre naissance et votre probité, v.1232 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Mais je serais content de vous en voir défait. v.1236 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
On ne m'entend jamais censurer ni médire, v.1246 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
On parle volontiers ; mais un homme d'esprit v.1248 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
Au lieu qu'avec plaisir, d'une langue sans frein, v.1252 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
On n'insultera pas ma naissance, je crois. v.1257 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Mais on ne me dit pas de vous autant de bien v.1264 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
Que je souhaiterais. On dit (je n'en crois rien) v.1265 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
Enfin, que sais-je, moi ? L'on charge ma mémoire v.1278 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
De cent mauvais récits que je ne veux pas croire : v.1279 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
De donner trop crédit à de mauvais discours. v.1281 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
Vous raisonnez parfois comme un sage de Grèce ; v.1295 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
Et d'autres fois aussi vos faits et vos raisons v.1296 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
Vous font croire échappé des petites-maisons. v.1297 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
Mais sais-tu bien, maraud, qu'avec ta remontrance, v.1298 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Je suis un peu distrait, mais ce n'est pas un crime. v.1311 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Mais celui qui comprend toujours plus d'un objet v.1320 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Je vous excuse aussi. Mais permettez, de grâce, v.1322 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
J'irais de ma pensée interrompre le cours, v.1329 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Pour un plaisant qui vient de son bruit m'enivrer, v.1332 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Mais voyez, s'il vous plaît, quelle distraction ! v.1337 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Je vais, je cours, je vole, et je reviens à vous. v.1353 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
Ah ! Vous avez raison. On hurle avec les loups ; v.1361 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Qui se gagne aisément. v.1364 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Eh ! Tais-toi, je te prie ; v.1364 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Ne me fatigue point par tes mauvais discours. v.1365 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Quelque mauvais génie v.1372 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Tu peux avoir raison ; c'est contre ta coutume. v.1376 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Coûtait comme celui qu'on emploie au palais, v.1382 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
C'est très bien fait. Mais moi, je plains fort Isabelle. v.1395 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Fais trève à tes paroles. v.1400 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
Je tremblais de vous voir faire quelque méprise. v.1416 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Et j'attendais encore un trait de votre crû. v.1418 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Je m'en vais emprunter les ailes de mercure. v.1424 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Remettons deux amants... mais qu'est-ce que je vois ? v.1426 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
« Pour Isabelle. » Oh diable ! Aurais-je la berlue ? v.1427 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
Quelque nuage épais m'obscurcit-il la vue ? v.1428 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
Mais non, j'ai, grâce au ciel, encore deux bons yeux. v.1429 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
Mais le nom d'Isabelle est peint sur ce papier. v.1433 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
Mais, de grâce, un seul mot. v.1453 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
On ne traita jamais un courrier de la sorte. v.1455 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
Mais tu perds le respect ; je suis ambassadeur. v.1457 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
Mais d'un autre côté le chevalier s'avance. v.1460 (Acte 5, scène 2, LISETTE)
Mais je vois votre soeur tourner ici ses pas. v.1482 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
Tant mieux. Mais puisque enfin vous épousez Léandre, v.1487 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
L'amitié, la raison m'obligent à vous rendre v.1488 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
Quel rôle fais-je ici ? v.1490 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Tenez, voilà la lettre, et le cas que j'en fais. v.1494 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
Mais je puis sur-le-champ m'éclaircir encor mieux. v.1498 (Acte 5, scène 5, CLARICE)
Mais je vois son valet. v.1501 (Acte 5, scène 5, CLARICE)
Mais du moins, jusqu'au bout lisez donc le billet. v.1510 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
Si mon maître est ingrat, puis-je mais de cela ? v.1513 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
Mais il vient ; vous pouvez l'étrangler : le voilà. v.1514 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
Je veux tirer raison de cette perfidie. v.1528 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
Non, je n'ai jamais vu de pièce d'écriture v.1531 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
Oui, vous avez raison de vous faire justice. v.1539 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
Ne t'avais-je pas dit de la rendre à Clarice ? v.1540 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
Mais le dessus écrit suffit pour te confondre. v.1543 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
Mais je ne reçois point un grossier artifice. v.1555 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
Mais si vous avez lu le dedans de ma lettre, v.1559 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
« Oui, belle Clarice, je n'adore que vous, et fais tout mon bonheur de vous aimer le reste de ma vie. » (Acte 5, scène 7, CLARICE)
C'est une vérité ; le plaisir qu'il reçoit v.1581 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
Que mon plaisir serait de pouvoir, en ce jour, v.1585 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
Mais il faut du dédit encor vous délier, v.1589 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
Qu'au bien qu'on vous devait laisser par testament. v.1594 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
Elle ne m'a point vu ; je puis aisément dire v.1599 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
Mais, crois-tu... v.1601 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
Laissez-moi, l'affaire est dans le sac. v.1601 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
Je vais tout préparer pour que la mine joue ; v.1603 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
Ouais ! v.1609 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
Je vous trouve plaisant ! Au gré de mes souhaits v.1610 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
Taisez-vous. v.1613 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
Mais où sommes-nous donc ? v.1621 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
Tu nous fais bien attendre. v.1635 (Acte 5, scène 10, CLARICE)
Ne vous a pas laissé de quoi porter le deuil. v.1654 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
Nous voilà pour jamais réduits à la besace. v.1656 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
À d'autres qu'à Léandre, avait laissé son bien ? v.1685 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
Ma foi, je le croyais. Mais, puisqu'il n'en est rien, v.1686 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
Voulut vous enlever, vous le laissâtes faire : v.1691 (Acte 5, scène 10, LISETTE)
Taisez-vous, s'il vous plaît. v.1693 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
Fasse qui le voudra les frais du mariage ; v.1703 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
Vous serez belles-soeurs. Mais, surtout, gardez-vous v.1709 (Acte 5, scène 11, LE CHEVALIER)
Laissez votre oncle en paix. Quel diantre de langage ! v.1715 (Acte 5, scène 12, CARLIN)
Tu m'en fais souvenir, je l'avais oublié. v.1718 (Acte 5, scène 12, LEANDRE)

LE RETOUR IMPRÃ‰VU (1700)

Je suis fort aise de vous rencontrer. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
Elle ne fait rien que de mal ; et le pis que j'y trouve, c'est qu'elle garde auprès d'elle une coquine comme vous, qui ne lui donnez que de mauvais conseils, et qui la poussez dans un précipice où son penchant ne l'entraîne déjà que trop. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
Voilà un discours très sérieux au moins, madame ; et si je répondais aussi sérieusement, la fin de la conversation pourrait bien faire rire ; mais le respect que j'ai pour votre âge, et pour la tante de ma maîtresse, m'empêchera de vous répondre avec aigreur. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Quelle vie faisons-nous, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
C'est bien à elle d'avoir seule une grosse maison, des habits magnifiques ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
Premièrement, ma fille unique ne veut plus être religieuse ; je m'en vais la marier : mon frère le chanoine, qui lui en veut depuis longtemps, la déshéritera ; car il est vindicatif. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
Vraiment, c'est pour cela que nous songeons à profiter de la belle saison. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Qui est cette vieille madame avec qui tu étais en conversation ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Tu ne connais pas madame Bertrand, la tante de ma maîtresse ? (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Si fait vraiment, je ne connais autre ; je ne l'avais pas bien envisagée. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
C'est une femme fort à son aise, qui a de bonnes rentes sur la Ville, des maisons à Paris. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Oui, mais elle n'en est pas plus riche. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Mais sais-tu bien qu'en temps de peste, cette fille-là pourrait devenir un très gros parti ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Le parti n'est pas mauvais dès à présent ; et la beauté... (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Tu as raison, sa beauté lui tient lieu de tout, et mon maître est absolument déterminé à l'épouser. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Il y aura peut-être quelque tribulation à essuyer au retour de notre bon homme de père : mais il ne reviendra pas si tôt ; nous aurons le temps de nous préparer ; et mon maître ne sera pas malheureux, s'il n'a que ce chagrin-là de son mariage. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Tu es encore un plaisant visage, de croire que Clitandre puisse jamais se repentir d'avoir épousé Lucile, une fille que j'ai élevée ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Une fille aisée à vivre ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Il est d'un naturel trop prodigue pour devenir jamais trop économe. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Mais voici ton maître. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Mais, s'il vous plaît, qu'allons-nous faire en attendant le retour de monsieur votre père, qui est en Espagne depuis un an pour les affaires de son commerce ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Voilà un petit rafraîchissement qui nous mènera quelque temps, et nous travaillerons ensuite sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Travaillez-y donc vous-même ; car pour moi je fais conscience d'être l'instrument et la cheville ouvrière de votre ruine ; c'est par mes soins que vous avez trouvé le moyen de dissiper plus de dix mille écus, sans compter douze ou quinze mille francs que vous devez encore à plusieurs quidams, usuriers ou notaires (c'est presque la même chose), qui nous vont tomber sur le corps au premier jour. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Il ne vous a prêté que cela ; mais vous avez fait le billet de deux mille écus. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Il a, depuis quatre jours, obtenu contre vous une sentence des consuls ; et il ne serait pas plaisant que, le jour de la noce, il vous coucher au Châtelet. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Nous avons fait argent de tout : les revenus sont touchés d'avance ; la maison de la ville est démeublée à faire pitié ; nous avons abattu les bois de la maison de campagne, sous prétexte d'avoir de la vue. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Tu as raison, Merlin. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Entre nous, ce n'est pas un grand génie que monsieur votre père ; je l'ai mené autrefois par le nez, comme vous savez ; je lui fais accroire ce que je veux : et quand il reviendrait présentement, je me sens encore assez de vigueur pour vous tirer des affaires les plus épineuses. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Mais voici la charmante Lucile et sa cousine. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Les démarches que vous me faites faire, Clitandre, ne peuvent être justifiées que par le succès qu'elles vont avoir ; et je serais entièrement perdue dans le monde, si le mariage ne mettait fin à toutes les parties de plaisir où je me laisse engager tous les jours. (Acte 1, scène 5, LUCILE)
Je n'ai jamais eu d'autres sentiments, belle Lucile ; et voilà votre amie qui peut vous en rendre témoignage. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Mais moi qui n'entre pour rien dans l'aventure, et qui n'ai point en vue de conclusion, quel personnage est-ce que je fais dans tout ceci ? (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
Je voudrais que le nôtre la pût engager à nous imiter ; et j'ai un jeune homme de mes amis qui s'est brouillé depuis quelques jours avec sa famille. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Non ; ces sortes d'alliances-là ne me plaisent point. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
Mais voici votre Marquis qui vient au rendez-vous. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Je vais voir si tout se prépare pour votre souper. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Vous m'attendez, c'est bien fait : je suis l'âme de vos parties, j'en conviens ; le premier mobile de vos plaisirs, je le sais. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Allons, de la gaîté ; je ne me suis jamais senti de si belle humeur ; et je vous défie de m'ennuyer. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Vous connaissez ce cheval barbe et cette jument arabe que je mets ordinairement à ma chaise ; il n'y a pas deux meilleurs animaux pour un rendez-vous de vitesse. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Te voilà au comble des plaisirs ; tu vas nager dans les délices : tu sais l'intérêt que je prends à tout ce qui te touche. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Mais, dis-moi, je te prie, as-tu passé, comme tu m'avais promis, chez ce joaillier, pour ces diamants ? (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
Je veux être déshonoré, si je ne vous trouve fort à mon g é : je me sens même de la disposition à vous aimer un jour à l'adoration, à la fureur ; mais point de mariage au moins, point de mariage ; j'aime les amours sans conséquence : vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Il n'est pas connaissable depuis qu'il me hante, ce petit homme. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Je le mène un peu raide ; mais ces petits messieurs-là ne sont-ils pas trop heureux qu'on leur inspire les manières de cour, et qu'on leur apprenne à se ruiner en deux ou trois ans ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Je ne le vois point ici : c'est un joli garçon ; je l'aime ; je le trouve admirable pour faire une ressource, pour écarter les créanciers, amadouer des usuriers, persuader des marchands, démeubler une maison en un tour de main. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Que ton père a eu de prévoyance, d'esprit, de jugement, de te laisser un gouverneur aussi sage, un économe aussi entendu ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Je vous disais bien que Merlin était un joli garçon. (Acte 1, scène 7, LE-MARQUIS)
Je me sens en disposition louable de bien boire du vin ; vous allez voir si j'en tiens raisonnablement. (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Mais que vois-je ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Il semble que tu ne me fais guère bonne mine ; et tu ne me parais pas trop content de notre arrivée. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
Mais que diable as-tu donc ? (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
Je ne saurais. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Dis à mon maître que son père est de retour, mais qu'il ne s'embarrasse point : je vais l'attendre ici, et tâcher de faire en sorte que nous puissions... (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Je me donne au diable, si je sais comment m'y prendre. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Allons, Merlin, de la vivacité, mon enfant, de la présence d'esprit, Ceci est violent : un père qui revient en impromptu d'un long voyage ; un fils dans la débauche, sa maison en désordre, pleine de cuisiniers ; les apprêts d'une noce prochaine ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Enfin, après bien des travaux et des dangers, voilà, grâce au ciel, mon voyage heureusement terminé ; je retrouve ma chère maison, et je crois que mon fils sera bien sensible au plaisir de me revoir en bonne santé. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Les enfants ont bien de l'obligation aux pères qui se donnent tant de peine pour leur laisser du bien. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Oui ; mais ils n'en ont guère à ceux qui reviennent si mal à propos. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Je ne veux pas différer davantage à rentrer chez moi, et à donner à mon fils le plaisir que lui doit causer mon retour : je crois que le pauvre garçon mourra de joie en me voyant. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Mais il faut l'aborder. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Mais vraiment ! (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Non ; je suis venu par le carrosse de Bordeaux, où mon vaisseau est heureusement abordé depuis quelques jours... (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Mais nous serons aussi bien... (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
Que tu me fais de plaisir, Merlin, de m'apprendre une si bonne nouvelle ! (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Une affaire de deux mille écus qui me sont dûs par son maître, dont j'ai le billet, et, en vertu d'icelui, une bonne sentence par corps, que je vais faire mettre à exécution. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
Oui, justement, Clitandre, un enfant de famille, dont le père est allé je ne sais où, et qui sera bien surpris, à son retour, quand il apprendra la vie que son fils mène pendant son absence. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
Comme les honnêtes gens se connaissent ! (Acte 1, scène 12, MERLIN)
Quand vous saurez le fond de cette affaire-là, vous serez charmé de monsieur votre fils ; il a acheté une maison de dix mille écus. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
Une maison de dix mille écus ! (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
Et, dis-moi un peu, dans quel endroit de la ville mon fils a-t-il acheté cette maison ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Mais vraiment, c'est aussi dans celui-ci qu'il l'a achetée. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Tenez, voyez-vous bien cette maison couverte d'ardoise, dont les fenêtres sont reblanchies depuis peu ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Ce n'est pas celle-là ; mais un peu plus loin, à gauche, là... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Je ne saurais voir cela d'ici. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Ne serait-ce point la maison de madame Bertrand ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Mais pourquoi cette femme-là vend-elle ses héritages ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Sa famille l'a fait interdire ; et son fils, qui est un dissipateur, a donné sa maison pour moitié de ce qu'elle vaut. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Mais elle n'avait point de fils quand je suis parti. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Mais je m'amuse ici trop longtemps ; fais-moi ouvrir la porte. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Votre maison, cette chère maison que vous aimez tant... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Ma maison, depuis six mois... (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Le diable s'est emparé de ma maison ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
C'est ce qui a obligé votre fils à acheter cette autre maison ; nous ne pouvions plus demeurer dans celle-là. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Il n'y a sorte de niches qu'ils ne m'aient faites ; tantôt ils me chatouillaient la plante des pieds, tantôt ils me faisaient la barbe avec un fer chaud ; et, toutes les nuits régulièrement, ils me donnaient des camouflets qui puaient le soufre... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Mais, encore une fois, je crois que tu te moques de moi. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Une frayeur soudaine commence à me saisir. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Il y a vingt mille francs dans votre maison ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Mais savez-vous bien, monsieur, que vous jouiez là à nous faire tordre le cou ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Bon, elle en sera plus aisée à emporter. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Oh çà, monsieur, puisque nous savons la cause du mal, il ne sera pas difficile d'y remédier ; je crois que nous en viendrons à bout : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
J'ai peine à me persuader tout ce que tu me dis : cependant on fait tant de contes sur ces matières-là, que je ne sais qu'en croire. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Je m'en vais au-devant de mes hardes, et je reviens sur mes pas, pour voir ce qu'il faut faire en cette occasion. (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
Cela n'est que trop vrai : mais, pour nous en consoler, j'ai trouvé un trésor. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
Mais si... (Acte 1, scène 15, LISETTE)
Que le diable, t'emporte avec tes si et tes mais. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
J'ai trouvé mes gens à deux pas d'ici, et je les ai fait demeurer, parce qu'il m'est venu en pensée de mettre mes ballots dans cette maison que mon fils a achetée. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
Je le veux bien, monsieur ; mais... (Acte 1, scène 17, MERLIN)
Mais ? (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
Le diable ne s'est pas emparé de celle-1à ; mais madame Bertrand y loge encore. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
On est convenu qu'elle achèverait le terme ; et comme elle a l'esprit faible, elle se met dans une fureur épouvantable quand on lui parle de la vente de cette maison ; c'est là sa plus grande folie, voyez-vous. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
Tu me fais perdre patience. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
Hé bien, monsieur, parlez-lui donc ; la voilà qui vient heureusement ; mais souvenez-vous toujours qu'elle est folle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
Oui, madame, c'est lui-même ; mais il est revenu fou : son vaisseau a péri ; il a bu de l'eau salée un peu plus que de raison ; cela 1ui a tourné la cervelle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
Laisse-moi faire. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
On dit qu'il revient des esprits dans ma maison ; il faudra bien qu'ils en délogent, quand ils seront las d'y demeurer. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Des esprits dans sa maison ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Je voudrais bien, madame Bertrand, mettre dans votre maison quelques ballots que j'ai rapportés de mon voyage. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Il ne se souvient pas que son vaisseau a péri : quelle pitié ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Je suis à votre service, et ma maison est plus à vous qu'à moi-même. (Acte 1, scène 18, MADAME BERTRAND)
Mais vraiment, Merlin, cette femme-là n'est pas si folle que tu disais. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Elle a quelquefois de bons moments, mais cela ne dure pas. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
Dites-moi, madame Bertrand, êtes-vous toujours aussi sage, aussi raisonnable qu'à présent ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Je ne pense pas, monsieur Géronte, qu'on m'ait jamais vue autrement. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Mais si cela est, votre famille n'a point été en droit de vous faire interdire. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Mais si vous n'êtes pas ordinairement plus fou qu'à présent, je trouve qu'on a grand tort de vous faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Êtes-vous fâchée qu'on ait vendu votre maison ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
On a vendu ma maison ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Mon pauvre monsieur Géronte, ma maison n'est point vendue, et elle n'est point à vendre. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Qu'est-ce à dire, comme si j'étais dans mon bon sens ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Allez, vous êtes un vieux fou ; un vieux fou, à qui il ne faut point d'autre habitation que les Petites-Maisons ; les Petites-Maisons, mon ami. (Acte 1, scène 18, MADAME BERTRAND)
Puisque vous le prenez sur ce ton-là, vous sortirez de la maison ; elle m'appartient, et j'y ferai mettre mes ballots malgré vous. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Mais voyez cette vieille folle ! (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
Vous n'avez qu'à y venir ; je vais vous y attendre. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Je ne sais pas comment je me tirerai de cette affaire. (Acte 1, scène 19, MERLIN)
Les diables de chez vous sont un peu ivrognes ; ils se plaisent dans la cave. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Je n'entrerai pas dans ma maison ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
Il serait beau, vraiment, qu'au retour d'un voyage, après une si longue absence, un fils qui sait vivre, et que j'ai façonné, eût l'impolitesse de recevoir son très cher et honoré père dans une maison où il n'y a que les quatre murailles ! (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
Justement : nous nous en sommes aussi défaits, mais par délicatesse de conscience. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
Je ne sais ce que c'est que votre nièce ; mais mon fils est un coquin, madame Bertrand. (Acte 1, scène 21, GÉRONTE)
Oui, un débauché, qui m'a donné de mauvais conseils, et qui est cause.... (Acte 1, scène 21, MERLIN)
Mais que vois-je ? (Acte 1, scène 22, GÉRONTE)
Tout ceci est un effet du zèle et de l'imagination de Merlin, pour vous empêcher d'entrer chez vous, où j'étais avec Lucile dans le dessein de l'épouser. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
Tu te moquais de moi ! (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
La maison... (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
Mais... (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)

ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)

Ma foi, monsieur, je me suis brouillé avec elle dès le jour que je suis entré chez vous : mais, Dieu merci, je suis au-dessus de la fortune ; je veux me retirer du monde. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Oui, monsieur, j'ai fait depuis peu des réflexions morales sur la vanité des plaisirs mondains : je suis las d'être bien battu et mal nourri ; je suis las de passer la nuit à la porte d'un lansquenet, et le jour à vous détourner des grisettes ; je suis las enfin d'avoir de la condescendance pour vos débauches, et de m'enivrer au buffet, pendant que vous vous enivrez à table. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Je vais me rendre mari d'une certaine Lisette, qui est le bel esprit de ce village-ci. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Je n'ai point encore trouvé en mon chemin cette Lisette si aimable ; j'en sais mauvais gré à mon étoile. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Mais cette digression vous fait oublier qu'il s'agit entre vous et moi d'une petite règle d'arithmétique. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Tu ne sais ce qu'il te faut. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Je sais bien que j'ai tous les talents pour faire fortune à la ville ; mais je borne mon ambition à Lisette, à qui j'apporte en mariage les six cents livres dont je vais vous donner quittance. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Je ne vous importunerais pas. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Je lui demandais mon congé et mes gages : il a partagé le différend par moitié ; il m'a donné mon congé, et me retient mes gages. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Je ne manque pas de bonne volonté ; mais je considère... (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Ouais ! (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Il va, il vient, il piétine, il peste contre son infidèle, et a toujours quelque raisonnement d'enfant qu'il veut qu'on écoute ; enfin, c'est un petit obstiné que j'ai été contrainte d'enfermer, afin qu'il me laissât en paix travailler à ses affaires. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
J'ai sauté par la fenêtre de la salle où tu m'avais enfermé, pour te venir dire que tout le tripotage de veuve que tu veux faire pour attraper ce Dorante, par-ci, par-là, tant y a que tout ça ne vaut rien. (Acte 1, scène 4, COLIN)
Laissez opiner Colin ; il me paraît homme de tête. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
Et va-t'en achever d'imaginer ; laisse-moi exécuter. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Je te dis que tu te taises. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
N'est-y pas vrai, li redirai-je, que quand vous me dites ça, je dis, moi, que les paroles étaient belles et bonnes, mais que ça ne tient guère, à moins qui n'y ait quelque chose, là, qui signifie qu'ou n'oseriez pus prendre d'autre mari .que moi ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
Je ne barguignerai point à li faire tout dire ; car si a m'épouse, l'épousaille couvre tout ; et sinon, je sis bien aise qu'on sache que la récolte appartient à sti qui a défriché la terre. (Acte 1, scène 4, COLIN)
A dira peut-être que c'est qu'a dormait ; mais je sais bien qu'a ne faisait que semblant ; car a se réveillit tout juste quand... (Acte 1, scène 4, COLIN)
Colin imagine mieux que nous, mais nous exécuterons mieux que Colin. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
J'y vas, mais j'enrage. (Acte 1, scène 4, COLIN)
J'avoue que les grands airs de ton maître ont saisi la superficie de son imagination ; mais le fond du coeur est encore pour Colin. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Si j'allais lui dire que mon maître veut qu'elle les mette... (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
Je vous avais bien dit que ses empressements ne dureraient pas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
En une nuit, il arrive de grandes révolutions dans le coeur d'un Français. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Oui, sur la fin de ce siècle-ci, les amants et les saisons se sont bien déréglés ; le chaud et le froid n'y dominent plus que par caprice. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
En Poitou nous avons une règle certaine ; c'est que le jour des noces, le thermomètre de la tendresse est à son plus haut degré ; mais le lendemain il descend bien bas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Vous voulez me persuader tous deux que Dorante sera inconstant ; mais il faudrait que je fusse folle pour craindre qu'il change. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Quand Colin me disait tout simplement qu'il me serait fidèle, je le croyais ; et je ne croirais pas Dorante qui est gentilhomme, et qui fait des serments horribles qu'il m'aimera toujours ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Si vous vouliez m'écouter une fois en votre vie, je vous ferais voir que Dorante... (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Elle a raison. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
Je voudrais bien l'être aussi ; niais je ne sais pas lequel je dois mettre des deux habits. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Je ne pourrai jamais venir à bout d'arranger tant de machines sur ma tête ; il n'y a pas de place pour en mettre seulement la moitié. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Quand il s'agit de placer des fadaises, la tête d'une femme a plus d'étendue qu'on ne pensé. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
Mais vous me faites souvenir que j'ai ici le livre instructif que la coiffeuse a envoyé de Paris. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
Ouais ! (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
Mais vous lirez cela à loisir. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
Tu es bien sûr que ton maître n'a jamais vu la veuve ? (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Pour se venger, elle a pris plaisir à se trouver masquée à deux ou trois assemblées où il était, de faire la passionnée ; en un mot, de se moquer de lui, trouvant toujours des excuses pour ne se point démasquer. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
C'est une gaillarde qui fait mille plaisanteries de cette nature pour égayer son veuvage. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
Puisque cela est ainsi, je contreferai la veuve comme si je l'étais. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Laisse-moi faire. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Mais il ne faut pas tant de façon avec mon maître. (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
Un homme qui se croit aimé de toutes les femmes en est aisément la dupe. (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
Fait comme vous êtes, monsieur, je n'eusse jamais deviné que l'amour vous ferait perdre votre fortune. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Mais n'en parlons plus, vous avez le coeur pris pour Agathe. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Avec vingt mille écus on achète un régiment, on est utile au prince ; tu sais qu'un gentilhomme doit se sacrifier pour les besoins de l'État. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
Pour lors vous l'aborderez, vous, en faisant semblant de rien ; elle vous écoutera en faisant semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Si vous pouviez vous souvenir de cette mine que vous fîtes l'autre jour à la comédie, là, une certaine mine qui perdit de réputation cette femme à qui vous n'aviez jamais parlé. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
Il faut un peu la laisser ronger son frein. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
Vous avez raison ; votre geste est tout plein de mérite, et vous avez encore plus d'esprit de loin que de près. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
Sans égard pour ma naissance, v.10 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
Je vais chanter, pour me désennuyer, un petit air que je fis à Poitiers pour cette charmante veuve. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
Je crois que voilà mon aimable invisible dont je te parlais. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
J'y venais chercher la solitude, et pleurer en liberté. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
N'achevez pas, monsieur ; je crains que vous ne me fassiez des propositions que je ne pourrais entendre sans horreur ; car, enfin, il n'y a encore que huit ans que mon mari est mort. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Que je ne me remarierais point. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Profitez du moment, monsieur : elle est femme ; et puisque sa parole baisse, il faut qu'elle soit bien faible. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
Puisqu'il faut vous l'avouer, dès la seconde fois que je vous vis, je formai le dessein de faire votre fortune ; mais je voulais vous éprouver. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Vous avais-je vue, madame ? (Acte 1, scène 11, DORANTE)
C'est donc pour cela qu'il me faisait tant attendre ? (Acte 1, scène 12, AGATHE)
Je l'avoue finalement ; à votre refus, j'avais baissé les yeux sur une petite fermière ; parce que je trouvais une somme d'argent pour nettoyer de gros biens que j'ai en direction : mais d'honneur je ne l'ai jamais regardée que comme un enfant, une poupée avec quoi on se joue ; et depuis les charmantes conversations de Poitiers, vous n'avez point désemparé mon coeur. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
Mais, avant toutes choses, il faut que vous disiez à Agathe, en ma présence, que vous ne l'avez jamais aimée. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
Mais enfin, dire en face à une femme que je ne l'aime point, c'est l'assassiner : le coup est mortel, madame ; et je dois avoir des ménagements pour une pauvre petite créature, qui... (Acte 1, scène 13, DORANTE)
Mais, madame, je quitte tout pour vous suivre. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
Je me laisse enlever, je vous épouse : faut-il d'autres marques de mon amour ? (Acte 1, scène 13, DORANTE)
Je vais vous satisfaire. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
Mais me ferai-je connaître après ce qu'on lui vient de dire de moi ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Mais je crois vous avoir vue quelque part. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Je ne sais pas. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Vous m'aviez enlevé mon amant ; mais je suis déjà vengée, puisqu'il vous a sacrifiée à moi. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Je crois, comme je l'ai toujours cru, que vous êtes fort sage, et que Dorante est le plus grand scélérat ; mais je suis contente, vous avez tout entendu. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Pasquin me vient de dire que tout allait bien, pourvu que je patientisse ; mais, quand je devrais tout gâter, je ne saurais plus me tenir en place ; je sis trop amoureux. (Acte 1, scène 15, COLIN)
Je n'aime pas trop à changer ; mais c'est que cela me vint malgré moi tout d'un coup, parce que je n'avais jamais vu d'homme fait comme Dorante. (Acte 1, scène 15, AGATHE)
Ne vous avais-je pas averti que je voulais aimer Dorante ? (Acte 1, scène 15, AGATHE)
Que je sis aise, moi ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
Nous avons vu de loin qu'elle se laissait baiser la main par Colin ; nous avons jugé... (Acte 1, scène 16, NANETTE)
Mais nous allons faire voir à ce petit coquet de Dorante qu'il ne sait pas son métier, puisqu'il donne le temps à une fille de faire des réflexions. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
Oui, je vais vous donner votre rôle. (Acte 1, scène 16, LISETTE)
J'ai bien fait de ne voir ni le père ni la fille : si la veuve m'allait manquer, je serais bien aise de retrouver Agathe. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
J'entends des villageois qui chantent ; laissons-les passer. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
Mon pauvre Nicaise, tu perds ton temps et ta chanson. (Acte 1, scène 18, NANETTE)
Il est vrai que je t'ai aimé ; mais c'est justement pour cela que je ne t'aime plus. (Acte 1, scène 18, NANETTE)
Que je triompherais bientôt de mon rival, v.20 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
Je ne serais plus à la peine v.23 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
Mais j'ai passé l'écueil du dangereux moment. v.28 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
Mais la veuve tarde beaucoup. (Acte 1, scène 19, DORANTE)
Tout ce que la pauvrette a pu faire, c'est de sortir la tête par la portière du carrosse, et de me faire signe de loin qu'elle ne laisserait pas de vous aimer toujours. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
Monsieur, j'ai sellé votre anglais ; le voilà attaché, à la porte : si vous voulez suivre le carrosse, il n'est pas encore bien loin. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
Je vais trouver Agathe, et conclure avec elle. (Acte 1, scène 20, DORANTE)
Je vais bien me moquer de lui. (Acte 1, scène 21, ATGATHE)
Je sais bien comme vous m'aimez, (Acte 1, scène 21, AGATHE)
Mais vous, qui parlez, est-ce aimer, que de pouvoir attendre jusqu'à demain ? (Acte 1, scène 21, DORANTE)
Vous ne le connaissez pas ? (Acte 1, scène 23, AGATHE)
Ma foi, je m'en vais danser. (Acte 1, scène 23, PASQUIN)
Mais le contrat en forme, v.63 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
Mais al' était pour li trop délicate, v.69 (Acte 1, scène 24, COLIN)
Voilà de mauvais plaisants, monsieur. (Acte 1, scène 24, PASQUIN)

LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)

Pour goûter des plaisirs nouveaux, v.34 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Tous vos faiseurs de vers, mal avec la fortune, v.40 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Mais le bon Jupiter ne s'en étonne pas, v.48 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
De la femme et de la maison, v.55 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Quelle est donc la raison nouvelle v.60 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Je vais vous le dire ; écoutez : v.62 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Que je leur laisse ma pratique ; v.84 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Mais venons donc au fait dont il est question. v.87 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
J'aurais aujourd'hui grand besoin v.92 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Les plaisirs, les jeux et les ris, v.105 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Que le destin a fait au théâtre français, v.108 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Laissons les compliments aux hommes ; v.119 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Pendant que tu vivais, je t'ai comblé de gloire, v.121 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Autant que de son temps auteur le fut jamais ; v.122 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Il est vrai. Mais enfin, quelque amour qui vous guide, v.125 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Et si j'avais à reprendre naissance, v.132 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
J'aimerais mieux être portier v.133 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
J'en pourrais mieux parler qu'un autre. v.139 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Laissant le dieu des vers, que j'étais las de suivre, v.141 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Un poète aisément s'endort dans la mollesse. v.149 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Mais la nécessité réveille son esprit. v.152 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Mais... elles sont du goût des femmes. v.164 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Et, faisant du divorce un légitime usage, v.167 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Mais un usage moins sévère v.172 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Mais voit-on encor, par la ville, v.177 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
De fades et mauvais plaisants v.179 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
De ces lâches flatteurs, des complaisants serviles, v.183 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Qui tous les jours dans les maisons, v.187 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Non ; mais l'on y voit des Gascons v.189 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
D'un auteur comique et français, v.194 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Moitié français, moitié romain, v.198 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Je pourrais peut-être encor plaire. v.199 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Sur cet augure heureux, de ce pas je vais faire v.210 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Et moi, je vais commencer ma carrière, v.213 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Agréez donc mes soins, et, pour reconnaissance v.221 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Je n'emploierai jamais près d'elle, v.232 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Quelques moments de complaisance ; v.236 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Mais un dieu doit user de générosité. v.237 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Mais enfin je le vois. v.242 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je ne sais qui me tient, que de vingt coups de canne... v.248 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Mais, monsieur... Revenez. Faites-moi le plaisir... v.255 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Quoi ! Tu serais resté jusqu'à l'heure qu'il est v.258 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
J'ai cru qu'au cabaret j'attendrais beaucoup mieux. v.263 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Mais le mauvais exemple, encor plus que le vin, v.266 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Me retient, malgré moi, dans le mauvais chemin. v.267 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Mais pourquoi hantes-tu mauvaise compagnie ? v.269 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je fais de vains efforts, monsieur, pour l'éviter ; v.270 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Mais je vous aime trop, je ne puis vous quitter. v.271 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Je te pardonnerais d'aimer un peu le vin, v.282 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Si je te connaissais à ce seul vice enclin ; v.283 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais ton maudit penchant à mille autres te porte : v.284 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Faisant rafle partout, de la brune à la blonde. v.297 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Vous l'aimez, dites-vous : je ne sais pas pourquoi... v.299 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Tu ne sais pas pourquoi ! Se peut-il qu'à ses charmes, v.300 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
J'approuvais fort ce choix : outre que ses ducats v.306 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Nous ont plus d'une fois tiré de mauvais pas, v.307 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
J'y trouvais mon profit : vous cajoliez la tante, v.308 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Et moi je pourchassais Finette la suivante. v.309 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Que tu fais le docteur, et que tu n'es qu'un sot. v.311 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
J'obéis : cependant, si je voulais parler, v.314 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Sur un si beau sujet je pourrais m'étaler. v.315 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Hé ! Tais-toi. v.316 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Mais de votre cachet la figure et l'empreinte, v.320 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Il est vrai ; mais enfin, quoi que tu puisses dire, v.324 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je ne reconnais point cette façon d?écrire ; v.325 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais vous me prenez donc, monsieur, pour une bête ? v.329 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Dans un moment, monsieur, je vais vous satisfaire. v.341 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Ouais ! La clef n'entre point. v.342 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Au troc que nous faisons, peut-être gagnons-nous ; v.347 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Et ces lettres, maraud, qui faisaient mon bonheur, v.350 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Sais-tu que les railleurs et les mauvais plaisants v.354 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Mais sans perdre de temps faisons notre inventaire. v.357 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
L'aventure ne peut se comprendre aisément. v.363 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je suis né, tu le sais, assez près de Péronne, v.368 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Tu sais qu'ayant perdu père, mère et parents, v.370 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Un frère seul resta de toute la maison, v.374 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Et je sais, par des gens qui m'en ont fait rapport, v.378 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Je le sais ; et de plus, je sais que votre mère v.380 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Que vos airs dans les siens sont si reconnaissables, v.384 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Nous nous ressemblions, mais si parfaitement, v.386 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Que les yeux les plus fins s'y trompaient aisément ; v.387 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais que fait cette histoire au trouble où je vous vois ? v.391 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Ce n'est pas sans raison que j'ai l'âme surprise, v.392 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Que notre oncle est défunt, et qu'il laisse ses biens v.395 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Qui laisse de grands biens dont il vous a frustré : v.415 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Un frère qui reçoit tous ces biens qu'on lui laisse, v.416 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Mais il faut déterrer le frère et le notaire. v.425 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Vous connaissez mon zèle et mon empressement ; v.427 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Je vais chez Araminte, elle sait mon retour ; v.430 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Tu sais le caractère et l'esprit de la dame : v.433 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais Araminte sort. Va vite où je t'envoie. v.440 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Plus que je n'espérais, presse votre retour ? v.450 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Faisaient au gré des airs flotter des étendards. v.479 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
Mon âme, à cet aspect, d'étonnement saisie... v.481 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
Et j'étais la Vénus flottant sur ce canal ? v.482 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Sous l'habit de Vénus, avais-je l'air charmant, v.487 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Je vous persuadais de mes vives douleurs. v.495 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
Vous vous laissiez toucher d'une bonté nouvelle, v.496 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
D'accord. Mais je voudrais que, pour vous satisfaire, v.504 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Mais j?en crains le retour : dans le siècle où nous sommes, v.508 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Et, pour mieux célébrer le plaisir du retour, v.518 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Mais, en revanche aussi, je l'aime à la folie. v.528 (Acte 2, scène 4, ARAMINTE)
Mais quelqu'un vient ici. v.531 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Bonjour. J'allais chez vous pour vous parler d'affaire. v.533 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
Et monsieur Robertin, dont je connais le zèle, v.536 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
J'en suis vraiment fort aise. v.544 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Hélas ! On n'est jamais trahi que par ses proches. v.557 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Et je raisonne ainsi : J'en ai cinquante, et passe ; v.561 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
Et je sais fort bien, moi, que cela ne peut être. v.564 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
C'est qu'il faut de mon bien vous passer pour jamais ; v.567 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Et tous les connaisseurs vous la soutiendront telle. v.577 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
Je jugeais à peu près quels seraient ses discours ; v.578 (Acte 2, scène 7, DÉMOPHON)
Votre frère est trouvé, mais ce n'est pas sans peine ; v.584 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
J'avais couru Paris de l'un à l'autre bout, v.586 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Il me l'a, tu le sais, prêtée en galant homme ; v.593 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
De loin, comme j'ai dit, j'observais sa querelle ; v.612 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Tantôt, chemin faisant, j'ai cru, sans me flatter, v.622 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Cela pourrait peut-être arriver aisément. v.627 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Mais comment ferions-nous, dans ce hardi dessein, v.630 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
Si c'est comme héritier, ma foi, je n'en sais rien : v.635 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
Jamais succession ne m'est encor venue. v.636 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
Quelque raison encor m'arrête en ce moment. v.654 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
Mais, dis-moi cependant... v.672 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
Oui vraiment me voilà ; mais j'ai cru de ma vie v.676 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
Je n'ai jamais couru tant de risque en mes jours. v.679 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
Là, l'épée à la main, des archers malfaisants, v.682 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
Le diable a pour jamais élu son domicile. v.689 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
Comment ! J'aimerais mieux cent fois être au sabbat. v.691 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
Me rendra désormais plus alerte et plus fin. v.699 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
Heureusement encor, laissant ma malle au coche, v.700 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
Qu'un oncle que j'avais, et qu'enfin je n'ai plus, v.711 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
M?a laissé depuis peu, comme à son légataire. v.713 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
Je connais tout Paris, et je suis toujours prêt v.722 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Qui vous peut enseigner mieux que moi sa maison ? v.727 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Mais j'aperçois Finette. Ah ! Juste ciel ! Je tremble v.733 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
Que diantre fais-tu là, planté comme un piquet ? v.735 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
J'allais, au-devant de vos pas, v.738 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Mais qu'est-ce donc, monsieur ? Quelle métamorphose ! v.741 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Avec les étrangers elles font connaissance. v.749 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
Si, jusqu'à ce moment, j'en ai jamais rien su. v.755 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
Mais Ménechme est le seul qui flatte sa tendresse. v.765 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
D'où je sais le vôtre ? v.767 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
Je n'en sus jamais rien. v.767 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
Je ne vous connais point. v.768 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
Je ne m'y connais pas, ou bien, sur ma parole, v.772 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
Vous êtes là, ma mie, en très mauvaise école. v.773 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
Laissons ce badinage. En un mot, comme en cent, v.774 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Mais parle-moi donc, toi. Quelle vapeur nouvelle v.780 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Tantôt il paraissait assez sage ; et peut-on v.786 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Perdre en si peu de temps et mémoire et raison ? v.787 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Mais vous-même, ma mie, êtes-vous ivre ou folle, v.789 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
Vous ne voulez donc pas être plus raisonnable, v.796 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Je vais lui dire tout, sans oublier un mot. v.807 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Je ne le connais plus, et ne sais où j'en suis. v.810 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Mais contre leurs complots j'ai su me prévaloir ; v.819 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
Où les coeurs les plus fiers enfin se laissent prendre. v.824 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
Que je n'ai de plaisir que lorsque je vous vois. v.831 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Je trouve surprenant... Je ne m'attendais pas v.834 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Si d'ailleurs... Par ma foi je ne sais que répondre. v.837 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
Vous est-il survenu quelque mauvaise affaire ? v.840 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Jamais je ne me bats. v.842 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Tout le bien et le mal, les plaisirs et les peines, v.845 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Mais je n'userai point de la communauté v.850 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Mais je ne comprends point quels discours sont les vôtres. v.852 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Mais de votre froideur j'ai sujet de tout craindre. v.857 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Quel diantre de discours ! Passez, et laissez-nous. v.858 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Je n'ai jamais senti ni froid ni chaud pour vous. v.859 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
Mais, ma foi, si jamais chez nous vous revenez, v.862 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Je vous fais de la porte un masque sur le nez. v.863 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Mais d'où venez-vous donc ? Ne me déguisez rien. v.866 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Vous feignez l'ignorer ; mais vous le savez bien. v.867 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Qui je suis, d'où je viens, où je vais ? v.869 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
Je ne me suis jamais senti tant de vigueur. v.887 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
Finette, tu le sais ; rien ne te fut caché. v.894 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Mais voyez quelle rage et quel déchaînement ? v.906 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
Mais entrons au plus tôt dans cette hôtellerie, v.912 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
Lorsque vous aurez fait un tour dans la maison, v.918 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
Je vais trouver mon maître, v.920 (Acte 2, scène 8, VALENTIN)
Avec votre jumeau passe la vraisemblance. v.925 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Pour vous mieux distinguer, faisait fort prudemment. v.934 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Et je pourrais fort bien, le premier, m'y méprendre. v.936 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Le notaire à ces traits s'est déjà laissé prendre : v.937 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
Et, si je n'avais pas apaisé la querelle, v.948 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Mais n'a-t-il point sur moi quelques soupçons naissants ? v.950 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
Il vous croit trop bien mort ; et jamais, quoiqu'on ose, v.952 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
L'aventure est plaisante, et j'en ris à mon tour. v.954 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
Mais voyons le beau-père, et servons notre amour. v.955 (Acte 3, scène 1, LE CHEVALIER)
Si votre oncle défunt, que je voyais souvent, v.970 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
Un oncle que j'aimais d'une amitié bien tendre. v.973 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
Mais nous parler de lui, c'est toucher une corde v.977 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
Bien triste... et qui pourrait... Mais il était bien vieux. v.978 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
Mais point trop. Nous étions de même âge tous deux, v.979 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
Tais-toi donc. v.988 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je me connais en gens, croyez-en ma parole : v.996 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
Que je forme et pétris comme il mie prend plaisir. v.998 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
Mettez-vous à l'écart, je m'en vais l'appeler ; v.1002 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
Laissez-moi seul ici ; va-t'en trouver mon frère : v.1004 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
Mais je ne pourrai pas, dans son ardent transport, v.1007 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
La naissance, le bien, tout m'en est agréable ; v.1017 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
Il est vrai ; mais enfin l'esprit vient avec l'âge. v.1025 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
J'en connais les dangers. Aujourd'hui les époux v.1026 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
Tel qu'il soit, je le hais avant de l'avoir vu : v.1031 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
Et je n'en voudrais pas, quand ce serait un prince. v.1033 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
Mais je l'obligerai, si vous le souhaitez... v.1042 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
J'aimerais mieux mourir, que d'obliger madame v.1044 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
Dont l'esprit est égal au bien, à la naissance. v.1048 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
J'avais tort de porter si haut mon espérance. v.1049 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
Madame, je ne sais ce que vous voulez dire ; v.1064 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
Tu 'abusais, hélas ! d'une feinte tendresse : v.1069 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
Et moi, de bonne foi, je te donnais mon coeur, v.1070 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
Mais je ne comprends rien à tout ce que vous dites. v.1073 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
Ma foi, ni moi non plus. Mais, dites-moi, ma soeur, v.1074 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
Vous oblige à venir, en faisant le lutin, v.1079 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
Et si de ses malheurs je n'avais eu pitié, v.1086 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
Je vous le disais bien, qu'elle était un peu folle. v.1088 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
Je connais vos desseins, v.1098 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
Mais je veux l'épouser en dépit de la fille, v.1100 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
Mais, vous voyant, son coeur n'a plus fait de défense. v.1125 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
Vous sortez d'avec elle, et paraissez content. v.1127 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
Cet homme, dans l'abord, me paraissait plus sage. v.1141 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
J'en suis assez content ; mais j'en fais peu de cas v.1143 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
Je ne le connais plus, son esprit s'est troublé. v.1147 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
Aussi je n'ai jamais mis le nez dans un livre ; v.1152 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
Qu'avez-vous, s'il vous plaît ? Vous paraissez surprise, v.1168 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
Comme si je disais ici quelque sottise. v.1169 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
Je sais à quel devoir l'état de femme engage. v.1172 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
C'est bien fait. Vous aurez, je crois, la complaisance v.1189 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
Mais il faut... v.1192 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
Laissez-moi, je vous prie, v.1193 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
Soit. Je vais travailler à l'hymen projeté. v.1195 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
Mais le bien qu'il apporte est un grand avantage. v.1197 (Acte 3, scène 9, D?MOPHON)
Mais, si vous souhaitez que je parle sans feinte, v.1200 (Acte 3, scène 10, VALENTIN)
Car, dans notre maison, tout le monde vous aime, v.1209 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Je n'aurais jamais cru tant être aimé des femmes ! v.1213 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Nous le devons, monsieur, pour plus d'une raison : v.1214 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Vous êtes dès longtemps ami de la maison. v.1215 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
Une espèce de fou d'un plaisant caractère, v.1217 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
Que vous avais-je dit ? v.1228 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
Mais, bénin créancier, v.1230 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Mais vous êtes vraiment trop bon et trop honnête ! v.1233 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Je veux être un maraud si j'en sus jamais rien. v.1235 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Mais je puis assurer que le tout m'est bien dû. v.1251 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Oui, je sais, sans en faire aucun doute, v.1252 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Et vois que la raison est chez vous en déroute. v.1253 (Acte 3, scène 11, M?NESCHME)
Tiens, voilà ton mémoire, et comme j'en fais cas. v.1262 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Laissez-moi lui couper le nez. v.1270 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Laissez-le aller : v.1270 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
Oui, je pars : mais peut-être, avant qu'il soit une heure, v.1276 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Il n'est pas chez lui, mais bientôt il doit s'y rendre : v.1284 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
Je m'en vais un moment tranquilliser ma bile. v.1288 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
Je n'ai trouvé que moi de raisonnable, et lui. v.1291 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
Mais j'aperçois Finette ; et mon coeur amoureux v.1306 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Porte ailleurs tes présents ; ne me parle jamais. v.1311 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
Que, rompant avec lui désormais tout à fait, v.1318 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
Mais pour le portrait d'or, attendu le métal, v.1322 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Tu sais, ma pauvre enfant, qu'on troque la vaisselle. v.1325 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Mais, depuis quelque temps, un oncle, un honnête homme, v.1328 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Pour nous mettre à notre aise, et nous faire ses hoirs : v.1331 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Et je vais me jeter, je crois, dans les affaires. v.1349 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Intendants, cuisiniers, rempliront mon palais : v.1355 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Mais quelqu'un vient ici. v.1365 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
Mais j'ai cherché longtemps un papier nécessaire, v.1368 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Oui, monsieur ; on n'y manque jamais. v.1379 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Je ne me suis jamais ni fait graver ni peindre. v.1396 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Je ne sais ce que c'est, ou l'enfer me confonde. v.1400 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Quelle audace ! Quel front ! Mais je veux le confondre. v.1404 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Hé bien ! Connaissez-vous ce visage et ces traits ? v.1406 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Comment diable ! C'est moi ! Qui l'eût pensé ! Jamais ? v.1407 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Jamais peintre ne fit portrait si ressemblant. v.1411 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
Vous verrez qu'en venant par le coche, à leurs frais, v.1414 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Je ne sais ce que c'est. Passe vite, et me laisse. v.1421 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Je pourrais bien, monsieur, vous arracher les yeux ? v.1423 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Mais, quand elle serait mille fois plus diablesse, v.1428 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Je ne la connais point, elle, ni sa maîtresse. v.1429 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
Je vais le ramener un peu par la douceur. v.1431 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
Mais si l'on manque après à me faire raison, v.1434 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Je reviens, et je mets le feu dans la maison. v.1435 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Mais peut-on sur les gens être tant acharnée ? v.1436 (Acte 4, scène 4, MÉNESCHME)
Mais je vois le Marquis ; il tourne ici ses pas. v.1442 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
Lé jour mé scandalise, et voudrais contré quatre, v.1448 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Mais je n'ai pas le temps de me battre avec vous. v.1451 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Jé voudrais que quelqu'un m'écrasât sur la place. v.1453 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Jamais je ne le vis. v.1455 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Jé sors d'uné maison, qué la terre engloutisse, v.1456 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Je ne vous connais point. Comment auriez-vous pu v.1466 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Me prêter cent louis, ne m'ayant jamais vu ? v.1467 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
À moi ? J'aurais perdu le sens et la raison, v.1478 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Cé qué son mauvais coeur tâche en vain d'oublier ? v.1483 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Mais, monsieur... v.1493 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Mais, monsieur, il faut mé satisfaire. v.1493 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Vous satisfaire, moi ! Mais je ne vous dois rien ; v.1494 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Je n'ai pas cent louis, mais en voilà soixante. v.1508 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Ah ! Si je n'avais pas hérité depuis peu, v.1510 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
Je me battrais en diable, et nous verrions beau jeu. v.1511 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
Adieu, monsieur, adieu ; je vous croyais du coeur, v.1514 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Mais cette occasion mé prouve lé contraire ; v.1516 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Né m'approchez jamais qué dé loin... Plus d'affaire. v.1517 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Jé serais dégradé dé noblesse chez nous, v.1518 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Si j'étais accosté d'un lâche tel qué vous. v.1519 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Je n'en connais aucun ; et tous, à les entendre, v.1524 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
De huit, de cinq, de sept. J'achèterais, je pense, v.1544 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
De grâce, laissez-moi promener mes regards v.1547 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
Va, j'en connais le prix tout aussi bien que toi ; v.1554 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Mais jusqu'ici l'usage en fut peu fait pour moi : v.1555 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
Mais lui, sourd aux raisons qu'il a pu lui donner, v.1562 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
Mais je la vois paraître. Où tournez-vous vos pas, v.1578 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
Je vais chez Araminte, v.1580 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
Aimez-la, j'y consens ; je fais voeu désormais v.1582 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
De vous fuir comme un monstre, et ne vous voir jamais. v.1583 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
Je vous parais sans foi, sans esprit, sans appas. v.1586 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
Je vais dans un moment dissiper ce soupçon : v.1594 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Tous deux vous avez tort, et vous avez raison. v.1595 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Oh ! Pour moi, j'ai raison ; toi-même, sois-en juge. v.1596 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
De quels contes en l'air me fais-tu l'embarras ? v.1610 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
Mais sachez que monsieur en ces lieux a son frère, v.1613 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Vous l'avez pris pour lui ; mais quoiqu'il soit semblable v.1616 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Je me plais à le croire ; il flatte mon esprit. v.1619 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
Je me méprends aussi : transporté de plaisirs, v.1623 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
Mais, d'une et d'autre part, oublions nos méprises. v.1625 (Acte 4, scène 9, LE CHEVALIER)
Mais n'allez pas tantôt, par-devant le notaire, v.1628 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Je vous dis vrai, madame, et je ne saurais croire v.1640 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Les droits que la raison met en votre pouvoir. v.1647 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Si je ne le fais pas, que le ciel me punisse ! v.1649 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
Se faisaient d'un écrit confirmer les serments ; v.1655 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Mais que leur sert d'user de cette prévoyance v.1656 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Mais c'est notre destin : toujours, tant que nous sommes, v.1660 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Mais, s'il ne m'aime point, quel sera l'avantage v.1676 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
Ce conseil bienfaisant que mon zèle vous donne, v.1684 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Je voudrais l'appliquer à ma propre personne ; v.1685 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
Mon frère ; car chez vous j'allais pareillement. v.1691 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
Sans rime ni raison vous babillez toujours ; v.1698 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
Mais vous savez quel cas je fais de vos discours. v.1699 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
Mais jusqu'où va, ma soeur, votre crédulité ? v.1702 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
Sans mentir, vous êtes fort plaisante v.1705 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
Vos yeux vous sont garants qu'on ne change jamais. v.1711 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
Si j'en connais aucun, non plus que Lucifer ! v.1731 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Tu te fais un plaisir de ma peine cruelle ! v.1737 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
Mais voilà votre nom « Ménechme. » En confidence, v.1756 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Moi ! Si j'ai jamais vu ces deux friponnes-là, v.1759 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Qui que tu sois enfin, laisse-moi, je te prie. v.1765 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Je vois avec plaisir toute la compagnie, v.1768 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Mais un époux bien fait, tel que l'Amour lui donne, v.1772 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Je voudrais pouvoir être avec vous but à but. v.1783 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
Vous direz vos raisons et vos griefs demain, v.1790 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
Ma soeur. Ne laissons pas d'aller notre chemin. v.1791 (Acte 5, scène 4, D?MOPHON)
Mais, monsieur le notaire, v.1792 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
Je n'aurais pas usé de tant de diligence, v.1796 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Mais je l'ai bien payé. Soixante mille écus v.1802 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Je les avais ; mais je ne les ai plus. v.1811 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Et je ne sais ici qui croire de vous deux. v.1823 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
Soixante mille écus, que votre oncle vous laisse, v.1833 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
Je vous embarquais là dans une belle affaire ! v.1845 (Acte 5, scène 5, ROBERTIN)
Je vous prenais, monsieur, pour un homme de bien ; v.1846 (Acte 5, scène 5, DÉMOPHON)
Mais je vois à présent que vous ne valez rien. v.1847 (Acte 5, scène 5, D?MOPHON)
Madame, je ne sais si j'ai le regard trouble, v.1860 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
Si c'est quelque vapeur ; mais enfin je vois double. v.1861 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
J'avais un certain frère, un mauvais garnement, v.1875 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
Mais vous qui me parlez, n'êtes-vous point ce frère ? v.1880 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
Mais j'avais cependant compté sur votre mort. v.1887 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
Que vous n'ayez ici qu'à vous baisser et prendre. v.1897 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
C'est moi qu'on a cru mort, et qui m'en suis saisi : v.1907 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
Il laisse à son neveu cette succession : v.1915 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
Mais vous aurez bientôt tout lieu d'être content, v.1918 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
Je vous trouve plaisant de disposer de moi ! v.1923 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
A ce dernier trait-là je reconnais mon frère. v.1929 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
S'en sont dit tout autant, et se connaissaient bien. v.1935 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
Je voudrais l'épouser, sans tant de résistance. v.1937 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
Si je pouvais un jour me résoudre à ce choix, v.1938 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
Je le ferais exprès pour vous punir tous trois. v.1939 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
Mais, en me mariant, votre attente est déçue. v.1941 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
Je voulais un Ménechme : en lui donnant la main, v.1946 (Acte 5, scène 6, DÉMOPHON)
À ne t'en point mentir, j'en aurais grande envie ; v.1952 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
Mais je crains? v.1953 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
J'en fais une cent fois bien plus grande que toi ; v.1954 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
Et je ne laisse pas de te donner ma foi. v.1955 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
De myrte et de laurier je vais ceindre ma tête : v.1957 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
Mais si je méritais vos applaudissements, v.1958 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)

LA CRITIQUE DE L'HOMME Ã€ BONNES FORTUNES. (1690)

Vous me paraissez bien fâché. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
Je le suis, et j'ai raison de l'être. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Je sors présentement de l'hôtel de Bourgogne, et j'en suis si outré, que si je trouvais à présent un comédien italien, la moindre chose qu'il lui en coûterait , ce serait une oreille. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Tenez, voilà tout ce que j'ai pu sauver de mon manteau ; j'ai laissé le reste au parterre. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Si tu voulais un peu m'aimer. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Je vous aurais bordé le visage d'une assiette, plus vite... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Ouais ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Je suis ce que je suis ; ce ne sont pas là vos affaires : je n'ai jamais vu une diantre de maison comme celle-ci. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Enfin, si ma tante m'avait crue, je n'aurais jamais demeuré dans une auberge ; mais puisqu'on m'y a forcée, m'y voilà ; j'enrage pourtant assez. (Acte 1, scène 2, NIVELET)
Mais encore, qu'as-tu donc, Claudine ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Il y a sans cesse à refaire autour d'elle : tantôt c'est du blanc ; tantôt c'est du rouge ; tantôt c'est un gros bourgeon qu'il faut raboter ; et que sais-je ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Tu as un peu de peine, Claudine ; mais aussi tu gagnes bien de l'argent, et je m'assure que tu te fais un beau magot. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Tu ferais bien mieux d'acheter un bon mari de cet argent-là ; cela est bien meilleur pour une fille. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Voilà encore un plaisant fretin que des hommes ! (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Les rues en seraient pavées, que je ne voudrais pas en ramasser un ; et puis, en cas de mari, comme vous savez, pour quinze écus on ne peut pas avoir grand'chose... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Si ma sage-femme était là, je n'en ferais pas à deux fois ; mon pauvre monsieur le Baron, ron, ron, ron ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
La la, madame, deux jours de relais emporteront cela. (Acte 1, scène 3, CLAUDINE)
Monsieur Nivelet, vous qui savez la procédure, à telle fin que de raison, il faut faire assigner les comédiens en garantie de couche. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
Je m'en vais chez notre apothicaire ; il a de toutes ces drogues-là. (Acte 1, scène 3, CLAUDINE)
Je vais à la cuisine faire hâter le souper. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
Et moi, je suis si soûl de la comédie, que je m'en vais me mettre au lit sans boire et sans manger, et, qui pis est, je m´en sortirai, ou le diable m'entraîne, que lorsque l'on aura renvoyé tous ces gueux de comédiens-là en Italie. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Avoir résisté trois semaines à la tentation, et m'être laissé aller comme un coquin ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
J'ai levé le nez tantôt au coin d'une rue ; j'ai vu un papier rouge, j'ai demandé à mon laquais, qui lit ordinairement pour moi, ce que c'était : le brutal m'est venu dire que c'était encore cette comédie dont tant de femmes m'avaient rompu la tête. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
C'est une chose qui crie vengeance que le mauvais goût de Paris, et l'âpreté que l'on a en ce pays-ci pour les sottises. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
Monsieur_le_Marquis, vous me feriez bien plus de plaisir d'y retrouver ma bourse. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
Je n'ai jamais acheté un chagrin si cher. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
Désabusez-vous de cela ; jamais femme n'est morte de trop parler. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Il faut avouer que l'auteur est un brutal parrain, d'avoir nommé Bergamotte le héros de la pièce ; encore pour du tabac, je lui pardonnerais. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
On ne laisse pas de s'égosiller de rire ; comme, par exemple, le tuyau d'orgue, la fille de hasard, le cheval de louage, et cette autre innocente qui va dire à son père que si son apothicaire ne lui donne que quarante-cinq ans, c'est qu'il ne le voit que par derrière. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
À la fin, je ne sais ce que l'on n´y verra point. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Mais où diable vous étiez-vous nichée? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Ma foi, je ne fais pas mal la roue quand je me donne au public. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Mais je ne comprends pas quel plaisir prennent certaines personnes à être toujours derrière les acteurs. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
Écoutez, c'est un dangereux ennemi ; je le craindrais plus avec ses sifflets, que bien des marquis avec leurs épées. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
Un homme qui a séance sur le théâtre ne fait point de comparaison avec des gens qui entendent la comédie debout. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Mais voilà le souper. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Quand je suis grosse, je ne lave jamais ; cela m'enrhume. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Pour moi, je ne saurais manger ; j'ai fait cinq ou six repas aujourd'hui, dont le moindre a duré quatre heures. (Acte 1, scène 5, LE-MARQUIS)
Pour l'ordinaire, Mademoiselle, je suis assez ponctuel au repas ; mais, pour ce soir, deux mille carrosses m'ont barré depuis l´hôtel de Bourgogne jusqu'ici. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Je fais gloire d'obéir à vos ordres ; mais il est bien difficile de parler et de souper tout ensemble, et j'ai grand'faim. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Quand j'étais bel esprit, cadédis, j'étais quelquefois quatre jours sans souper. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Et moi, quand j'étais Gascon, lorsque l'on me donnait un repas, c'était pour toute ma semaine. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
De toute une coin6die, je n'en perdrais pas un mot. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Monsieur Brocantin, c'est le père des filles : mais il y a là un nommé Octave qui est un drôle ;... avec cela, deux filous... (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Je suis toujours dans les coulisses à badiner avec les actrices ; mais j'ai envoyé mes porteurs au parterre, qui m'ont dit que la pièce ne valait pas le diable. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
À vous dire le vrai, les gens de qualité qui comblaient le théâtre m'en ont caché deux actes : mais je n'y ai rien perdu ; leurs airs et leurs façons valent bien la comédie. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Monsieur, dans une auberge, on n'engraisse pas à faire des récits. (Acte 1, scène 6, CLAUDINE)
Vous avais-je pas bien dit, ma cousine, que cette enragée de comédie nous porterait guignon ? (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
Jamais je ne porterai mon fruit à terme. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)

LA CRITIQUE DU LÃ‰GATAIRE (1708)

Monsieur, nous ne nous lassons jamais des pièces, tant qu'elles nous donnent de l'argent. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
Je suis las de voir ce Poisson avec son bredouillement et son item. Ma foi, c'est un mauvais plaisant ; tu vaux mieux que lui. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
À moi, morbleu, à moi : il y a plus de sens, de raison et d'esprit dans cette tête-là qu'il n'y en a sur votre théâtre, dans vos loges, et dans votre parterre, quand ces trois ordres seraient réunis ensemble. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je ne doute point, monsieur, de votre capacité ; mais j'ai toujours ouï dire que le goût général devait l'emporter sur le particulier. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
Cette maxime est bonne pour les sots ; mais non pas pour moi. Je ne me laisse jamais entraîner au torrent : je fais tête au parterre ; et quand il approuve quelque endroit, c'est justement celui que je condamne. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Et moi, morbleu, j'en appelle comme d'abus ; j'en appelle au bon sens ; j'en appelle à la postérité ; et le siècle à venir me fera raison du mauvais goût de celui-ci. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Quelque succès qu'ait notre pièce, nous n'espérons pas, monsieur, qu'elle passe aux siècles futurs : il nous suffit qu'elle plaise présentement à quantité de gens d'esprit, et que la peine de nos acteurs ne soit pas infructueuse. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
Si j'étais de vous autres comédiens, j'aimerais mieux tirer la langue d'un pied de long que de représenter de pareilles sottises : mourez de faim, morbleu, mourez de faim avec constance plutôt que de vous enrichir avec une aussi mauvaise pièce : et qu'est ce que c'est encore que cette Critique dont vous nous menacez ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Monsieur, je vous laisse avec lui : tâchez à le faire convenir qu'il a tort ; mais ne lui exposez que de bonnes raisons : il ne se paie pas de mauvais discours, je vous en avertis, et il a souvent imposé silence à des gens qui avaient autant d'esprit que vous. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
Je lui parlerais fort bien, si je me trouvais tête à tête avec lui ; mais la partie n'est pas égale : il faut remettre l'affaire à une autre fois, et voir si ces messieurs voudront me rendre ma place. (Acte 1, scène 3, LE-CHEVALIER)
Sitôt que votre carrosse sera devant la porte, on viendra vous avertir ; mais vous en avez encore pour un quart_d_heure tout au moins. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Je ne pourrai jamais suffire à tout ce que j'ai à faire aujourd'hui. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
On m'attend au Marais pour faire une reprise de lansquenet ; je vais souper proche les Incurables ; nous devons courir le bal toute la nuit ; et, sur les huit heures du matin, il faut que je me trouve à un réveillon à la porte Saint-Bernard. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Mais, avant tout, tirez-moi de la foule, monsieur le Marquis, tirez-moi de la foule. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Parbleu, Monsieur Boniface, je suis bien aise de vous rencontrer dans les foyers. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Il a l'air d'un cuistre ; mais je puis vous assurer qu'il n'est pas un sot. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
On voit bien, madame la Comtesse, que vous vous connaissez en physionomie. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Les comédiens n'en veulent jouer aucune : mais ce qu'il y a de beau, c'est que ses comédies font pleurer, et que ses tragédies font rire à gorge déployée. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Parlez, parlez, Monsieur Boniface ; mais soyez court : votre récit commence déjà à m'ennuyer : je n'aime point les grands parleurs ; c'est le défaut des gens de votre métier. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je rencontrai dernièrement un auteur dans la rue, qui fit à toute force arrêter mon carrosse ; il me fatigua de ses vers pendant une heure entière ; il en récita au laquais, au cocher, aux chevaux ; et, si un autre carrosse ne fût survenu, qui lui serra les côtes de fort près, et lui fit quitter prise, je crois qu'il parlerait encore, ou qu'il serait devenu lui-même la catastrophe de sa tragédie. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je ne suis encore qu'un jeune candidat dans la république des lettres, un nourrisson des Muses ; mais je soutiens que la pièce est vicieuse a capite ad calcem, c'est-à-dire de la tête aux pieds. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Que je serais ravie de savoir du grec ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je parlerais grec, je parlerais grec, monsieur le Marquis ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Mais cela serait tout à fait plaisant. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Oui, madame, cela serait tout à fait plaisant et nouveau. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Je ne m'arrête point à la diction, je laisse cette critique aux esprits subalternes ; c'est à l'analyse, à la conduite, à la texture d'une pièce que je m'attache ; et, par là, je vous prouverai que celle-ci est impertinente. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Vous avez raison. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Voilà ce qui s'appelle saper un ouvrage par les fondements, raisonner juste, et décider comme j'aurais fait. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
C'est un gouffre de science. Mon_Dieu, que j'aurais envie de l'embrasser ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Mais la pudeur m'en empêche. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Pour vous consoler, Monsieur Boniface, baisez ma main. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je voudrais avoir trouvé une douzaine de ces mots, et les avoir une pistole pièce. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Apprenez, monsieur le jurisprudent hors de saison, qu'il n'est point question, dans une comédie, du droit romain ni de Justinien : il s'agit de divertir les gens d'esprit avec art ; et je vous soutiens, moi, que la conduite de cette pièce est très sensée. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Pour moi, je n'entends point vos règles de comédie : mais mon frère le Chevalier, qui a bon goût, et qui est presque aussi sage que moi, m'a dit qu'elle ne valait rien ; il ne l'a pourtant point encore vue. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Pour moi, ne trouvant plus de place dans les premières loges, je l'ai vue la première fois dans l'amphithéâtre, où je me trouvai entourée de cinq ou six jeunes seigneurs qui ne cessèrent de folâtrer autour de moi : jamais jolie femme ne fut plus lutinée ; et, si la pièce n'avait promptement fini, je ne sais, en vérité, ce qu'il en serait arrivé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Vous avez bien raison, madame la Comtesse, de pester ; vous n'avez jamais tant couru de risque en vos jours qu'à cette comédie. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Pour moi, j'étais dans le parterre à la première représentation ; il ne m'en a jamais tant coûté pour voir une mauvaise comédie : une moitié de mon justaucorps fut emportée par la foule, et j'eus bien de la peine à sauver l'autre au milieu des flots de laquais qui m'inondèrent de cire en sortant, et me brûlèrent tout un côté de ma perruque. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Madame_la_Comtesse a raison. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Vous êtes là un tas de mauvais poètes cantonnés par peloton (je ne parle pas de ceux qui sont avoués d'Apollon, dont on doit respecter les avis) ; vous êtes là, dis-je, comme des âmes en peine, tout prêts à donner l'alarme dans votre quartier, et à sonner le tocsin sur un mot qui ne vous plaira pas. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Mais enfin, vous conviendrez que la pièce est... (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Mais je perds ici bien du temps. Mon cher Monsieur Boniface, voyez, je vous prie, si mon carrosse n'est point à la porte : de moment en moment je sens que je m'exténue ; je fonds, je péris, je deviens nulle. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Allez toujours devant, j'y serai aussitôt que vous ; ayez soin seulement que nous buvions bien frais, et que le rôt soit cuit à propos. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Je ne connais autre que monsieur Bredouille ; j'ai été vingt fois à sa maison de campagne : c'est lui qui a inventé les poulardes aux huîtres, les poulets aux oeufs, et les cervelles aux olives. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Si je n'étais pas retenue, je lui proposerais de nous donner ce soir à souper, pour nous dédommager de la mauvaise comédie que nous venons de voir. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Qu'appelez-vous mauvaise comédie ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Mauvaise comédie !... (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
Je la trouve excellente : je ne me suis jamais tant diverti ; et monsieur Clistorel m'a guéri de toute la mauvaise humeur que j'y avais apportée. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
Mon cuisinier avait, à dîner, manqué sa soupe ; ses entrées ne valaient pas le diable, et le coquin avait laissé brûler un faisan qu'on m'avait envoyé de mes terres. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Je n'ai pas laissé d'y rire tout mon soûl, tout mon soûl. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
Si je te faisais l'anatomie de cette pièce-là, tu tomberais dans un dégoût qui t'ôterait l'appétit pendant tout le carnaval. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Ce Poisson est plaisant, il me divertit : j'aime à rire, moi ; cela me fait faire digestion. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Et c'est justement la scène de la veuve qui m'a donné un dégoût pour la pièce ; j'ai une antipathie extrême pour cet habit ; et si mon mari mourait aujourd'hui je me remarierais demain pour n'être pas obligée de me représenter sous un si lugubre équipage. Je crois que je ne ferais pas mal dès à présent de choisir quelqu'un pour lui succéder. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Pour moi, je n'y entends point tant de façon ; quand une chose me plaît, je ne vais point m'alambiquer l'esprit pour savoir pourquoi elle me plaît. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Madame_la_Comtesse, par exemple, je ne la détaille point par le menu ; il suffit qu'elle me plaise en gros : je n'examine point si elle a les yeux petits, le nez rentrant, la taille renforcée ; elle me plaît, je n'en veux point davantage. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Monsieur Bredouille a raison ; car, voyez-vous, une femme est comme une comédie : il y a de l'intrigue, du dénouement. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Oui, rien n'est plus clair que ce raisonnement-là. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Je vais souper à la Place Royale, où nous devons attaquer un aloyau dans les formes ; et je serais au désespoir que la scène commençât sans moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Voilà un plaisant original ! (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Mais que vois-je ? (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Les comédiens sont bien plaisants, de jouer sur leur théâtre un corps aussi illustre que celui des apothicaires ; et ce petit myrmidon de Clistorel bien impertinent de s'attaquer à un homme comme moi ! (Acte 1, scène 7, CLISTOREL)
Je crois qu'en voilà encore un autre : je m'imaginais qu'il fût unique en son espèce. (Acte 1, scène 7, LA COMTESSE)
La plaisante figure pour un doyen ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Parbleu, figure vous-même ; je serais bien fâché que la mienne fût aussi ridicule que la vôtre. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
Et moi, je serais au désespoir de vous ressembler : ne voilà-t-il pas un petit gentilhomme bien tourné ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Je croyais qu'un visage n'était pas de la compétence d'un apothicaire. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Je suis jeune encore, comme vous voyez ; mais quand j'ai bu du vin de Champagne, j'ai le lendemain le coloris obscur, les nuances brouillées, et des erreurs au teint, qui me vieillissent de dix années. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Pourquoi donc, mon petit comédien, connaissant mon mérite, êtes-vous assez impudent pour me jouer en plein théâtre ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
Vous ne les voyez que par derrière ; mais nous leur parlons face à face. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Voilà un plaisant visage pour avoir fait quatorze enfants à sa femme ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Apprenez que, sur l'honneur, madame Clistorel n'a jamais fait de quiproquo. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
Il a bien fait de venir ; j'allais me jeter dans le premier venu. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)

LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)

Je ferais de bon coeur les frais du luminaire. v.14 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Peste, le beau talent ! Tu te fais bien payer, v.23 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Il ne me donne rien ; mais j'ai, pour récompense, v.25 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Mais dans son testament ses grâces départies v.38 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Oui ! Mais mon maître aspire à la plus grosse part : v.55 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
J'en pourrais bien aussi tirer ma quote-part ; v.56 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Mais, raillerie à part, nous avons grand besoin v.67 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Mais ce qui doit le plus être de notre goût, v.76 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Ainsi tant de raisons sont autant de moyens v.80 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Mais je fus à la fin contraint de déguerpir. v.96 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
Mais mon maître paraît. v.97 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
Et que je fermerais pour jamais sa paupière. v.102 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
J'en avais dans le coeur un plaisir plein d'appas, v.111 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
Faisait quelque conflit avecque l'allégresse, v.114 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
Mais ce que je puis dire, en vous accusant vrai, v.119 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
C'est que, tout à la fois, j'étais et triste et gai. v.120 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
Je conviens avec lui qu'il a toujours raison. v.124 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Pour moi, je crois qu'il veut vous laisser tout son bien, v.136 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Verrais-je d'un oeil sec déchirer par lambeaux, v.147 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Vous rendre un jour heureux, et nous mettre à notre aise ? v.150 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Plus doux, plus complaisants, ni plus respectueux ; v.156 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Mais par un naturel et délicat et tendre. v.158 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Le Laquais apporte une chaise. v.173 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
De grâce, asseyez-vous. Ôte donc cette chaise ; v.174 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
Mon oncle en ce fauteuil sera plus à son aise. v.175 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
Le Laquais ôte la chaise, apporte un fauteuil, et sort. v.176 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
Vous faire désormais un régime de vie, v.184 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Enfin ne vous laisser manquer de nulles choses. v.187 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
Oui, j'aimerais assez ce que tu me proposes ; v.188 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Mais il faut tant d'argent pour se faire soigner, v.189 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
Oui, vous avez raison ; c'est une tyrannie : v.195 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Mais je ferai les frais de votre maladie. v.196 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
La maison ne vaut pas la réparation. v.202 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Je sais ce qu'il en est. v.214 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
J'en suis persuadé. Je voudrais me venger v.217 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Choisir une personne honnête et qui me plaise, v.219 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
Pour lui laisser mon bien et la mettre à son aise. v.220 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
Non, je ne comprends pas de plus charmant plaisir v.222 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
On leur laisse un bonsoir avec un pied de nez. v.226 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Je reviendrais, je crois, exprès de l'autre monde. v.228 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Vous ne paraissez pas plus malade que moi. v.238 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Tu connais et tu vois parfois madame Argante ? v.243 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Et sa fille Isabelle, euh, la connais-tu ? v.245 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Je m'en vais l'épouser. v.251 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Je voudrais, comme vous, en pouvoir faire autant. v.258 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Je sais ce qu'il me faut : apprenez, je vous prie, v.263 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Une femme économe et pleine de raison, v.277 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Prendra seule le soin de toute la maison. v.278 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
Ah ! Le joli garçon ! Aurais-je dû m'attendre v.279 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Mais quelqu'un vient ici. v.284 (Acte 1, scène 5, GÉRONTE)
Je vais les amener. v.285 (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
Je ne me suis jamais mieux porté, je vous jure : v.296 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Je serais bien malade, et plus qu'à l'agonie, v.299 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Je ne sais pas, monsieur, pour quoi vous me prenez ; v.309 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Mais ce choix m'interdit, et vous me surprenez. v.310 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Mais peut-être monsieur, par cette loi sévère, v.315 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Je sais ce que je suis, et le peu que je vaux, v.317 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Je connais bien mes yeux ; ils ne feront jamais v.321 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
J'ai parlé, je me tais. v.341 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
La raison. v.343 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Je ne sais ce que c'est que de flatter les gens. v.346 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Je voudrais me porter comme monsieur se porte. v.348 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Il veut se marier ; et n'a-t-il pas raison v.349 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
Ah ! Le ciel m'est témoin si je voudrais jamais v.353 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
Et tous les médecins qui connaissent ses maux v.369 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Je pourrais de mon chef avoir quelques enfants. v.374 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Et je jurerais, moi, cependant du contraire. v.376 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Moi, je vais là-dedans vaquer à mon emploi ; v.393 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
C'est trop nous retenir, laissez-nous donc partir. v.397 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Je ne puis vous quitter ni vous laisser sortir v.398 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
Je voudrais vous pouvoir donner la préférence. v.400 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Pour rompre ses projets, je flattais son caprice ? v.416 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
Il est certains esprits qu'il faut prendre de biais, v.417 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
Et que, heurtant de front, vous ne gagnez jamais. v.418 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
Mais le bien qu'il lui fait... v.421 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Je vais d'un mot d'écrit lui mander que son âge, v.427 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Que je serais bientôt cause de son trépas ; v.429 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
Je me fais d'obéir une joie infinie. v.431 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Mais Lisette s'avance, et j'entends quelque bruit. v.433 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
Je vous laisse avec lui ; pour moi, je me retire. v.435 (Acte 2, scène 3, MADAME-ARGANTE)
Mais, avant de partir, je vais là-bas écrire. v.436 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANTE)
Mais l'affaire n'est pas encore consommée, v.443 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
Qu'il faut laisser aux sots. Mais Géronte s'avance. v.460 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Je n'ai senti jamais à la fois tant de maux. v.462 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
Mais, puisque j'ai promis... v.473 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
Je voudrais inventer quelque petit cadeau v.477 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
Je valais, dans mon temps, mon prix tout comme un autre. v.487 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
Donnez-moi le billet, je vais le déchiffrer. v.494 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Mais, sans vous arrêter à cet écrit frivole, v.499 (Acte 2, scène 5, ÉRASTE)
Et d'un plaisir soudain tous mes sens sont ravis. v.502 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
Je ne sais pas comment, ennemi de moi-même, v.503 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
Je me précipitais dans ce péril extrême : v.504 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
Je vais faire, à l'instant, réponse à ta maîtresse. v.512 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
Mais tu louais tantôt mon dessein et mes feux. v.521 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Tantôt vous faisiez bien, et maintenant bien mieux. v.522 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
L'un est fils de mon frère, et tu sais bien son nom, v.537 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Qu'autrefois je portais à leur père, à leur mère, v.544 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
Leur laisser à chacun vingt mille écus comptant, v.545 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
Je ne les vis jamais ; ce que je puis vous dire, v.551 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Je crois que tu n'es pas fâché que je leur laisse v.555 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
De quoi vivre à leur aise, et soutenir noblesse. v.556 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
Mais vous ne songez pas que le laquais attend. v.561 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
Je vais l'expédier, et reviens à l'instant. v.562 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
S'est de votre bras droit depuis un mois saisie, v.564 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
Et je vais lui dicter une lettre d'un style v.567 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Mais dans une heure au plus ils seront ici. v.581 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Sais-tu pourquoi Géronte ici les mandait ? v.582 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Mais le ciel, par bonheur, en ordonne autrement ; v.589 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Mais, comme en ce bas monde il n'est nuls biens parfaits, v.601 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Pour deux parents lointains, et qu'il n'a jamais vus. v.606 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
C'est de l'argent comptant dont je fais plus de cas. v.609 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Gentilhomme, natif d'entre Falaise et Caen : v.614 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Jamais. v.626 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Géronte, tu le sais, ne t'a presque point vu : v.630 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Quoi ! Tu pourrais, Crispin... v.643 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
D'accord... mais enfin... v.645 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Nous sommes but à but, ne sais-je point des tiennes ? v.648 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Mais enfin sur ce point à tort tu t'inquiètes ; v.651 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Mais on vient. v.654 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Va, va, je sais déjà tout mon rôle par coeur ; v.657 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Je voudrais que quelqu'un me contât la manière v.660 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
À renouer l'hymen dont je fais peu de cas... v.670 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
De vos intentions je sais tout le mystère. v.671 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
Que je vais à l'instant te nommer légataire. v.672 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
Je connais leur esprit, v.673 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
Demeurez en repos ; je sais ce qu'il faut dire, v.675 (Acte 2, scène 9, ?RASTE)
Mais j'aperçois quelqu'un. v.680 (Acte 2, scène 10, LISETTE)
Vous paraissez fâché. Quoi ! v.684 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
J'ai raison de l'être. v.684 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Peut-on faire jamais de plus haute folie ? v.696 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Je vous trouve plaisant ! Et vous avez raison v.701 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
De faire avecque moi quelque comparaison ! v.702 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Fi donc ! Ces médecins sont de plaisantes gens ! v.722 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
J'étais bien résolu, plutôt que de plier, v.729 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Mais que vous ai-je fait, moi, pour vous courroucer ? v.734 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
Mais, monsieur... v.739 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
Voilà ce qu'il vous faut : mais une femme !... v.745 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Mais... v.745 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
Ma boutique pour vous est fermée à jamais... v.746 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Je le verrais crever comme un vieux mousqueton. v.750 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Mais, monsieur Clistorel... v.752 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
Le plaisant mariage ! v.752 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Non, je ne vis jamais animal de la sorte : v.756 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
Fais-le-moi donc venir. v.769 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
Vous n'avez jamais fait rien de plus héroïque v.779 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Et monsieur Clistorel a fort bonne raison. v.782 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
Mais enfin tout va bien. v.786 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Tout est-il mort ici, laquais, valet, servante ? v.787 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Le diable puisse-t-il emporter la maison ! v.789 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Parbleu, j'en suis bien aise. Ah, monsieur ! Touchez là. v.798 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Touchez là derechef. Le plaisir me transporte v.800 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Vous paraissez surpris autant qu'on le peut être. v.803 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
C'est que vous ne m'avez jamais vu. v.806 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Mais feu monsieur mon père, Alexandre Choupille, v.807 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Mais un ami sensé lui dit, en confidence, v.812 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Qu'il est vrai que ma mère, en faisant ses enfants, v.813 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Mais qu'aux femmes l'erreur n'était pas inouïe, v.815 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Que jamais sur l'honneur on l'ait pu voir broncher. v.826 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Dans quatre ais de sapin reposer à votre aise. v.839 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Vous avez un neveu, monsieur, ne vous déplaise, v.840 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Que je vais manier de l'or à pleine main ; v.845 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Je sais que, pour un sou, d'une ardeur héroïque v.847 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Que, si de mes deux bras j'avais encor l'usage, v.852 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Je vous ferais sortir par la fenêtre. v.853 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
Je vous trouve plaisant de parler de la sorte ! v.855 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
La maison m'appartient : ce que je puis souffrir, v.857 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
C'est de vous y laisser encor vivre et mourir. v.858 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Nous fournisse, à pleins brocs, une liqueur aisée : v.864 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Fais main basse sur tout ; le bon homme a bon clos, v.865 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Je mettrai, de ma main, le feu dans la maison. v.870 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Grands dieux ! Vit-on jamais insolence semblable ? v.871 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Ce n'est pas un neveu, monsieur ; mais c'est un diable. v.872 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
En repos laissez-moi finir ma triste vie, v.876 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
D'accord. Mais quand viendra ce jour ? v.878 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Je vous en donne six ; mais après, ventrebleu, v.881 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Je vous fais enterrer mort ou vif. Je vous laisse. v.883 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Dans ses yeux, dans ses traits, un je ne sais quoi brille ; v.891 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
De laisser votre bien, une si belle somme, v.895 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Moi, lui laisser mon bien ! J'aimerais mieux cent fois v.897 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
L'enterrer pour jamais. v.898 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
Mais Éraste revient, et nous allons apprendre v.911 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Tu te fais bien attendre ! v.912 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
J'aurais bien eu besoin ici de ta présence v.919 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Ah ! Le mauvais pendard, v.921 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Qu'il n'aura de mon bien jamais la moindre obole. v.924 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Elles me paraissaient s'en soucier fort peu : v.930 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
Mais quand je leur ai dit que vous vouliez me faire v.931 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
Mais écoutez ceci, v.937 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
Que je ne voulais point aller sur vos brisées, v.944 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
Moi, j'approuverais fort cet hymen et ce choix : v.949 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Je ne sais pas, monsieur, au vrai ce qu'il en est ; v.954 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Mais tout le monde croit, à votre air triste et sombre, v.955 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Et que, pour des raisons qui vous font différer, v.957 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Tu pourrais, à la fin, lasser ma patience. v.960 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Je ne sais point, monsieur, farder la vérité, v.961 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
S'il ne s'en trouvait pas quelqu'un de raisonnable. v.972 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Je vois un oncle enfin, mais un oncle que j'aime, v.975 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
C'est lui, je le sais bien ; v.977 (Acte 3, scène 7, ÉRASTE)
Je n'avais autrefois que cela de grosseur ; v.986 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Mais vous savez l'effet d'un fécond mariage, v.987 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
À vingt ans mon mari m'a laissé mère et veuve. v.992 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Mais du pauvre défunt la mémoire funeste v.996 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Mais d'un veuvage affreux les tristes insomnies v.999 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
On ne poussa jamais plus loin la foi promise. v.1003 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
Votre époux, vous laissant mère et veuve à vingt ans, v.1005 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Ne vous a pas laissé, je crois, beaucoup d'enfants. v.1006 (Acte 3, scène 8, G?RONTE)
Rien que neuf ; mais, le coeur tout gonflé d'amertume, v.1007 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Mais juge, de ses jours, ne m'interloquera : v.1026 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
Et je ne veux jamais souffrir qu'on m'interloque. v.1028 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
Je ne sais où j'en suis. v.1042 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Je ne sais qui retient l'effet de ma colère. v.1048 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Je vous rendrai raison de tout dans un moment. v.1078 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
La mauvaise famille et du Maine et de Caen ! v.1081 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
Mais il faut dire vrai, cette coiffe m'inspire v.1099 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
Sans voix, sans sentiment, sans pouls, sans connaissance. v.1116 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Pourquoi se saisit-il si fort pour des discours ? v.1121 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
J'en voulais à son bien, et non pas à ses jours. v.1122 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Et moi, qui m'y connais, je dis qu'il faut qu'il meure, v.1127 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Et qu'il ne peut jamais aller encore une heure. v.1128 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Faisons voir un courage au-dessus des malheurs. v.1138 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Démeubler la maison, s'emparer des effets. v.1142 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Mon oncle ne saurait reprendre connaissance : v.1156 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
Il est vrai, cher Crispin ; mais enfin tu sais bien. v.1173 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
Des maisons à Paris, des terres, des contrats, v.1177 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
Je devais épouser Isabelle à ce prix : v.1182 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
J'entre dans vos raisons ; elles sont très plausibles : v.1187 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Mais ce sont de ces coups imprévus et terribles, v.1188 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Ô mort ! Tu devais bien attendre encore une heure ; v.1192 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Tu nous aurais tous mis dans un parfait repos, v.1193 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Ne saurais-tu, Crispin, parer ce coup fatal, v.1197 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
Tantôt tu méditais un héroïque ouvrage : v.1199 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
Oui, je croyais tantôt réparer cet échec ; v.1201 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Mais à présent j'échoue, et je demeure à sec. v.1202 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Peut-être je pourrais, par quelque coup d'adresse, v.1207 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Mais en faire trouver alors qu'il n'en est point, v.1209 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Fais-en, ma pauvre enfant, tout ce que tu voudras. v.1218 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
Savent-ils que mon oncle a perdu connaissance, v.1219 (Acte 4, scène 2, ?RASTE)
Je vais donc leur marquer qu'ils n'ont qu'à s'en aller. v.1225 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Fais-nous part du dessein que ton coeur se propose. v.1235 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
Laisse-moi donc rêver... Oui-da... Non... Si, pourtant... v.1237 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
Il est vrai ; mais enfin j'accouche d'un dessein v.1241 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
Toi, qui parais dans tout si légère et si vive, v.1243 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
Je t'en laisse l'emploi. v.1245 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Je serais légataire ! Et, par même moyen, v.1265 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
J'épouserais l'objet qui fait seul tout mon bien ! v.1266 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
Elle est un peu brutale, et saisit au collet. v.1270 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
À de bonnes raisons je me laisse gagner ; v.1278 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
Ah ! Le mauvais valet ! Chaussez chacun un bas. v.1286 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
Mais, avec son habit, si son mal m'allait prendre ? v.1292 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
Je ne sais si la peur est un peu laxative, v.1295 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
Je vais dans un moment les amener ici. v.1301 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
Je voudrais bien encore être à l'âge où vous êtes ; v.1319 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Et si je me portais aussi bien que vous faites, v.1320 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Je ne songerais guère à faire un testament. v.1321 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Jamais d'un testateur n'a raccourci la vie ; v.1324 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
De quelque procureur chicaneur et mauvais ; v.1354 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Et je serais encor contraint de déguerpir. v.1357 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Se fasse à peu de frais et fort modestement. v.1362 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Jamais, de mon vivant, je n'aimai la dépense ; v.1364 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Lui laissant tout mon bien, meubles, propres, acquêts, v.1373 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Vaisselle, argent comptant, contrats, maisons, billets ; v.1374 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Il faudra donc vous voir pour jamais disparaître ! v.1380 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Le bon maître, grands dieux ! Que je vais perdre là ! v.1389 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Item. Je laisse et lègue à Crispin... v.1401 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Vous ne connaissez pas, mon oncle, ce Crispin : v.1405 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
C'est un mauvais valet, ivrogne, libertin, v.1406 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
Je connais ce Crispin, mille fois mieux que vous : v.1409 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Je sais ce que je fais ; v.1418 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Mais... v.1420 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
Si vous me fâchez, j'en laisserai deux mille. v.1420 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Ne l'obstinez point, je connais son esprit. v.1421 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
N'aurais-je point encor quelqu'un de mes amis v.1425 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
À qui je pourrais faire un fidéicommis ? v.1426 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Il ne me laissera plus rien, s'il continue. v.1428 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
J'en aurais grande envie ; v.1431 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Mais j'en suis empêché par la paralysie v.1432 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
M'en voilà délivré ; mais je suis tout en eau. v.1438 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Laissez-moi, s'il vous plaît, l'acte qu'on vient de faire. v.1440 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Vous nous ferez plaisir ; mon oncle vous en prie, v.1444 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
Et, dans l'occasion, sais-je jouer mon rôle, v.1448 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
De laisser à Lisette une somme semblable ? v.1452 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
Pouvais-je moins laisser à cette pauvre fille ? v.1455 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
Et j'ai dû lui laisser, un peu de subsistance, v.1459 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
Laissons la chose au point où votre oncle l'a mise. v.1472 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
Ce serait cent fois pis ; j'en mourrais de douleur. v.1473 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
Vous ne sauriez me faire un plus charmant plaisir. v.1485 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
T'abuse et te fais voir un fantôme en idée. v.1504 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
Excuse, mon enfant, je te prenais pour lui. v.1506 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
Je ne sais où j'en suis, et j'abandonne tout. v.1518 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
Je vais, sans perdre temps, remettre ces billets v.1525 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
Le parti le meilleur, sans user de délais, v.1545 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Ce n'est pas d'aujourd'hui que je connais, madame, v.1547 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
Mais gardez ces billets quelques moments, de grâce ; v.1551 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
Mais on pardonnera ces transports amoureux : v.1557 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
Et je vais l'exciter à faire un testament. v.1573 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
Mais ne craignez-vous rien de son ressentiment ? v.1574 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Et voilà la raison qui me fait hasarder v.1577 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
Mais je ne sais, monsieur, en cette occasion, v.1585 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
Mais j'entends quelque bruit. v.1589 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
Laissons évaporer un peu sa bile émue ; v.1596 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
Dieu veuille nous tirer d'un aussi mauvais pas ! v.1602 (Acte 5, scène 3, CRISPIN)
Je ne sais où je suis : l'éclat du jour me blesse ; v.1604 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
Pas tant que nous croyions. Mais votre maladie v.1608 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
Qu'il n'est pas bien aisé, dans le fond, de décrire : v.1611 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
Vous seriez étonné, mais d'un étonnement v.1617 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
Il s'est saisi si fort, v.1621 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
Lui montrer des effets de sa reconnaissance. v.1631 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
Mais, à ce que je vois, v.1633 (Acte 5, scène 5, GÉRONTE)
Hélas ! À ce bonheur me serais-je attendu ? v.1642 (Acte 5, scène 6, ÉRASTE)
Mais je rends grâce au ciel de prolonger ma vie, v.1647 (Acte 5, scène 6, GÉRONTE)
Mais j'aperçois quelqu'un. C'est un des deux Notaires. v.1656 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Je savais bien qu'ayant fait votre testament, v.1661 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Je vous avais promis de remettre en vos mains. v.1666 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Vous nous l'avez dicté plein de sens et raison. v.1674 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Le repentir si tôt saisirait-il votre âme ? v.1675 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
Je pourrais là-dessus vous rendre satisfait ; v.1685 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Mais je suis très certain qu'au lieu où vous voilà, v.1689 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
C'est qu'on peut se tromper. Mais c'était vous, ou moi. v.1694 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Et que vous lui dictiez à votre fantaisie ? v.1703 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Je crois qu'ils ont raison, et mon mal est réel. v.1713 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Mais voyons donc enfin ce que j'ai fait écrire. v.1719 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Hélas ! Je ne saurais arrêter mes sanglots. v.1730 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Mais laissez-moi donc lire ; v.1739 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Je ne sais pas au vrai si vous les lui devez ; v.1753 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Mais il me les a, lui, mille fois demandés. v.1754 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Je fais mon légataire unique, universel, v.1757 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Oui, je voulais nommer Éraste légataire. v.1764 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Non... jamais... car enfin... ma bouche... quand j'y pense... v.1771 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Je me sens suffoquer par la reconnaissance, v.1772 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Si généreusement me laisser cette somme ! v.1796 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Et je n'écris jamais que ce que l'on m'ordonne. v.1800 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Quoi ! Moi, j'aurais légué, sans aucune raison, v.1801 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Qu'on me fasse raison. Quelles friponneries ! v.1815 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
J'avais perdu l'esprit, le sens, et la raison. v.1818 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
Mais sous des lois que nous osons prétendre. v.1820 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
Mais tu n'y penses pas. Veux-tu donc que je laisse v.1823 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
Nous verrons : mais, avant de conclure l'affaire, v.1840 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
Mais, surtout, au plus tôt procréez des enfants v.1858 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
Détestez à jamais tous neveux bas-normands, v.1861 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
Que ne fusent jamais les guerres ni les pestes. v.1864 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
Laissons-le dans l'erreur, nous sommes héritiers. v.1865 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
Mais n'y mets rien de plus pendant le mariage. v.1867 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
En faveur des vivants je fais revivre un mort ; v.1870 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
Et femme au par-dessus : mais ce n'est pas assez ; v.1873 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)

LE DIVORCE (1688)

Messieurs, ce que je vais vous dire vous déplaira peut-être ; mais, en vérité, j'en suis plus fâché que vous, et personne n'y perd tant que moi. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
Vous voyez, messieurs, que nous ne suivons pas les mauvais exemples, et que nous rendons l'argent, quoique la comédie soit commencée. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
Mais, Monsieur Jupiter, quelle apparence ? (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
Je vais me placer aux troisièmes loges pour mieux voir. (Prologue, scène 3, JUPITER)
Je me suis amusé, en venant, à jouer à la boule aux petits-carreaux, contre quatre procureurs qui ne m'ont laissé que trente sous. (Prologue, scène 3, JUPITER)
Monsieur Jupiter, si vous vouliez me laisser votre monture, je la ferais mettre à la daube : aussi bien les dieux de l'opéra, qui sont bien montés quand ils viennent, s'en retournent toujours à pied. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
Je le sais bien ; j'étais la chambre de madme votre soeur quand son mari, monsieur Sotinet, mon maître et votre beau-frère, la surprit comme elle vous écrivait la dernière lettre que vous avec reçue d'elle, où elle vous mande de venir au plus tôt à Paris, afiun de prendre des mesures avec vous pour se mettre à couvert du chagrin que son vieux mari lui fait tous les jours. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Mais quand on ne peut pas changer sa condition, et qu'elle est mauvaise, il faut tâcher de l'adoucir autant qu'il est possible. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Mais malheureusement mais vous êtes gueux comme un rat, et il y a longtemps que votre noblesse serait tombée par terre, si la roture ne l'avait soutenue. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Mais laissez-moi faire : si votre soeur consent à la séparation, je m'engage, moi, de faire toruver tout l'argent qu'il faudra pour l'obtenir ; et si , je veux que ce soit mon maître qui le fournisse. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Je lui aidais à mettre un muid de vin en perce. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Mais la difficulté est de trouver des gens qui les éxecutent. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Si mon cher ami Arlequin était encore au monde, c'est là justement l'homme qu'il ma faudrait ; mais le pauvre garçon s'est avisé de se faire pendre, et ... (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Je n'ai jamais vu de gens plus curieux, ni plus insolents ; ils crient après moi, il a chié au lit, il a chié au lit, comme si j'étais un masque. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais ce manteau-là m'appartient. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Je parlais tout-à-l'heure de toi. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Celui qui a tant de noblesse, et qui n'a jamais le sou ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Lui-même : il est aussi gueux à présent comme il était du temps que tu le servais. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Tant pis ; car je ne suis pas aussi sot que je l'ai été, moi ; et je ne m'emploierai jamais pour qui que ce soit, qu'auparavant je ne sois assuré de la récompense. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais tire-moi d'un doute : il a couru un bruit que tu avais été pendu, et je te croyais déjà bien sec. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Point du tout ; je me porte le mieux du monde : il est vrai que j'ai eu quelque petite indisposition, et que j'ai été sur le point de mourir de la courte haleine ; mais je m'en suis bien guéri. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Tu sais bien que j'ai toujours aimé les grandes choses : dès le temps même que nous avions l'honneur de servir ensemble le roi sur ses galères... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Ne parlons point de cela ; je sais que tu as toujours été homme d'esprit. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Non, dans les médailles ; c'est-à-dire que quand je n'avais rien à faire, pour me désennuyer, je m'amusais à mettre le portrait du roi sur des pièces de cuivre, que je couvrais d'argent, et que je donnais à mes amis pour du pain, du vin, de la viande, et autres choses nécessaires : mais comme il y a toujours des envieux dans le monde (voyez, je vous prie, comme on empoisonne les plus belles actions de la vie !), on fut dire à la justice que je me mêlais de faire de la fausse-monnaie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et moi, j'eus beau dire que j'avais affaire, que je ne pouvais pas sortir, que j'irais une autre fois, il me fut impossible de résister aux honnêtetés et aux empressements de ces messieurs-là. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Oh, pour cela, rien n'est plus vrai ; je n'ai jamais vu de gens plus honnêtes. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
L'un m'avait pris par un bras, aussi m'avait fait l'autre, en me disant le plus obligeamment du monde : "Oh ! Puisque nous avons été assez heureux que de vous trouver, vous ne nous échapperez pas, et nous aurons le plaisir de vous emmener avec nous" ; et à force de civilités, ils m'entraînèrent dans leur carrosse, et me conduisirent à la justice. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Sur une petite chaise de bois qu'on avait mise à côté de moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Ces messieurs donc, après s'être parlé à l'oreille, me demandèrent encore si véritablement c'était moi qui avais cet heureux talent ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Je leur répliquai qu'oui, que je leur demandais excuse si je ne faisais pas aussi bien que je l'aurais souhaité ; mais que j'avais grande envie de travailler, et qu'avec le temps, j'espérais devenir plus habile. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Je remarquai que mon discours les avait réjouis ; mais cela n'empêcha pas qu'ils ne me condamnassent sur l'heure à être pendu et étranglé à la Croix Du Trahoir. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Quand j'entendis qu'on m'allait pendre, je commençai à crier : mais, messieurs, vous n'y pensez pas. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Je ne suis qu'un jeune homme qui ne fais que d'entrer dans le monde ; et d'ailleurs, je n'ai pas l'âge compétent pour être pendu. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
C'était une bonne raison celle-là. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Je ne disais mot ; mais j'enrageais comme tous les diables. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Comme j'étais fort fatigué du voyage, j'avais soif, je demandai à boire : on me proposa si je voulais de la bière. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Je dis que non, et que cela pourrait par la suite me donner la gravelle ; je priai seulement les archers de me laisser boire à la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Tu as, ma foi, raison. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Mais d'où vient que tu n'enfonces point tes pieds jusqu'au fond de tes bottes, et que tu marches sur la tige ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Je le fais exprès pour épargner les semelles. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Oui, monsieur ; vous me dites d'empêcher que madame n'entre dans la maison, et de lui fermer la porte au nez. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
Animal, c'est tout le contraire : je te dis de ne laisser entrer personne pour voir ma femme, et de fermer la porte au nez de tous ceux qui se présenteront. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
Mais, à propos, vous êtes donc jaloux ? (Acte 1, scène 4, PIERROT)
Cela est plaisant ! (Acte 1, scène 4, PIERROT)
Fais-le entrer. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
Que cela ne vous étonne pas : j'ai bien été trois mois entiers après une barbe, et tandis que je rasais d'un côté, le poil revenait de l'autre : mais présentement je suis plus habile ; vous allez voir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Mais qu'est-ce donc que vous m'avez mis au cou ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Voilà un plaisant homme ! (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Point du tout, monsieur ; mais c'est qu'il y a des gens qui sont terriblement rétifs sous le fer, et avec cet instrument-là, on leur couperait la gorge, qu'ils ne diraient mot. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Il faut filer doux ; ce coquin-là le ferait comme il le dit : il a une mauvaise physionomie. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Je croyais qu'il n'y en avait que de gascons. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
J'étais auparavant tailleur de pierres ; et comme on disait que j'avais beaucoup de légèreté dans la main, je crus que je serais plus propre à ce métier-ci. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Tant, que je n'y saurais suffire. C'est moi qui fais la barbe et les cheveux à tous les limousins qui viennent ici travailler, et j'ai une pension de la ville pour faire tous les quinze jours le crin au cheval de bronze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Mais vous avez quelque chose ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Je n'ai jamais vu un pareil original... (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Mais vous voilà ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Si je faisais bien, je vous ferais jeter par les fenêtres. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Mais il faut qu'on ait perdu l'esprit, de faire un tintamarre semblable dans mon antichambre ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Que ne me laissez-vous faire ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
J'ai une conscience si délicate, que je me reprocherais les conquêtes qui ne se seraient pas faites de bonne guerre, et je crois que je mourrais de honte d'avoir dix années de plus que mon visage. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Bon, bon, mademoiselle, vous avez là un plaisant scrupule ; la beauté que l'on achète n'est-elle pas à soi ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Il n'y a plus que le rouge qui se met à la toilette qui marque la pudeur des femmes d'aujourd'hui ; elles ne rougiraient jamais sans cela. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Et que serait-ce donc, madame, s'il vous fallait peler avec de certaines eaux, comme la dernière maîtresse que je servais, qui changeait tous les six mois de peau. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Si je l'ai vu ? C'étoit moi qui faisois l'opération ; elle me faisait prendre la peau de son front, que je tirais de toute ma force ; elle criait comme un beau diable, et moi je riais comme une folle ; il me semblait habiller un levraut : mais ce qui est de meilleur, c'est qu'elle portait toujours sur elle, dans une boîte, la peau de son dernier visage calcinée, et disait qu'il n'y avait rien de si bon pour les élevures et les bourgeons. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Je crois, mademoiselle, que vous n'avez pas l'honneur de me connaître ; mais quand vous saurez que je m'appelle Monsieur De La Gavotte, sieur de Trotenville, vous devinerez aisément que je suis maître à danser. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Mais je vous prie de me dire pourquoi vous avez un si petit cheval. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
J'avais autrefois un carrosse à un cheval ; mais mes amis m'ont conseillé de changer de voiture, afin de ne pas causer une erreur dans le public, qui prend souvent, dans cet équipage-là, un maître à danser pour un lévrier d'Hippocrate. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Je ne donnerais pas ce petit cheval-là pour les deux meilleurs chevaux de Paris ; c'est un diable pour aller. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Vous dis-je : j'en ai été autrefois ; mais il m'a fallu plus de vingt lavements et autant de médecines pour me purifier du mauvais air que j'y avais respiré. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Vous me surprenez, monsieur : j'avais toujours cru que l'opéra était le lieu du monde où l'on prenait le meilleur air. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Je veux que le premier entrechat que je ferai me coupe le cou, si jamais j'y mets le pied ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
J'irais prostituer ma gloire, et figurer avec le premier venu ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Je le crois bien : ces personnes-là ont grande raison ; et si j'étais d'elles, je leur ferais rendre jusqu'à la moindre petite faveur qu'elles auraient reçue. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Là, là, donnez-vous patience ; on leur fera peut-être tout rendre : mais cependant elles usent en toute rigueur de leurs privilèges ; et un amant qui n'exprime son amour qu'avec des fontanges et des bas de soie, se morfond dix ans derrière leur porte. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Je voudrais que vous vissiez ma garde-robe ; elle est des plus magnifiques, et si, sans vanité, elle ne me coûte guère. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Ho bien, monsieur, nous la verrons une autre fois ; mais présentement je vous prie de danser un menuet avec moi. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais avant que de me quitter, je vous prie de me dire combien vous prenez par mois. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Il est vrai ; mais dans ce temps-là les maîtres à danser n'étaient pas obligés d'être dorés dessus et dessous, comme à présent ; et une paire de galoches était la voiture qui les menait par toute la ville. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Mais présentement on ne nous regarde pas, si nous n'avons le cheval et le laquais. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Très volontiers, madame ; cela me fera bien du plaisir : car tel que vous me voyez, je suis à deux mains, et je chante aussi bien que je danse. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Les musiciens italiens sont de plaisants originaux. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Tout doucement, s'il vous plaît ; je ne sais point faire de ces cabrioles-là. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Monsieur apparemment n'aime pas l'italien ; mais j'ai fait depuis peu un petit duo en français, que je veux chanter avec lui, et je suis sûr qu'il ne lui déplaira pas. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
Je ne compose jamais que sur ce ton, et c'est pour cela que j'en porte le nom. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
Et moi, monsieur, je n'y chante jamais. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Je vous trouve plaisant. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Chantez juste vous-même ; je sais bien ce que je dis. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Mais, voyez cet ignorant ! (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Je vous apprendrai à insulter ainsi la croche française. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
De la manière qu'il s'y prenait, je croyais qu'il allait tout tuer. (Acte 1, scène 9, COLOMBINE)
Je te les ai promis, et tu les auras ; et de plus, je te promets de te faire épouser Colombine ; mais il faut faire encore une petite fourberie. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Pour épouser Colombine, j'en ferais cinquante, des fourberies. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Tiens-toi un peu en repos, et laisse-moi rêver au moyen de t'introduire chez Monsieur Sotinet, pour rendre cette lettre à Isabelle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Laissez-moi en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Laisse-moi songer en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Je répétais le compliment de noce. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Ne te tairas-tu jamais ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Quel plaisir ! (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Madame, je vous déclare, pour la dernière fois, que je ne veux plus voir tout ce train-là dans ma maison. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Je ne sais plus qui y est maître. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Vraiment, je vous trouve plaisant ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Sachez, s'il vous plaît, monsieur, qu'un homme comme vous, qui a épousé une fille de qualité comme moi, est trop heureux quand elle veut bien s'abaisser à porter son nom. Mon mérite n'est-il pas bien soutenu d'avoir pour piédestal le nom de Monsieur Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Je connais un homme qui s'appelle Monsieur Josset, et sa femme se fait appeler la Marquise de Bas-Aloi. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Taisez-vous, impertinente ; on ne vous parle pas. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Pourquoi voulez-vous qu'elle se taise, quand elle a raison ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Mais vous devez vous mettre en tête que je vous ai plutôt pris pour mon homme d'affaires que pour mon mari ; et je vous prie de ne plus vous mêler de ma conduite. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Nous demeurons dans la même maison, et il y a huit jours que je ne vous ai rencontrée. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Non, madame ; mais, si vous voulez, je vais vous en chanter un que je viens d'apprendre. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Mais j'empêcherai bien que cela ne dure, et je veux que tu sortes tout présentement de chez moi. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Je vous prie, monsieur, de vous en aller dans votre appartement, et de me laisser en repos dans le mien. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Je m'ennuie bien aussi d'y être, madame, et je voudrais... (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Madame, je ne sais pas ce que vous faites de cet homme-là ; mais je sais bien, moi, ce que j'en ferais, si j'étais à votre place. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
C'est un homme qui n'est jamais dans la route de la raison ; il a des travers d'esprit qui me désolent. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Mais que veux-tu ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
On se démarie aussi facilement qu'on se marie ; et je savais toujours bien, moi, que tôt ou tard il en fallait venir là ; il n'y avait pas de raison autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Colombine, je voudrais bien n'en point venir là : je fais même tout ce que je puis pour avoir quelque estime pour Monsieur Sotinet ; mais je ne saurais en venir à bout. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Je voudrais, Colombine, que tu fusses mariée ; tu verrais si c'est une chose si aisée que d'aimer un mari. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Est-ce que je ne le sais pas bien ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Mais nous perdons bien du temps. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Mais, madame, qui est-ce qui entre là ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Un dévoiement, madame, causé à ma bourse par les fréquentes crudités d'une fortune indigeste, m'a obligé d'avoir recours au remède astringent d'un petit billet payable au porteur, que j'apportais à monsieur votre époux ; mais n'y étant pas, j'ai cru qu'un homme de ma qualité pouvait entrer de volée chez les dames, et que vous ne seriez pas fâchée de connaître le chevalier De Fondsec. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
Je suis ravie, monsieur, de l'honneur que je reçois ; mais je voudrais que ce ne fût pas une suite de votre malheur, et devoir à ma bonne fortune, et non pas à votre mauvaise, la visite que je reçois : mais il faut espérer que vous serez plus heureux. (Acte 2, scène 4, ISABELLE)
Car nous autres chevaliers de Gascogne, nous n'avons jamais connu ni patrimoine, ni revenu. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
Il est vrai que de mémoire d'homme on n'a jamais vu venir une lettre-de-change de ce pays-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Ma foi, madame, je ne sais pas si je pourrai me prostituer à votre visite ; car c'est aujourd'hui mon grand jour de femmes. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
Je m'en vais voir sur mes tablettes. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
Allons, madame, je suis à vous pendant toute l'après-dînée, et pendant toute la nuit, si vous voulez : il en coûtera la vie à trois ou quatre femmes ; mais qu'y faire ? (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
Monsieur, vos laquais sont là-bas, qui demandent à vous parler. (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
Voilà de plaisants marauds ! Est-ce à faire à ces coquins-là à manger ? (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
Ils sont quelquefois trois jours sans manger ; mais aussi je crois que vous leur donnez de gros gages. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
çà, monsieur le chevalier, voilà un chagrin qui me saisit. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Quand je n'ai plus que deux ou trois plaisirs à prendre dans le reste du jour, je suis dans une langueur mortelle ; et je m'ennuie presque toujours, dans la crainte que j'ai de m'ennuyer bientôt. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Je ne sais, madame, ce que vous voulez faire ; mais je vous avertis que monsieur a enfermé une roue du carrosse dans son cabinet, pour vous empêcher de sortir. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
J'y allai dès deux heures à la première représentation ; j'eus tout le temps de m'ennuyer avant que l'on commençât ; mais ce fut bien pis, quand on eut une fois commencé. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
En vérité, madame, je ne sais pas quel plaisir vous trouvez à vos comédies italiennes ; les acteurs y sont détestables. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
J'étais dernièrement à une pièce nouvelle ; elle n'était pas encore commencée, que j'entendis accorder les sifflets au parterre, comme on fait les violons à l'opéra. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
Ne vous l'avais-je pas bien dit, madame ? (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
Dieu merci, madame, ce que je demandais est enfin arrivé : nous plaiderons, morbleu ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
On va me tympaniser par la ville, et je vais donner la comédie à tout Paris. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Et l'on n'aurait jamais connu tout l'esprit d'Artémise, sans ses lettres, qui ont été produites à l'audience. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
Je conviens, avec toi, qu'il y a beaucoup d'honnêtes femmes qui sont lasses de leur métier et de leur mari ; mais, du moins, elles n'en instruisent pas la ville par la bouche d'un avocat, et ne se font point déclarer fieffées coquettes par arrêt de la cour. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Fais donc tout ce que tu voudras. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Mais, faudra-t-il que j'aille solliciter toutes ces jeunes barbes de juges, qui me riront au nez, et qui sont ravis d'avoir des affaires de cette nature-là ? (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Laissez-moi faire ; j'ai une peste de tête... (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
Viens çà, sais-tu plaider ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
Si je sais plaider ? (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
Je ne sais pas, Colombine, dans quelle affaire tu m'embarques là. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Je te cherchais. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
Colombine m'a dit que tu avais servi chez un avocat. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
C'était moi qui recousais les sacs et les étiquettes. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
La profession d'avocat n'est pas si aisée. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Il n'y a rien au monde de si aisé. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
Un avocat va le matin en robe au palais. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
Laisse-moi faire, pourvu que les saucisses marchent... (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Mais répétons donc aussi la buvette. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Cette affaire-là me fera mourir ; je n'en sortirai jamais à mon honneur. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
Pour Messire Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, contre la dame Sotinet, sa femme, demanderesse en séparation. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Je ne suis pas surpris, messieurs, de voir à ce nouveau tribunal une femme qui veut secouer le joug d'un mari ; mais je m'étonne de n'y pas voir avec elle la moitié des femmes de Paris. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Celui pour qui je parle, après avoir longtemps contemplé du port les naufrages de tant de malheureux époux, s'embarqua enfin sur la mer orageuse du mariage ; et quand il fit ce solécisme en conduite, qu'il souffrit cette léthargie de bon sens, cette éclipse de raison, s'il se fût mis une corde au cou, ou qu'il se fût jeté dans la rivière, il n'auroit jamais tant gagné en un jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Il fit ce qu'ont accoutumé de faire les gens sur le retour, quand ils épousent de jeunes filles, c'est-à-dire qu'il confessa avoir reçu vingt mille écus, quoiqu'elle ne lui eût jamais apporté en mariage qu'un fonds de galanterie outrée, et une fureur effrénée pour le jeu : voilà la dot de la Dame. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Oui, oui, messieurs ; quand je dis que voilà la dot de la Dame Sotinet, je n'avance rien que de véritable ; mais ne croyez pas que, parcequ'elle n'a rien eu en mariage, elle en dépense moins en se mariant. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Les jeunes filles qui se vendent à des vieillards achètent en même temps le droit de les envoyer à l'hôpital promptement, par leurs dépenses extravagantes : c'est ce qu'a presque fait la Dame Sotinet ; car enfin le pauvre homme ne fut pas plus tôt marié, qu'il vit bien comme presque tous les autres qui s'enrôlent dans cette milice qu'il avait fait une sottise ; que le mariage est une affaire à laquelle il faut songer toute sa vie ; qu'un bon singe et la meilleure femme sont souvent deux méchants animaux ; et que ce grand philosophe avait bien raison de s'écrier, en voyant trois ou quatre femmes pendues à un arbre : que les hommes seraient heureux, si tous les arbres portaient de semblables fruits ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Il vit fondre chez lui, dès le lendemain, tous les fainéants de la ville, chevaliers sans ordre, beaux esprits sans aveu ; cent petits poètes crottés, vrais chardons du Parnasse ; de ces fades blondins, minces colifichets de ruelles ; en un mot, il vit faire de sa maison une académie de jeux défendus, et fut obligé de payer une grosse amende, à quoi il fut condamné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Oui, oui, messieurs, je n'avance rien que de véritable ; et, malgré toutes les précautions, il n'a pas laissé de la payer cette amende, dont voici la quittance signée Pallot. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Mais qui fut le dénonciateur ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Vous croyez peut-être que ce fut, comme d'ordinaire, quelque fripon de laquais, enragé d'avoir été chassé de la maison ; ou quelque joueur, outré d'avoir perdu son argent ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Je parle bon français, Maître Cornichon ; on m'entend bien. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Mais ce n'était là qu'un prélude des pièces qu'elle devoit faire par la suite à son mari. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Les pierreries engagées ; la vaisselle d'argent vendue ; des tableaux d'un prix extraordinaire enlevés : car le Sieur Sotinet a toujours été extrêmement curieux d'originaux, et se connaissait parfaitement en peinture. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Cela est faux : il n'a jamais porté que du gris chez un homme d'affaires, et cela s'appelle apprenti sous-fermier, et non pas laquais, Maître Cornichon, et non pas laquais. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Mais, messieurs, s'il n'y avait que de la dissipation dans la conduite de la Dame Sotinet, vous n'entendriez pas retentir votre tribunal des plaintes de son mari ; mais puisqu'il est aujourd'hui obligé d'avouer sa honte et son malheur, approchez, financiers, plumets, chevaliers, et vous godelureaux les plus déterminés ; paraissez sur la scène. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Mais, que dis-je, le jour ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
On ne manquera pas de vous dire que celui pour qui je suis est un brutal ; j'en tombe d'accord : un ivrogne ; je le veux : un débauché ; j'y consens : un homme même qui est quelquefois attaqué de vertiges ; cela est vrai : mais, messieurs... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Mais, monsieur l'avocat, qui vous a donné charge de dire tout cela ? (Acte 3, scène 6, SOTINET)
Taisez-vous, ignorant, ce sont des figures de rhétorique qui persuadent. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Quand tout cela serait, dis-je, messieurs, sont-ce des raisons pour faire rompre un mariage ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Si je vous parlais des intrigues de la Dame Sotinet, de ses aventures galantes, de ses subtilités pour tromper son mari ; mais... vous rougiriez, illustres et vieilles coquettes de notre temps, de voir qu'une femme de dix-huit ans vous a laissées bien loin après elle dans la carrière de la galanterie et j'apprendrais aux femmes qui m'écoutent de nouveaux tours de souplesse (elles n'en savent déjà que trop). (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Ordonnerez-vous qu'un mari soit déclaré veuf, avant que d'avoir eu le plaisir d'enterrer sa femme ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Messieurs, je parle pour Damoiselle Zorobabel de Roqueventrousse, demanderesse en séparation, contre Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, ci-devant laquais, et défendeur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
L'aspect de ce sénat cornu, pompe digne de l'Hymen ; cet attirail funeste et menaçant, tout cela, je l'avoue, m'inspire quelque terreur : mais, d'un autre côté, l'équité de ma cause me recreat et reficit ; puisque je parle ici pour quantité de femmes, qui vous disent par ma bouche qu'un mari est à présent un meuble fort inutile ; et que, quand il n'y en aurait point, le monde ne finirait pas pour cela. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Il l'épousa, et il ne tint qu'à lui de voir qu'il avait mis dans sa maison un trésor de sagesse et de prudence, puisqu'elle ne dépensa, en se mariant, que les vingt mille écus qu'elle avait eus en mariage. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
J'avais oublié de vous dire, messieurs, que le mariage fut presque rompu, parceque le futur n'avait envoyé qu'un carreau de cinq cents écus. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Je le crois bien : je connais la fille d'un drapier qui en a renvoyé un de deux mille livres ; et si, dans ce temps-là, les drapiers n'avaient pas gagné leur procès contre les marchands de soie. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Taisez-vous donc, si vous pouvez. Si on n'impose silence à Maître Braillardet, je n'achèverai jamais ma plaidoirie. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Vous la voyez, messieurs, à votre tribunal, cette innocente opprimée, cette femme qui engage ses pierreries, vend sa vaisselle d'argent. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Mais pourquoi fait-elle tout cela ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Mais pourquoi, messieurs ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Le Sieur Sotinet n'a jamais été en prison. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Un sous-fermier, jamais en prison ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Mais que dirons-nous, messieurs, de ses débauches, ou, pour mieux dire, que n'en dirons-nous pas ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Car, jusques à quel excès de crapule cet homme-là ne s'est-il point laissé emporter ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Mais, que dis-je, un homme ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
C'est un bouchon ambulant ; c'est une éponge toute dégouttante de vin, dont les vapeurs obscurcissent et soufflent enfin la chandelle de sa raison. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
N'avait-il bu que de l'eau, Maître Braillardet, quand, sortant tout chancelant d'un cabaret, pour assister à l'enterrement d'un de ses meilleurs amis, il se laissa tomber dans la fosse, où il serait encore, si, par malheur pour sa femme, on ne l'en eût retiré ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Je ne saurais m'empêcher de pleurer toutes les fois que j'y songe. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
Mais, s'il n'y avait que des coups à essuyer, je ne m'en plaindrais pas ; car on sait bien qu'une femme veut être un peu pansée de la main ; mais de se voir, à tous moments, exposée aux extravagances d'un fou ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Je n'ai jamais fait d'autre folie que celle de prendre ma femme. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
Qu'une femme, qui doit être la soucoupe des plaisirs d'un mari, soit le ballon de ses emportements ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Taisez-vous, taisez-vous. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Ayant aucunement égard à la requête de la partie de Maître Cornichon, le dieu de l'Hymen a ordonné que la Dame Sotinet demeurera séparée de corps et de biens d'avec son mari ; qu'elle reprendra les vingt mille écus qu'elle a apportés en mariage ; qu'elle jouira, dès à présent, de son douaire, étant réputée veuve, et d'une pension de trois mille livres ; et, attendu la démence avérée du Sieur Sotinet, nous avons ordonné qu'à la diligence de sa femme, il sera incessamment enfermé aux Petites-Maisons, ou à Saint-Lazare. (Acte 3, scène 6, DIEU DE L'HYMEN)
Monsieur L'Hyménée, ce n'est pas tout : vous venez de défaire un mariage ; mais il s'agit d'en refaire un autre entre Colombine et moi. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

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LE CARNAVAL DE VENISE (1699)

Quand au plaisir on s'intéresse. v.8 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
Partager les plaisirs d'une fête nouvelle. v.19 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
Mais quel désordre affreux règne de toutes parts ? v.20 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
Vos soins me paraissent trop lents. v.31 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
Dans ces lieux paisibles ; v.45 (Acte 1, scène 3, SUIVANT-DE-LA-MUSIQUE)
Les plaisirs les plus doux. v.47 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
Mais ses biens parfaits v.54 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
Que l'on donne aux mortels le soin de ses plaisirs, v.65 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR, UN SUIVANT MUSIQUE, UN SUIVANT DANSE)
Dans la saison la plus charmante. v.87 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
Qu'on ait tant de plaisir d'aimer, v.94 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
Qu'on ait tant de plaisir d'aimer, v.104 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
Ah ! Qu'un coeur amoureux est jaloux aisément ! v.109 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
Qu'ici la saison nous présente. v.113 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Que tu brûlais pour moi d'une sincère ardeur ? v.146 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
Mais des yeux plus puissants encore v.159 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
Pour ne changer jamais. v.162 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
Ce séjour est paisible v.202 (Acte 2, scène 5, UNE-MUSICIENNE)
Ce séjour est paisible v.206 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
Ce séjour est paisible v.214 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
Ce séjour est paisible v.222 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
Il vous ramène les doux plaisirs. v.232 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
La mère des Amours ne fut jamais si belle ; v.244 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
Sont les premiers effets d'une naissante ardeur. v.254 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
La conquête d'un coeur est plus aisée à faire v.268 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Les plaisirs les plus doux. v.275 (Acte 2, scène 6, ISABELLE_LÉANDRE)
Ah ! Je m'en doutais bien ; et mes soupçons jaloux v.293 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
Et laissez agir mon courroux. v.299 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
Je me flattais de ce bonheur extrême ; v.303 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
On se laisse aisément tromper par ce qu'on aime, v.304 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
Je fais naître à mon gré le moment favorable v.339 (Acte 3, scène 3, LA-FORTUNE)
De ses voiles épais la nuit couvre les cieux. v.357 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
Je sais que mon rival, dans l'ardeur qui le presse, v.358 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
Nous fais goûter la vérité v.365 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
Et fais que son coeur enchanté v.369 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
Se changeront en des plaisirs charmants. v.392 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
Mais il se réveille aisément. v.399 (Acte 3, scène 6, LÉANDRE)
Mais il fuit en vain ma présence ; v.403 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
Avant que le soleil paraisse dans ces lieux, v.404 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
Quel plaisir de tromper et les soins et les yeux v.411 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
Que je le hais ! Que son amour me gêne ! v.413 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
Je sais les trahisons où ton coeur s'abandonne. v.418 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
Mon coeur par vos attraits s'est trop laissé charmer ; v.426 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
Jamais d'aucun regard flatteur v.433 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
Ne sera-t-il jamais victorieux 3 v.447 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
Mais mon juste dépit te fera bien connaître v.458 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
Que, si je sais aimer, je hais encore mieux. v.459 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
Mais il vit pour une autre ! Une pitié soudaine v.469 (Acte 4, scène 1, LÉONORE)
Que fais-tu ? Qui retient ton bras ? v.487 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
Sur ce traître ou sur moi fais voler ses éclats, v.489 (Acte 4, scène 2, L?ONORE)
Tu ne saurais manquer de frapper un coupable. v.490 (Acte 4, scène 2, L?ONORE)
Devais-tu croire mon ardeur ? v.495 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
Calmez les déplaisirs dont votre âme est saisie. v.499 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
Laissons de ses regrets calmer la violence. v.510 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
Mais le parti victorieux v.511 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
Un trépas dont son coeur sera saisi d'effroi ; v.515 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
Ne songeons qu'aux plaisirs ; v.548 (Acte 4, scène 4, LE-CHOEUR)
Mes yeux, fermez-vous à jamais, v.553 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Le jour est pour moi désormais v.555 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Mes yeux, fermez-vous à jamais, v.557 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Mes yeux, fermez-vous à jamais, v.563 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Mais que servent, hélas ! Ces regrets superflus ? v.565 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Je crains que le plaisir extrême v.588 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
Je fais mon bonheur de vous suivre. v.603 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
Je vous allais chercher dans le sein du trépas ; v.604 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
Un bal pompeux doit suivre ces plaisirs ; v.609 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
Je vais en ce lieu vous attendre : v.611 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
Un vaisseau par mes soins dans le port va se rendre, v.612 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
Mais quels chants remplis de douceur ! v.628 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
Mais Pluton y consent, si l'Amour le commande. v.639 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
Mais je prétends qu'une loi s'accomplisse ; v.641 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
La beauté dans les cieux trouve un aisé passage, v.652 (Acte 5, scène 1, OMBRE-HEUREUSE)
Fuyez, peines, soupirs, ne revenez jamais v.656 (Acte 5, scène 5, EURYDICE)
Sitôt que je parais, je bannis la tristesse ; v.688 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
À mon départ le plaisir cesse ; v.690 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
En ce temps de plaisir le plus sage s'oublie, v.698 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
L'heureux temps des plaisirs ne dure pas toujours. v.701 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
L'heureux temps des plaisirs ne dure pas toujours. v.703 (Acte 5, scène 10, LE-CHOEUR)
La raison vainement voudrait vous interdire v.704 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)

SAPOR (1704)

Ton âme, en ce moment, d'étonnement saisie, v.9 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
Et, faisant de leur camp un champ de funérailles, v.13 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Je pourrais, écoutant un transport légitime, v.29 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
Il est mille chemins que je pourrais m'ouvrir ; v.32 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Mais, hélas ! Tu le sais, je suis mère ; et ma fille, v.37 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Tu sais bien que Sapor, digne sang d'Artaxerce, v.53 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Avec les noeuds du sang nous unir à jamais, v.56 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Je vis avec plaisir cette naissante flamme, v.69 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Et je devais bientôt, par un hymen heureux, v.71 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Mais du ciel irrité la suprême puissance v.73 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Au milieu des faisceaux, parmi les étendards, v.91 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
Que plutôt... Mais rompons d'inutiles discours : v.108 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
Que je me plais d'entendre, au gré de ma fureur, v.115 (Acte 1, scène 2, ZÉNOBIE)
Mais vous me flattez trop, et mon âme égarée v.117 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
De quel espoir trompeur te laisses-tu flatter ? v.120 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
Quand je l'implorerais, ce ne serait qu'en vain ; v.135 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
Mais pourquoi de ses traits voudrais-je encor me plaindre ? v.137 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
Mais quoi ! Laissant en cris exhaler ma vengeance, v.145 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
N'aurai-je désormais que les pleurs pour défense ? v.146 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
Dans ce même palais je l'ai trouvé, madame ; v.153 (Acte 1, scène 3, THÉONE)
Un plaisir dont soudain ses yeux ont éclaté. v.155 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
Mais pardonnez, madame, à ma témérité, v.156 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
Et tu ne connais pas l'excès de mes malheurs, v.167 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
Mais mes maux ne sont pas de ceux qu'il peut guérir ; v.171 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Crois-tu donc qu'oubliant la gloire où j'étais née, v.173 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Tu sais qu'après un siège aussi long que fâcheux, v.183 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Déjà, tu le sais bien, ma troupe fugitive v.193 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Déjà je me croyais échappée aux Romains, v.195 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Mais que peut la valeur quand le nombre est extrême ? v.205 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
Va, laisse-nous, Théone, un moment seuls ici. v.216 (Acte 1, scène 4, ZÉNOBIE)
Mais plus dans un Romain je la voyais paraître, v.225 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
Plus je sentais ma haine en mon âme s'accroître ; v.226 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Lorsque je la trouvais dans un sang odieux. v.228 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
C'est un bien qu'à mon cour on n'ôtera jamais. v.231 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Mais, sans examiner si j'aime ou si je hais, v.232 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Mais, depuis mes malheurs, il ne s'offre plus rien v.263 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
Qui paraisse au-dessus du nom d'Aurélien ; v.264 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Jamais l'occasion ne peut être plus belle : v.290 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
La crainte de la mort saisit ton lâche cour. v.308 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
Mais, quand il faut saisir l'occasion offerte v.318 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Que ton cour innocent ne tentera jamais ! v.324 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Je crains plus ton amour que je ne fais ta haine ; v.326 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Mais hâte-toi ; peut-être avant la fin du jour v.331 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
Laissez du moins au meurtre accoutumer ma main ; v.344 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
Laissez-moi m'essayer sur de moindres victimes, v.345 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
Plus qu'aucun des vaincus paraissez consterné ! v.352 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
Vous dérobe à vous-même, et saisit votre cour ? v.360 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
Ne s'y lasse jamais, et ne s'y couche pas : v.364 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
Jamais de plus de feux un coeur ne fut brûlé ; v.376 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
Et jamais empereur, suivi de la victoire, v.377 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
J'appelle à mon secours ma fierté, ma raison ; v.380 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
J'oppose à mon amour mon rang et ma naissance, v.381 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Fierté, raison, vertu, tout me livre à l'amour. v.384 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Je ne me connais plus, ma grandeur m'importune ; v.389 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
J'erre dans ce palais, inquiet, incertain ; v.391 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Je fuis, mais vainement, j'ai le trait dans le sein. v.392 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Que ne la laissais-tu, la princesse orgueilleuse, v.397 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Pourquoi l'arrêtais-tu sur le point d'échapper ? v.399 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Pour me servir, hélas ! N'osais-tu me tromper ? v.400 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Ne présumais-tu pas, en voyant tant de charmes, v.401 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Jamais faire un présent plus funeste aux Romains ? v.404 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Ce que je devais faire, v.409 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
Et l'Orient, soumis à vos lois pour jamais, v.411 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
Ne me rendront jamais ma liberté ravie ; v.418 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
Je l'attends. Mais on vient ; ma gloire et mon amour v.435 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
Firmin, je fais venir Ismène dans ces lieux v.447 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Je serais plus heureux, si je le savais moins. v.452 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Mais je verrais la foudre à partir toute prête v.473 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Oui, seigneur, jamais Rome, en un jour de victoire, v.489 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
Mais vous devez encore arracher à l'envie v.493 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
De laisser sa vertu seule dans la balance v.509 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
Tous tes conseils, Firmin, ne sont plus de saison, v.511 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Et mes sens égarés ont séduit ma raison ; v.512 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
Me prescrit mieux que toi ce que je devrais faire, v.514 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
Que fais-je cependant dont ma gloire s'offense ? v.517 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
Mais on vient. Que je sens de trouble dans mon âme ! v.529 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
Je sais à quels malheurs le sort m'a condamnée ; v.542 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Et je les punirais, si leur coupable ardeur v.547 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Madame, je sais bien qu'un soupir dans ma bouche v.549 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
Mais enfin, si jamais dans une âme hautaine, v.553 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
Madame, on n'a jamais ressenti tant de feux ; v.556 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
Je pourrais me tromper ; et, pour sortir des fers, v.579 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
Mais, sans trop pénétrer, peut-on savoir, madame, v.581 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
Je me fais de le voir une douce habitude ; v.590 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Mon cour, en ce moment, de plaisir pénétré, v.595 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
De sa naissante ardeur ne s'est point alarmé. v.612 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Je ferais plus encor ? Je donnerais ma vie v.617 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Mais ma raison s'égare, et je me sens troubler. v.623 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Seigneur, en ce moment, je croyais lui parler. v.624 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Mais apprenez aussi qu'un empereur romain v.627 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
J'oubliais tous les noms de maître, de vainqueur ; v.632 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
Mais, madame, un moment songez ce que je puis, v.635 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
Je vous laisse y penser. v.639 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
Quel trouble en ce moment vient saisir mon esprit ? v.640 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
Je n'avais pas encore assez rempli son sort, v.651 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
Et j'étais réservée à lui donner la mort. v.652 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
C'est ce zèle indiscret, que je n'approuvais pas, v.659 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
J'irais, du vain éclat d'un empire éblouie, v.669 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
Et, pour un faux brillant, je vendrais en un jour v.671 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
Moi, j'irais, me couvrant d'une honte éternelle, v.673 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
Mais allons l'informer de tout ce qui se passe ; v.677 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
À ses mortels ennuis je vais mêler mes pleurs. v.679 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
Qui ne peut désormais vous offrir que des pleurs, v.696 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Ne vous rendra jamais ce que vous refusez. v.700 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Au mépris des grandeurs où j'allais renoncer. v.704 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
Mais mon cour à changer n'a point mis son étude, v.706 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
Et je n'ai jamais cru devoir l'accoutumer v.707 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
Peut-être à mon amour me laissai-je séduire : v.709 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
Mais, à quelque grandeur où m'élève l'empire, v.710 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
C'est trop pour un mortel ressentir de plaisir : v.716 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Hélas ! Que ces plaisirs vous coûteront de pleurs ! v.719 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
Hé ! Que pourrais-je craindre ? v.721 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Que fais-je ? Je conspire à vous ravir le jour ; v.728 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
Pourrais-je imaginer un revers plus funeste ? v.753 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Mon cour, en vous faisant un ardent sacrifice, v.757 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Si j'avais cru troubler des entretiens si doux, v.767 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
Je me serais gardé de m'offrir devant vous. v.768 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
Mais vous ne deviez pas, prince, si tôt suspendre v.777 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
J'aurais été témoin de vos ardents discours. v.779 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
Je n'en ai pas besoin ; je sais ce que peut dire v.781 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
Mais, prince, je ne sais si vous êtes instruit v.783 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
Oui, prince, je le sais ; on vient de me l'apprendre : v.790 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Mais j'ignorais encor que le sort des combats v.791 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Mais il est certains cours, si j'ose ici le dire, v.801 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Et qui, dès leur naissance au trône accoutumés, v.803 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Mais du moins peu jaloux. v.832 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
D'un rival tel que vous je sais ce qu'on doit craindre ? v.834 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Et je demanderais, pour être satisfait, v.835 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
C'est trop par des raisons fatiguer ma constance : v.838 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Laissons de mon courroux ralentir les éclats. v.839 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Je ne le crois que trop : mais si l'on me dédaigne, v.841 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Mais je veux quelque temps suspendre encor la foudre : v.858 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Je fais plus, je vous fais arbitre de son sort ; v.859 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Que vos feux à jamais pour lui sont consumés, v.863 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Et, quand je le pourrais, ah ! Ne serait-ce pas, v.867 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
Peut avoir désormais toute son étendue. v.874 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Vous le voulez, madame ; et je vous ferais tort, v.875 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Si je m'intéressais plus que vous à son sort. v.876 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Je vais lui prononcer l'arrêt de son .trépas ; v.883 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
Mais n'importe ; ma bouche, arrêtant leurs effets, v.887 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
Lui dira, s'il le faut encor, que je le hais. v.888 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
Que ne ferais-je point pour lui sauver la vie ! v.889 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
Je sais d'un tel discours ce que j'en devrai croire ; v.894 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Mais enfin je vaincrai l'orgueil d'un téméraire ; v.897 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Et dans tout ce palais se trouve répandu. v.904 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
Et tu n'as, en naissant, sucé qu'un lait romain. v.924 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
Mais parmi ces discours, dont je dois être las, v.935 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
Vous m'instruisez, madame ; et je ne savais pas v.936 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
Mais, madame, aujourd'hui plus sensible à ma flamme, v.945 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
Enfin voila l'abîme où j'étais attendue ! v.957 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
Nous vivons pour mourir, mais nous ne naissons pas v.976 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
Pour en trahir jamais la sévère innocence : v.978 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
Je venge mes délais par mon impatience ; v.985 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
Ces transports, ces fureurs dont votre âme est saisie, v.1001 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
Je vais tout préparer pour ce grand sacrifice, v.1033 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
Où vais-je ? Où suis-je ? Hélas ! Où courons-nous, Théone ? v.1037 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
Ma raison me trahit, ma vertu m'abandonne ; v.1038 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Je cours dans ce palais sans savoir où je suis ; v.1040 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Je me fuis, mais en vain ; et tout ce que je vois v.1043 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Je n'ose regarder ce palais odieux, v.1047 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
« Prince, je vous aimais, je ne vous aime plus ; v.1052 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Et je vais vous trahir par un effort d'amour ? » v.1056 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Renonçons pour jamais à la clarté des cieux. v.1060 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Viens, Théone, suis-moi. Mais quelle erreur m'emporte ! v.1061 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Descende pour jamais sur la funeste rive, v.1070 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
Ne porterais-je pas ma honte et mon amour, v.1072 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
Mais, dieux ! Je l'aperçois ; il tourne ici ses pas. v.1087 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
Mais que vois-je, grands dieux ! Et quel sombre nuage v.1097 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Serais-je donc trahi ? Par qui ? Comment ? Pourquoi ? v.1104 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
L'aurais-je pu penser ? Quel amour ! Quelle glace ! v.1105 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Ces yeux où je venais prendre toute l'ardeur v.1107 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je vais vous arracher... v.1109 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
De vous avoir laissée un moment dans les fers. v.1116 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
J'étais digne du cour que vous m'avez donné. v.1120 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Méritais-je ce cour que je n'ai pu garder ? v.1144 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Devais-je me flatter, puisqu'il faut vous le dire, v.1145 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Espérais-je en effet que, malgré mille obstacles, v.1149 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Croyais-je que toujours... Ah ! Trop longtemps déçu, v.1151 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Ma raison prévenue, et mon cour enchanté... v.1155 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Non, je n'étais point fait pour tant de cruauté. v.1156 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Étais-je faite aussi pour être si cruelle ? v.1157 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
Je me croyais aimé, j'adorais mon erreur : v.1160 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Hélas ! Connaissez mieux en quel temps je veux feindre. v.1162 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
J'y vais avec plaisir : il faut du sang, madame, v.1165 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Quel trouble me saisit ! Je tremble, je frissonne. v.1173 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
Quand, revenant vainqueur, j'étalais à vos pieds v.1183 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Des faisceaux arrachés, mille et mille étendards, v.1187 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je ne me réservais, pour prix de la victoire, v.1190 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Que le plaisir charmant de vous la raconter, v.1191 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Vous ne l'ignorez pas, j'allais de vos parents v.1195 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Apaiser, par mon sang, les mânes murmurants. v.1196 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Ô ciel ! Tu me devais un destin moins barbare. v.1213 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Mais calmons la fureur qui de mon cour s'empare. v.1214 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je sens que je vous aime encor plus que jamais. v.1216 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je devrais être plainte, et non être haïe. v.1222 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
Je vais, pour me venger, chercher un empereur. v.1228 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Lorsque dans les combats je signalais mes coups, v.1231 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je n'étais qu'amoureux, je n'étais point jaloux ; v.1232 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Faisons sentir ici ceux de la jalousie ; v.1234 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Mais, hélas ! Pardonnez à ma juste fureur, v.1240 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Je vais mourir bientôt, je ne me plaindrai plus. v.1256 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Voilà pour quel usage on me laissait la vie ! v.1257 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Ciel, tu me réservais à cette perfidie ! v.1258 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Ô trop flatteur espoir, détruit dans sa naissance ! v.1261 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Je vais mourir ; et pour comble d'horreur, hélas ! v.1263 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Je ne sais ; mais, hélas ! Renonce-t-on au jour, v.1271 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Mais quel transport jaloux s'élève dans mon cour ? v.1276 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Mais, tandis que je vis, vengeons-nous par mon bras. v.1284 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Vous ne direz jamais quels sont mes ennemis. v.1292 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Lorsque je vais verser tout mon sang à ses yeux ; v.1296 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Par pitié, pour le moins, que ne me laissait-elle v.1301 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Dans l'erreur où j'étais de la croire fidèle ? v.1302 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Que ne se faisait-elle encore un peu d'effort ? v.1303 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
J'aurais abandonné ma languissante vie v.1305 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Mais enfin, plus sensible à l'ardeur qui la touche, v.1322 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
Vous ne serez jamais à mes yeux plus aimable, v.1334 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Maintenant que je sais le prix de vos combats, v.1335 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Mais peut-être, madame, une pitié secrète, v.1337 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
De la feinte aisément percent l'obscurité. v.1340 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Mais, avant de partir, vois ces voûtes sanglantes, v.1381 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
Vois ce palais rempli du nom de tes aïeux : v.1383 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
J'étais plus malheureux, je n'en aimais pas moins ; v.1402 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Je vous gardais toujours un reste d'innocence ; v.1404 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Non que par ces raisons je veuille m'excuser ; v.1405 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Laissez-moi présenter une moins chère tête. v.1416 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
Si je vous exposais aux horreurs du danger, v.1417 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
Je serais mal payée encor de mes alarmes ; v.1420 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
Si je vais à l'autel, ce n'est plus en victime ; v.1424 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
Non, laissez-moi, madame, achever mon ouvrage : v.1431 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Par quel aveuglement aurais-tu donc pu croire v.1448 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Que Sapor pût jamais former d'autre dessein v.1449 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
Tes jours sont à leur fin. Gardes, qu'on le saisisse. v.1472 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
Sapor... Mais il me quitte, hélas ! v.1475 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
Laissez-moi l'arracher à des mains parricides, v.1484 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
Traîtres, éloignez-vous. Mais je ne puis passer. v.1486 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
Ah, seigneur ! Mais je vois vos secrètes horreurs. v.1506 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
Je le sais, je le vois. Ah ! Partez, courez tous, v.1509 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
Mais, dieux ! Firmin... . Mon horreur est extrême. v.1512 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
Quelle raison près de moi te rappelle ? v.1515 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
Nous le voyons saisi du fer d'un des soldats : v.1533 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
À ces mots se taisant, d'une intrépide main v.1537 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
Mais bientôt, d'un visage où la mort était peinte, v.1543 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
Je l'ai laissé, seigneur, sans forces, étendu v.1549 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
Affermit pour jamais la puissance de Rome : v.1552 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
J'aurais déjà puni tes lâches attentats, v.1561 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
Si de ton sang impur j'osais souiller mon bras : v.1562 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
L'aurais-je dû penser ! Quel coup épouvantable ! v.1568 (Acte 5, scène 5, ZÉNOBIE)
Je te laisse, en mourant, un noble exemple à suivre. v.1571 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
J'aimais, j'aimais Sapor, je n'ai pu lui survivre : v.1572 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
Mais que dis-je ? Grands dieux ! Égarée, éperdue... v.1575 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
Si tu t'y présentais, je voudrais le quitter : v.1577 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
Madame, je fais plus que je n'avais promis, v.1582 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
Mais je vis, et le mien achèvera l'ouvrage. v.1588 (Acte 5, scène 6, ZÉNOBIE)
Mais il me reste un bien, et plus cher et plus doux v.1590 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
Que ne furent jamais époux, enfants, empire : v.1591 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
C'est une horreur de toi que je ne saurais dire. v.1592 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)

ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)

Les chemins sont diaboliques ; je croyais que je ne me tirerais jamais des ornières. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Mais je crois que voilà ma femme qui arrive ! (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
J'espérais que Neptune lui ferait boire rasade. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Tu n'avais que faire de te donner tant de peine. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Les méchantes femmes sont de liège, et ne vont jamais à fond. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Cela a été un peu chaud ; mais est-ce qu'on vous a pris pour du train dans notre quartier ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Non pas tout à fait ; mais on a jeté nos meubles par la fenêtre. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
Mais rien ne peut m'arrêter quand la gloire m'appelle. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Que cela ne vous arrive plus ; car je vous ferais chanter sur un diable de ton. (Acte 1, scène 1, AMPHION)
Si tu voulais me laisser faire, je ferais de bonnes connaissances, et nous n'en serions pas plus mal. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Autrefois, quand tu étais absent, je ne manquais de rien. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Je compose une huile, que j'appelle élixir de patience, dont une goutte, appliquée sur le front d'un mari, le délivre pour jamais du mal de tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Mais je crois que tu gagnerais bien davantage si ton secret le délivrait de sa femme. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais peux-tu faire assez de cette poudre-là ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Qu'un homme ait une colique enragée, en un moment je la lui fais passer ; je le couche par terre, je fais chauffer une meule de moulin, et je la lui applique sur l'estomac : n'ayez pas peur qu'il ait jamais la colique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Le malade meurt ordinairement ; mais s'il ne mourait pas, ce serait le plus beau secret du monde. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Tu sais bien que, quand je joue de ma lyre, je fais tout venir à moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Fais-toi plutôt maître à chanter ; on te donnera deux louis d'or par mois, et tu trouveras peut-être quelque écolière à qui tu ne déplairas pas ; car voilà la grippe des femmes d'aujourd'hui. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Je te dis qu'il n'y a pas une plus jolie vacation au monde ; on est de tous les bons repas ; jamais de promenades sans le maître à chanter : on se donne de petits airs de familiarité avec l'écolière ; on lui prend la main pour lui faire battre la mesure : le mari passe tout sur la foi de la musique, et il ne se doute pas, bien souvent, de la partie qu'on fait chanter à sa femme. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
'Voilà de jolis profits ; mais aussi on a bien de la peine : c'est un rude métier : il faut quelquefois chanter quand on a envie de boire. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais n'importe, voilà qui est fait ; quand l'argent me manquera, je me jette dans la musique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Adieu ; je m'en vais chercher Orphée ; il n'a qu'à se bien tenir ; je lui ferai manger son violon jusqu'au manche. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et moi, je vais travailler à ma poudre de bonne réputation. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Pour les cacher à cette âme damnée de Jupiter, qui nous en a tué déjà deux, j'en ai fait un ballot, que j'ai porté à la douane ; et je vais voir s'il est arrivé, pour en payer les droits. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
C'est l'amour qui en a été le tapissier ; et cela est si vrai que le mérite... votre mine, d'un côté... mais d'ailleurs. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Car vous me paraissez bien petite aujourd'hui. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je vous reconnais à vos flamboyantes prunelles. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Si nous nous marions ensemble, jamais nos enfants n'entreront dans le régiment des gardes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Que je serais heureux si je pouvais être le tailleur fortuné qui prendra la mesure d'une si aimable personne ! (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Mais je crains bien que les ciseaux de mon amour... (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Allons, la belle, dites la vérité ; n'est-il pas vrai que vous serez bien aise d'être ma moitié ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Ce sont de plaisantes marmousettes ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
J'ai le derrière un peu gros, tirant même sur le porteur de chaise ; mais mon médecin m'a promis qu'il me ferait en aller cela ; il m'a ordonné de prendre du petit-lait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Mais laissons cela, et parlons du plaisir que nous aurons. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je suis doux, pacifique, aisé à vivre, l'humeur satinée, veloutée : j'ai vécu six ans avec ma première femme, sans avoir le moindre petit démêlé. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Une fois seulement, après avoir pris du tabac, je voulais éternuer, elle me fit manquer mon coup ; de dépit, je pris un chandelier, je lui cassai la tête, et elle mourut un quart_d_heure après. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Voilà le seul différend que nous ayons jamais eu ensemble, et qui ne dura pas longtemps, comme vous voyez. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je n'ai jamais ouï parler de ces officiers-là. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Tous ses confrères les médecins (car il avait pris ses licences dans leur école) disaient qu'il n'y avait jamais eu un homme aussi adroit, et qu'on ne voyait point de besogne faite comme la sienne : aussi l'avaient-ils fait recteur de la Faculté. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je m'y sentais assez d'inclination ; mais vous savez qu'il faut qu'un gentilhomme voie le pays. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
J'ai couru par toutes les sept parties du monde, et me voilà enfin à vos pieds, ma divine princesse, le coeur en braise, pour vous dire que je me pendrai assurément, si vous n'êtes unie avec moi par le lien conjugal. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je le suis aussi ; mais il n'y a rien de si aisé que d'être veuf ; cinq sous de mort aux rats en font l'affaire. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Je vous ai déjà dit que c'était une carogne que je hais comme le diable. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Je voudrais qu'elle fût pendue. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Ne vois-tu pas bien que je disais cela pour rire ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Je ne saurais parler, er, er, er. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Non, je ne lui pardonnerai jamais. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Monsieur ou madame, car je ne sais si vous êtes mâle ou femelle, je ne vous vois que par derrière... (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Je n'y tâchais pas. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Je me promenais sur les bords du Cocyte, pour travailler plus en repos à ma harangue, et tu viens te jeter au travers de mes conceptions ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Je sais bien que la plupart des académiciens, là-haut, ne se donnent pas cette peine-là, et que, pourvu qu'ils la sachent lire, on les reçoit tout d'une voix ; mais ce n'est pas de même ici ; et il ne suffit pas de savoir faire l'anatomie d'un mot, pour être l'interprète des mystères de notre diabolique Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Que j'en étais là-haut ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Que j'en étais ! (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Est-ce qu'on me recevrait ici, si j'en avais été ? (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Il n'y eut jamais un meilleur naturel que le mien ; je rendais une comédie aussi facilement qu'un autre rend un lavement. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
C'est moi qui ai enrichi les comédiens français ; et il n'y avait point d'hiver que je ne leur donnasse sept ou huit pièces, tant sérieuses que comiques. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Jamais qu'une fois ; mais aussi tout Paris venait se crever à la première représentation ; car personne ne voulait attendre la seconde, de peur de ne la point voir. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
J'aurais cru que c'eût été là le moyen d'envoyer les comédiens à l'hôpital. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Ils ont raison, au bout du compte ; car, comme les bonnes choses aujourd'hui n'ont point de cours, pour peu qu'une méchante pièce puisse être représentée une fois, voilà les comédiens riches. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
De plus, je n'ai jamais voulu ôter au public l'usage récréatif des sifflets. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Et moi je voudrais que les sifflets fussent au diable. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Je m'étais, de mon vivant, abonné avec un marchand de sifflets, qui était, dans son métier, le premier homme du monde. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Il en faisait pour la prose, pour les vers, pour les Français, pour les Italiens ; mais, ma foi, où il triomphait, c'était pour l'Opéra. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Pour le mettre en crédit, j'avais fait un opéra, moi, qu'on allait jouer quand je mourus. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Ce devait être la plus belle chose qu'on eût jamais vue sur le théâtre. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Je ne l'avais pas pris de la métamorphose comme ces chardons du Parnasse ; fi ! (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Cela sent le collège : je l'avais tiré tout entier de l'histoire de France ; il portait pour titre : les Aventures du Pont-Neuf. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
Voilà un auteur échappé des Petites-Maisons des enfers. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Et en français, la folie. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Mais vous me faites perdre bien du temps. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Je veux apprendre le chemin des enfers, et je vais y chercher ma femme. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Le diable m'emporte si je ne vais la chercher. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Avant que d'aller plus avant, je voudrais bien savoir une chose de vous ; car on dit que l'on est si savant quand on est mort ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Oui-da, cela est bien aisé. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
C'est une chose étonnante, phlégétontique assemblée, que de voir l'affluence d'âmes qui tombent journellement par vos soins dans mon royaume : il faut désormais refuser l'entrée aux survenants, ou faire bâtir des appartements nouveaux ; et, pour cela, je crois qu'il sera bon de lever un droit sur le bois et le charbon qui se brûlent ici-bas : voilà le sujet pour lequel je vous assemble. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
Il ne faut plus recevoir de gens de robe ; l'enfer est déjà assez lugubre ; et surtout, point de greffiers, car ces gens-là mettent l'enfer en mauvais prédicament. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
Oui ; mais vous ne savez pas que, moi qui suis Pluton, je n'ai pas plus de droit en enfer que ces messieurs-là. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
Je suis si soûl des gens de chicane, que dernièrement je fis une querelle d'Allemand à un diable de qualité, qui revenait de Paris ; et je lui fis fermer la porte, parce qu'il avait hanté mauvaise compagnie là-haut, et qu'il sortait du corps d'un procureur. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
Vous avez eu raison ; ce serait le moyen de gâter bient8t tout ici. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
Voilà ce que je craignais ! (Acte 1, scène 9, PLUTON)
Et pourquoi les laisse-t-on passer ? (Acte 1, scène 9, PLUTON)
Il y a longtemps que je suis en ce pays-ci, mais je n'ai point encore vu une pareille ambassade. (Acte 1, scène 9, PROSERPINE)
S'il ne tient qu'à une chanson pour avoir sa femme, je vais en dire une nouvelle. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Pour moi, je ne suis point de celles qui regardent la séparation d'avec un mari comme la porte de leur félicité ; et j'avoue franchement que je suis d'assez mauvais goût pour trouver qu'il n'y a point de bonheur égal à celui de vivre avec un époux que l'on aime et dont on est tendrement aimé. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Je sais que je ne suis pas du goût d'aujourd'hui, et que pour être présentement femme du bel air, il ne faut prendre un mari que comme un surtout de bienséance, et un paravent de réputation ; mais j'aime mieux n'être pas tout à fait à la mode, et être un peu plus dans la route de mon devoir. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Oui ; mais ils en appellent devant vous. (Acte 1, scène 10, CARON)
Les femmes d'aujourd'hui sont si malheureuses, et l'empire des maris si absolu, que je ne m'étonne plus qu'il y ait tant de filles à marier, et qui regardent le mariage comme l'écueil de leurs plaisirs et le tombeau de leur liberté. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Vous savez la raison pourquoi. v.8 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Pour moi, je vous déclare que, si heureusement mon mari était mort le premier, j'aurais crié ; je me serais couverte, jusqu'au bout des ongles, d'un deuil où le coeur n'aurait pas eu grande part ; mais loin de le venir trouver aux enfers, je me serais bien donné de garde de le chercher. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Ma petite femme, je n'ai jamais douté de votre affection. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Si vous l'aviez une semaine, je courrais grand risque la suivante de ne pas entrer en exercice. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
On n'est jamais bien servi par ces vieilles-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Il faut donc que vous retranchiez aussi les grands laquais. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je sais bien qu'il y a partout assez de gens qui se mêlent de ces emplois-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Puisque je ne profite pas de votre mort, je prétends que vous me rendiez les frais du deuil et de l'enterrement que j'ai payés au crieur. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Cela est juste ; mais il n'en coûte pas grand'chose gour faire enterrer une petite femme. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
Je prétends à l'avenir que vous baissiez votre rayon d'un grand demi-pied au moins. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je me ferais plutôt couper la tête. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Je le crois bien ; je m'en contenterais bien, moi qui suis Proserpine. (Acte 1, scène 10, PROSERPINE)
Je veux que vous soyez beaucoup plus sage que par le passé, et que vous promettiez de n'aimer désormais que moi. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je veux que les enfants que j'aurai dans ln suite (car il faut recommencer sur nouveaux frais) soient élevés à ma fantaisie, et j'en disposerai comme de chose à moi appartenante. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Vous ne savez pas tout le manège de là-haut, monsieur Pluton : il y a tant de pères qui n'ont jamais eu d'enfants ! (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Après avoir entendu les raisons des uns et des autres, pour vous défrayer des frais de votre voyage, moi Pluton, prince des ténèbres, souverain du Styx et du Phlégéton, gouverneur des pays-bas, président du sabbat, et correcteur né des arts, métiers et professions, je vous permets non seulement d'emmener chacun votre femme, mais toutes celles qui sont en enfer, sans même en excepter Proserpine. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
Pour moi, je n'en ai que trop de celle-ci ; mais il y a bien des gens qui ne demanderont pas mieux que de troquer avec vous. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,11 % des textes) dans lesquels il y a 3850 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 183,33 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Prologue	Total
1	LA S?R?NADE	140	0	0	0	0	0	140
2	LE JOUEUR	70	90	51	49	46	0	306
3	LES SOUHAITS	66	0	0	0	0	0	66
4	LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES.	57	52	33	0	0	0	142
5	LE BAL	109	0	0	0	0	0	109
6	ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES.	48	67	72	0	0	0	187
7	LES VENDANGES	64	0	0	0	0	0	64
8	DÉMOCRITE	86	68	76	53	47	0	330
9	LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES.	71	67	47	0	0	0	185
10	LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES.	2	22	5	0	0	0	29
11	LE DISTRAIT	0	0	0	0	1	0	1
12	LE DISTRAIT	65	75	59	62	44	0	305
13	LE RETOUR IMPR?VU	135	0	0	0	0	0	135
14	ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME	92	0	0	0	0	0	92
15	ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME	6	0	0	0	0	0	6
16	LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX	0	1	0	0	0	0	1
17	LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX	38	140	73	69	57	0	377
18	LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES.	49	0	0	0	0	0	49
19	LA CRITIQUE DU L?GATAIRE	71	0	0	0	0	0	71
20	LE LÉGATAIRE UNIVERSEL	68	76	77	69	54	0	344
21	LE DIVORCE	85	47	66	0	0	6	204
22	LE CARNAVAL DE VENISE	9	16	21	21	11	0	78
23	SAPOR	45	57	53	64	37	0	256
24	ARLEQUIN AUX ENFERS	104	0	0	0	0	0	104
25	ARLEQUIN AUX ENFERS	1	0	0	0	0	0	1
26	ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES.	0	1	6	0	0	0	7
27	LES FOLIES AMOUREUSES	0	0	2	0	0	0	2
28	LES FOLIES AMOUREUSES	0	85	119	0	0	49	253
29	LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES.	0	0	6	0	0	0	6
	Total	1481	864	766	387	297	55	3850